Derniers Avis sur City Hunter - Goodbye my Sweetheart

Ryo et Kaori vont devoir protéger une danseuse menacée par un tueur se faisant appeler le professeur. Un bon épisode, assez intense, notamment lors de son climax et porté par un méchant réussi mais qui aurait mérité de voir ses intentions davantage développées.

de Nicky Larson et celui là est plutôt bien réussi. Outre des voix de méchants enfin sérieuses, l'ennemi auquel Nicky fait face ici est de loin le plus dangereux auquel il ait eu à faire.
Malgré tout son professionnalisme et son expertise il aura beaucoup de mal à vaincre de "méchant" aux motivations troubles.
Le scénario fait penser à un mix de speed et de unstopable (avec Denzel Washington et Paul Walker) et il est particulièrement efficace.
La durée est longue pour un OAV de City Hunter car ici on dépasse 1H30 au lieu des 45 min sur les précédents mais cette longueur n'en est que plus appréciable car elle met en avant le statut de Nicky dans le quartier qu'il doit sauver.

Ayant moi aussi grandi avec les dessins animés de manga, City hunter tient une place prépondérante chez moi. Enfin je commence ma série d'OAV de Nicky Larson, et quelle déception, enfin pour l'instant.
En effet, pour une première c'est pas top. Esquivons le fait que ce ne soit pas les mêmes voix, ni les mêmes noms (surtout que ça donne plus en VO), mais un style de dessin et d'animation différente là ça coince plus, surtout que si on zappe la censure niveau images, pour ce qui est des dialogues c'est plus cucul.
Ce qui m'a le plus dérangé c'est que ce film d'1h30 pouvait se faire en 2 épisodes de la série, et le rythme aurait été meilleur. Si vous fuyez les longueurs mieux vaut éviter cette OAV. L'histoire est limite banale, la trame trop connue, même pour ce qui est des épisodes habituels de Nicky ( spoiler: qui n'avait pas deviné dès le début que le méchant serait le frère de la miss que protège Ryo ?
), et le scénario est mal écrit car il traine, puis en fait trop, puis passe de persos en persos sans transitions. Ah, j'oubliais, la musique est mauvaise, bien sur elle en vient pas de la série, mais trop japonisante, sans rapports avec les situations, et pas belle tout simplement.
Au final on ressort assez déçu, enfin pour ma part, mais je ne pense pas (que l'on soit fan ou pas) qu'on puisse vraiment apprécier tant l'ensemble est trop approximatif.

Je fais partie des jeunes qui ont grandi avec le célèbre dessin animé Nicky Larson et son doublage approximatif. Comme pour tous les dessins animés japonais à succès, Nicky Larson, que nous rebaptiserons pas son titre original, City Hunter, a eu droit à plusieurs adaptations en OAV, c'est-à-dire des longs-métrages d'animation. Goodbye My Sweetheart est selon moi un des meilleurs en la matière. Nous retrouvons donc notre cher Ryo Saeba (Nicky Larson en VO), qui est chargé de retrouver le frère d'une célébrité. Nous retrouvons tout ce qui fait le charme des mangas, mais ceux qui s'attendaient à un doublage aussi ringard que la série seront déçu, ce film est beaucoup plus sérieux, même si on retrouve de nombreuses scènes comiques. La seconde partie du film ressemble fort à Speed, de Jan DeBont dans lequel des passagers d'un bus sont piégés dedans. Par contre, j'avais déjà du mal avec Kaori dans les dessins animés, mais là, elle est tout aussi insupportable. Enfin, j'ai passé un assez bon moment devant ce film, même si ça tourne un peu en longueur vers la fin.

Amateurs de gros calibres, jolies femmes gnangnans et massues de 1000 tonnes vous allez vous régaler... Alors ok, j'ai grandi devant le Club Dorothée, je rêvais d'avoir le même Colt Python .357 Magnum chromé que notre héros et du coup ma critique est complètement subjective... Car il faut reconnaitre que ce film souffre des mêmes défauts que la série : Peu d'animation dans le décor, peu de suspense (City Hunter réussit toujours ce qu'il entreprend, même si c'est désespéré), quelques longueurs (qui a dit nombreuses?) et surtout un 1er degré désolant de mièvrerie avec piano lancinant et étincelles dans les yeux (Ils sont forts ces nippons en matière de mièvrerie!)... Mais bon on s'en fout! On se tord de rire quand Nicky (Baptisé ici de son nom original Ryo Saeba) passe du mode "mercenaire-toujours-sûr-de-lui" à celui de "gros-pervers-invétéré-avec-yeux-exorbités-et-langue-tirée" et les fans de la série seront heureux d'apprendre qu'il n'y a pas de censure comme on pouvait en trouver au Club Dorothée (Vous savez, quand on nous faisait croire que les grosses chopes de bières que Nicky et Mammouth descendaient étaient en fait du jus de carotte. Ou bien quand Nicky était tout heureux d'aller dans un restaurant végétarien avec une jolie fille alors qu'on voyait bien dans le décor qu'il étaient dans un quartier de Love Hotels...). Bref de l'action, généreusement saupoudrée de rires, un zeste de charme et les massues de Kaori (Laura) font passer très très bien ce long-métrage, qui plaira surtout aux amateurs de la série... (Et rassurez vous, c'est bien Vincent Ropion qui fait la voix de Nicky/Ryo)