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Toutou to you
35 abonnés
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1,0
Publiée le 21 janvier 2013
Gregory Gieras n'est pas bête. En cette année 2001, il réalise ce Dark Asylum en se disant que rien ne vaut un bon vieux psychopathe sanguinaire pour tuer des gens pas très intelligents. Et en mettant ce beau monde dans un asile, il pense que le décor va appuyer la tension. Gregory Gieras aurait dû nous prévenir que son métrage tenait plus de la comédie que du film d'horreur. Maggie est une psychiatre qui vient de rompre avec son mari. Sa petite fille voudrait tellement qu'ils se remettent ensemble mais ce n'est pas simple le monde des adultes. Surtout que dans les rues sévit un meurtrier, L'Écorcheur. D'ailleurs, il vient juste d'être alpagué et Maggie doit le diagnostiquer dans un asile qui va fermer... Série z plus que série b, Maniac Trasher va enchanter les férus d'incohérences scénaristiques. Plus encore, il va leur donner matière à la rigolade tant la mise en scène de Gieras flirte avec le degré zéro. Les premières minutes nous donnent le ton. Ce sont les quarante premières minutes qui sont les plus rythmées, le cinéaste entrant assez vite dans le vif du sujet. Puis il s'endort sur un jeu du chat et de la souris aussi rébarbatif qu'une partie de curling. Ici, transparaissent toutes les faiblesses d'un réalisateur en manque d'un script solide (le jeu des acteurs est une anthologie à lui seul, les raccords et le montage, ah le montage ! il semblerait que le chef monteur ait fumé quelques douces cigarettes jamaïcaines ou encore la fausse tension mise en place tout le long du film, absurde les gros plans sur les regards façon western spaghetti). Autant le dire, c'est un massacre mais un massacre consternant. Un seul point positif (il en faut bien un) c'est la présence de la séduisante Paulina Porizkova qui n'est pas une vraie comédienne mais qui attire le regard grâce à un certain charisme. Bon courage. 1/5
13 955 abonnés
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2,0
Publiée le 16 janvier 2015
Au vu de la jaquette, on s'attend à voir un nanar Z pur jus qu'on ne saurait trop recommander aux vrais amateurs du genre! Pourtant ce "Maniac Trasher" joue comme il se doit la carte du chat et de la souris dans un asile de haute sècuritè où le système èlectronique est toujours fonctionnelle (notamment dans une aile d’èlectrocution improvisèe). Un duel à mort commence alors entre le « trasher » et une doctoresse incarnèe par la ravissante Paulina Porizkova! Si la mise en scène proprement dite n'a rien de gèniale, Larry Drake fait son job (le « trasher » dèfonce des portes en carton et des murs en plâtre) avec une tronche de disjonctè qui lui sied à merveille! D'un banal terrifiant, Judd Nelson en homme à tout faire de ses lieux et Jürgen Prochnow en "vieux" mèdecin se joignent à une distribution sans surprise! Loin d'être une râclure de vidèothèque, "Maniac Trasher" en a pourtant les symptômes! C'est en revanche un thriller d'èpouvante à dècouvrir, tout comme l'est son malade interprète dit « l'ègorgeur »...
un thriller horrifique traitant de la folie destructrice d'un sinistre homme interné ensuite dans un asile de fous. un film à la fois efficace, bien joué: terrifiant Larry Drake dans le rôle du fou Trasher ! même si l'affiche française du dvd laisse à désirer.
Un navet dont les défauts sont légion, mais qui vaut surtout pour la plus brillante interprétation de serial-killer qui soit, j'ai nommé sir Larry Drake : son rôle de l'Ecorcheur donne lieu à un festival de défonçages de portes en carton, de gémissements plaintifs de gros bébé et de regards menaçants avec sa tête de bibendum Michelin, tous du plus bel effet nanar ! Hannibal Lecter peut aller se rhabiller !
plutôt marrant, le méchant de ce film nous fait plus rire qu autre chose. Le scénario est sympa, malheureusement le casting et la mise en scène tout comme les images ç est pas bon. Des scènes qui aurait pu être bien meilleur si les choix de départ avait été mieux fait. Pour dire un film très moyen qui n en vaut pas la peine.
Bon, le film est une série Z. Partant de là, on aurait du mal à lui trouver des qualités, et encore plus à ignorer ses défauts (qui abondent, notamment si on relève son soin des détails (les brico-pièges) et son illogisme (les héroïnes auraient du griller à la fin, pourquoi la gamine ne sort pas de la cage non fermée...). Cependant, pour un amateur de Z comme moi, le film est plutôt efficace, décidant de prendre un script simple : jeune femme mignonne blanche poursuivie par méchant tueur. Un script bourrin sans prétention qui évite les twist et nous balance un tueur d'au moins 140 kilos dans les pattes. Ca impressionne. Une heure trente de décomplexage totale, qui préfère le vide aux explications vaseuses (motivations du tueur ?).
Certes, le scénariste ne s'est pas trop fatigué. Mais cette série B est loin d'être un navet. Il n'y a aucun temps mort, le méchant interféré par Larry Drake, dans le genre bibendum de foire est véritablement très bon, et la très belle Paulina Poizkiva tient son rôle à merveille. On a rarement vue de mémoire de cinéphile autant de spoiler: portes et de cloisons défoncées. Evidemment la fin est prévisible, mais on passe un bon moment. Pour ma part je préféré regarder ça que certains blockbusters bouffis de prétentions
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18 103 critiques
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0,5
Publiée le 7 avril 2020
Des acteurs terrible, une intrigue illogique qui a des trous, pas une seule scène effrayante, etc. Ce film ne donne absolument aucune peur que ce soit. J'aurais pu passer une heure et 30 minutes de ma vie à faire autre chose, mais à la place, je suis resté coincé avec ce navet. La meilleure et la seule bonne chose à propos de ce film était Larry Drake en tant que The Trasher...
Autant aller droit au but : Maniac Trasher est un très mauvais film. Il n'y a rien à sauver, on passe 90 minutes de souffrances, en se demandant où va le film. Le problème, c'est que le film va nulle-part. Le grand méchant de l'histoire, incarné par Larry Drake, nous inspire tout sauf de l'horreur. Et sa manie de s'accrocher aux pieds de l'héroïne devient très rapidement pathétique. L'image est franchement dégueulasse, ce qui donne à ce film une ambiance années 80 très désagréable. La morale, au moins, à le mérite d'être claire : A la vue du Maniac Trasher, mieux vaut s'enfuir...