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    La Mariée était en noir
    Note moyenne
    3,8
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    129 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 février 2008
    Un bon Truffaut, une Jeanne Moreau déterminée et impitoyable, le plaisir de retrouver les 'costumes' et la déco des années 60; mais quelques lenteurs et plusieurs invraisemblances cassent un peu tout
    Spiriel
    Spiriel

    37 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2008
    C'est jamais agréable de critiquer un réalisateur qu'on aime bien, pourtant ce film est objectivement difficilement défendable. Une des principales raisons de ce ratage est l'obsession de Truffaut à filmer Moreau. L'actrice, distante et inexpressive (pas tout à fait) comme souvent, plombe la fascination potentielle de cette histoire de vengeance par son interprétation sans finesse. Truffaut se contrefout de la crédibililté, ainsi son histoire devient un ramassis d'invraisemblances (l'enquête? pas de police sur ce meurtre de marié? vu le peu de précautions que prend la femme, on se demande comment elle ne se fait attraper que quand elle l'a décidé...). Aucune difficulté, rien. La seule chose qui intéresse Truffaut, c'est cette approche en séduction opérée par la tueuse, comme pour se rappeler la supériorité de son mari. Pas de réflexion, mise en scène... assez neutre finalement. Il n'avait pas finit d'apprendre ses leçons du maître Hitchcock lorsqu'il a tourné ce film. Fade.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    237 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2008
    Quand François Truffaut délaisse la maître Rossellini pour s’épancher sur l’art du maître Hitchcock, il réalise «La mariée était en noir» (France, 1968). Après s’être introduit dans la mise en scène cinématographique par la voie du réalisme, Truffaut s’adonne à un nouveau style, conservant néanmoins sa vivacité. Préférant au vérisme l’artifice du montage d’un cinéma du suspense, Truffaut n’acclimate plus son cinéma au réel mais se concentre sur l’adaptation d’un roman. Il y a un fossé entre les gros plans de Jean-Pierre Léaud dans «Les Quatre Cents Coups» (France, 1959) et ceux de Jeanne Moreau dans ce film. Le naturalisme avec lequel Truffaut filmait son premier long-métrage est substitué au suspense de l’intrigue. L’angoisse de la narration importe davantage que son récit. C’est dans ce sens qu’Hitchcock influence Truffaut en l’occurrence. Néanmoins, ce qui meut l’histoire, et qui nous intrigue à la fois, c’est la raison pour laquelle Moreau tue tous ces hommes. Au fil de l’intrigue, Truffaut révèle le secret de sa vengeance par des flash-back. L’avancement du récit est clair : le film s’achèvera quand on connaitra totalement son secret et qu’elle aura tué tous les hommes de sa liste. Le film est d’une lisibilité manifeste, Truffaut empreinte parfois des styles syntaxiques à Hitchcock pour retranscrire un suspense intelligible et immédiat. Dans l’œuvre truffaldienne, le film contient une curieuse métamorphose en la personne de Jeanne Moreau. Ange de l’amour comme ange de la mort, le personnage ambigu de Catherine dans «Jules et Jim» (France, 1961) se radicalise dans «La mariée…» puisqu’il ne contient plus d’ambivalence, son funeste emploi est univoque. Sa vengeance est sans limite et irrémédiable, ni la douceur d’un enfant ni même l’espoir d’un amour n’éreinteront sa douce folie qui harasse les hommes-proies. Or l’art de Truffaut se gèle quand il rend hommage à Hitchcock, il lui suffit pourtant d’être lui-même pour donner fièvre à son cinéma.
    orlandolove
    orlandolove

    134 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 juillet 2010
    Un bon film français "old school" de Truffaut, rendu agréable par des dialogues acérés, par des situations à suspense prenante, et par une Jane Moreau formidable.
    Cocobusiness
    Cocobusiness

    13 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2008
    La Mariée était en noir, 1967, de François Truffaut, avec Jeanne Moreau, Claude Rich, Jean-Claude Brialy, Michel Bouquet, Daniel Boulanger, Michael Lonsdale, Charles Denner. Musique de Bernard Hermann, compositeur d’Hitchcock. Casting magnifique au service d’un scénario bien ciselé, très hitchcockien, sauf qu’au lieu d’aller crescendo, le suspense, angoissant par nature, se mue, au milieu du film, en attente d’un dénouement profondément humain. Le jeu de Jeanne Moreau accompagne cette trajectoire de façon très efficace : elle est d’abord une héroïne criminelle, froide, élégante, racée et ses actes sont très esthétiques, peut-être gratuits. Puis, quand elle en arrive, sur sa check-list à l’artiste, joué par Denner, la faille du sentiment la transperce et perturbe totalement son cheminement implacable. Dès que l’on comprend pourquoi elle tue, Truffaut nous offre un 2ième film, très différent du 1er, mais tout aussi passionnant. Polar de grande classe.
    Santu2b
    Santu2b

    248 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 novembre 2010
    Avec "La Mariée était en noir" qu'il réalisa en 1968, Truffaut rendait un hommage à l'un de ses maîtres en la personne d'Alfred Hitchcock. Une admiration honorablement illustrée nottamment par le biais d'une photographie extrêmement soignée et la présence de Bernard Herrmann (compositeur attitré du maître Alfred) au générique. Un sujet réellement excitant flottait sous nos yeux ; celui d'une jeune mariée désireuse de venger la mort de son défunt époux. Jeanne Moreau est une fois de plus époustouflante accompagné par une pléiade d'acteurs tous irréprochables. Si au départ Truffaut arrive à nous passionner avec cette histoire, on regrette de le voir stagner par la suite. Le cinéaste se repose sur ses acquis dans sa deuxième moitié croyant avoir fait l'essentiel. Le résultat est celui-ci : aucune surprise d'un bout à l'autre du film ! Du coup on se moque même de ce qui va arriver à la fin et nos doutes se trouvent vérifiés car cette dernière est vraiment sans éclat. En revanche on peut dire que le suspense est plutôt bien mené dans l'ensemble. Bien sûr, l'oeuvre est également loin d'être désagréable (on ne s'ennuie jamais !) mais un brin frustrante.
    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    151 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 février 2008
    1968 approchait lorsque François Truffaut mit en scène "La Mariée était en noir", un polar narrant une banale histoire de vengeance dans un genre bien défini, celui de l'hommage au maître Alfred Hitchcock que le cinéaste appréciait tout particulièrement et dont il a cherché à retrouver l'ambiance notamment par l'intermédiaire de la musique forcément évocatrice de Bernard Herrman. Durant la première moitié de son film, Truffaut démontre avec talent qu'il sait construire et alimenter une intrigue, lui incorporer un suspense certain du fait que l'on ne connaît pas grand-chose voire rien du tout des protagonistes à l'écran, ainsi présentés mystérieux, énigmatiques et par-dessus tout (c'est la grande force des trois premiers quart d'heure) imprévisibles. Il montre juste ce qu'il faut pour que l'on puisse suivre sans grands soucis son histoire mais s'amuse volontairement (et il a bien raison) à ne jamais justifier les actes de Jeanne Moreau et ses interlocuteurs. Finalement, on se prend assez facilement à cette course entre le chat et la souris et notre attention ne se trouve pas détachée jusqu'à ce que quelques flashs-back ne viennent nous en dire plus (un peu trop). A partir de là, impossible de rester constamment accroché au wagon puisqu'aucune surprise ne fera partie d'une deuxième moitié terriblement décevante dans son académisme. Truffaut parvient alors péniblement à la fin, sans éclats, sans génie. Entre-temps, il avait repris des dizaines de plans Hitchcockiens, parfois avec justesse, souvent avec lourdeur (et dans ces moments on a un peu l'impression d'assister à une copie franchouillarde) mais toujours dans une optique de divertissement léger, que l'on regarde agréablement en évitant de se poser de trop nombreuses questions. "La Marié était en noir" est considéré par beaucoup comme un Truffaut mineur : n'ayant pas apprécié plusieurs de ses autres oeuvres, je me permettrai de dire que s'il ne s'agit pas d'un film marquant, il n'en demeure pas moins très agréable.
    Bobby Sander
    Bobby Sander

    49 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2008
    Un film beau, remarquable, au propos intelligent, et à l'action captivante... Mon premier Truffaut, une véritable révélation ; je ne sais trop quels termes employer. Pour l'anecdote, il est, avec ELLE S'APPELAIT SCORPION, la grande base du pitsch du diptyque Kill Bill de Tarantino.
    Impossible désormais de passer à côté de ce (nouveau pour Moi) film culte !
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2008
    Très beau film de François Truffaut, grande influence de Tarantino pour KILL BILL, un grand film sur la vengeance dominé par la prestation de Jeanne Moreau incroyable de justesse, certe l'ensemble n'est pas sans quelques longueurs mais certains face à face sont d'une rudesse et d'une tension extrème , beaucoup de suspens mais aussi des pointes d'émotion.Truffaut à travers une banale histoire de violence réalise un magnifique portrait de femme amoureuse jusque dans la mort.Une oeuvre presque intemporelle traversé de moments de grâce quasi_oniriques.A découvrir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 février 2008
    Excellent suspens où Jeanne Moreau est sublime
    riri2
    riri2

    16 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 janvier 2008
    Le film m'a scotché. Une Jeanne Moreau formidable et des scènes trés bien vu. Dommage peut-être que l'intrigue soit donnée si vite. Ce n'est certes pas le plus important pour le réalisateur, mais cela frustre un peu de la découvrir trop vite...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 août 2018
    Je n'avais pas encore vu ce film et au fur et à mesure de la diffusion le parallèle avec Kill Bill était très frappant. Je ne pensais pas que Tarantino se soit autant inspiré de ce film ça m'a dérouté.
    Sur la qualité du film rien à redire. Décidemment cette histoire de vengeance prête à d'excellents films. Jeanne Moreau est éblouissante dans son rôle de veuve sans aucune pitié.
    WonderfulLife
    WonderfulLife

    4 abonnés 299 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 août 2010
    Un beau polar signé Truffaut. Un ancêtre de Kill Bill à la française. Une mariée veuve applique un protocole de vengeance bien réfléchi. On redécouvre Jeanne Moreau dans le rôle de la mariée : quel talent! quel charisme!
    Malgré les scènes un peu lente, ce film reste un classique dont on ne se lassera pas.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 janvier 2008
    Les resemblances entre le film de Truffaut et le Kill Bill de Tarantino sont hallucinantes...
    Et encore merci à Arte pour la dif.!
    this is my movies
    this is my movies

    699 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 septembre 2016
    Exploration sur le thème de la vengeance, le film de F. Truffaut (qui possède de nombreux points communs avec le film Kill Bill Vol.1) se regarde assez tranquillement, offrant au passage une leçon de cinéma aussi bien sur ce qu'il faut faire et ce qu'il ne faut pas faire dans un film noir. Le film est bien trop éclairé, ne créant aucune atmosphère et manque un peu de sang par moments (pas de tonnes de litres non plus, juste une petite giclée sur la robe de la mariée qui aurait vraiment pu changer la donne) pour vraiment nous transporté. Aussi, des mises en scène un peu moins grotesques, comme la scène du balcon (ratée et grossière) ou de l'empoisonnement (le mort qui se retourne brusquement au dernier moment) et surtout, une autre interprète que J. Moreau, actrice mono-expressionniste et peu charismatique. Au niveau de la mise en scène en générale, c'est du haut de gamme, appuyée par les bonnes compositions de B. Hermann et des acteurs masculins impeccables (C. Denner, C. Rich, J-C Brialy, M. Bouquet, M. Lonsdale). De plus, le mobile de la tuerie m'a été difficile à avaler, partagé que j'étais entre déception, dégoût pour les actes de la mariée et une certaine logique (un poil extrêmiste quand même). D'autres critiques sur
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