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chrischambers86
13 965 abonnés
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3,0
Publiée le 3 février 2024
Un gentil classique des Studios Disney dans lequel on s'adonne à la rêverie et à la nostalgie passèe! Quoi de plus rèconfortant qu'une sèance à domicile devant une oeuvre en technicolor combinant animation et prises de vues rèelles avec de belles valeurs sur l'existence, du miel et plein de bons sentiments! Danny rappelle le faon de "The Yearling", tournè deux ans auparavant! Cet agneau n'est pas comme les autres, c'est un mouton noir qui a l'ètoffe d'un champion pour gagner le fameux Ruban Bleu et sa rècompense! L'intèrêt de ce film est pourtant ailleurs, rèsidant essentiellement dans ses splendides dècors natuels! Burl Ives et Beulah Bondi sont d'une bontè dèsarmante! C'est l'oncle et la grand-mère que l'on rêverait tous d'avoir! Bref si vous avez encore votre âme d'enfant alors foncez comme Danny pour voir ce film produit par Disney...
Voici assez méconnu du grand public ! "So Dear to my Heart" est un film vraiment mou... Mou par son histoire tellement que c est plat... Il n y a pas grands choses à dire sur ce film tellement que c est vide. Hormis une chose : le film est un poil trop religieux, notamment sur des choix scenaristiques. (mais bon c est une question d'époque)
Également, j avais peur que le film cache un côté raciste, vu qu'on est dans une période où Disney était en roue libre. Finalement ce n est pas le cas (ou alors j ai pas fait gaffe)
Quand à l'histoire, elle est pas extraordinaire et loin d être memorable...
Les gens n’aiment pas la laine noire » Danny, jeune agneau refoulé par sa mère, est recueilli par Jeremiah. Il a l’ambition de remporter avec son mouton un petit concours local. Film préféré de Walt Disney parce qu’il lui évoque sa propre enfance, Beulah Bondi incarne une grand-mère austère et froide mais dont on prend conscience de tout l’attachement qu’elle porte à son petit-fils, rien que dans son regard lors de la scène de remise de prix. Néanmoins, les séquences animées ne sont pas impératives, ne servant qu’à sécuriser Disney, pas encore disposé à réaliser un film exclusivement en prises de vues réelles. Le métrage serait alors l’antithèse de Mélodie du Sud, des instants d’animation dispensables, là où c’était une des grandes réussites de celui-ci.
Peu d’animation dans ce douzième classique des studios Disney qui délaisse la structure du film à sketchs pour une narration plus fluide. Le récit initiatique du jeune Danny, voulant faire de son mouton noir un champion de foire, est pétri de morale chrétienne. Aussi lourd qu’anecdotique.
Le temps a fait son œuvre pour détruire tout le charme de cette historiette vraiment ridicule et niaise. Soit on est est nostalgique de cette époque et on vit mal la société d'aujourd'hui, soit on essaye de vivre avec son époque et on oublie cette fable totalement sucrée et démodée. Une vieille dame ennuyeuse face aux enfants qui au moins ont cette fraîcheur qui est intemporelle. Sinon tout est est dans la chanson d'un autre temps: "Gardez l’espoir, c’est la ténacité qui vous fera gagner"
C'est un film de 1948 qui raconte une histoire de 1903 et aurait mérité que davantage fassent l'effort de resituer ce contexte. C'est une histoire champêtre, un film pour la jeunesse avec quelques séquences d'animation d'une autre époque mais qui se laisse regarder ; ce n'est pas ni un documentaire, ni une animation, ni un film Disney qui aurait un certain prestige. Un peu naïf mais réaliste et bienfaisant en tout point, la simplicité et la justesse du propos en tenant compte du décalage et de la cible vaut une recommandation appuyée. Sans être un chef d'oeuvre ce film a de belle qualités nostalgiques positives ce qui est son thème principal, ce sentiment qui est celui défini par le titre anglais : so dear to my heart.
Le déroulement de l’histoire est le même que pour Mélodie du Sud et j’ai de nouveau beaucoup aimé. Ce Disney est peu connu mais il mérite d’être vu. C’est terriblement touchant, mignon et émouvant. La chanson du début est très jolie et j’ai adoré celles que chante l’oncle Hiram sur tout et n’importe quoi. D’ailleurs j’ai eu un gros coup de coeur pour ce personnage qui fait tout son possible pour aider Jeremiah son neveu. On ne peut que s’attacher aussi au vilain petit mouton noir Danny. Comme d’habitude il y a une morale, ici c’est on fait ce que l’on peut avec ce que l’on a qui est répétée plusieurs fois dans le film.
➖Avis bref : Danny, le petit mouton noir est le 14e long-métrage d'animation des studios Disney, ( ⚠� ce n’est pas le 14eme long-métrage, celui-ci c’est uniquement un hors classique). Une histoire entre un jeune garçon et un mouton noir. Dans la veine de Melodie du sud il mêlera animation et prises de vues réelles. Quelques courts-métrages sont présent au cours du film, pour une histoire principale tendre et mignonne. Cela reste très rétro avec un certains style d’époque. Ce laisse suivre jusqu’à son dénouement juste et joyeux. Enfin bref, d’époque et légèrement méconnue pour du Disney (même si hors classique)
Danny le petit mouton noir, est un film Disney introduisant une petite séquence en animé 2D (à l’image de Mary Poppin’s). Ce n’est pas le plus beau film du Studio, mais il se laisse regarder sans mal. Les personnages sont attachants (surtout la Grand-mère), l’histoire est convenue, mais fonctionne très bien, l’ambiance et les musiques sont sympa, le seul défaut vient d’un manque flagrant d’originalité.
Je n'avais jamais vu ni même entendu parler de ce Walt Disney et du coup par curiosité je l'ai tenté avec mes enfants et bien je ne regrette pas du tout car nous avons passé une merveilleuse soirée !! L'histoire de ce petit garçon et de son petit mouton est adorable, pleine de bons sentiments et d'aventures et je regrette sincèrement qu'on ne fasse plus de films si émouvants aujourd'hui !! L'ambiance des films d'antan est inégalable et je recommande vraiment ce film à tous !!
Un Disney vraiment trop mièvre et gnangnan. C'est long à regarder, malgré le fait que l'animation et le film soient réunis, c'est sympa, mais l'histoire est franchement nulle et pleine de bons sentiments et de morale, c'est insoutenable.
Un Disney vraiment trop mièvre et gnangnan. C'est long à regarder, malgré le fait que l'animation et le film soient réunis, c'est sympa, mais l'histoire est franchement nulle et pleine de bons sentiments et de morale.
A la manière de Mélodie du Sud (1946), Danny, le petit mouton noir (1948) est un film Disney en prises de vues réelles agrémenté de quelques séquences en animations. Basé sur le livre "Midnight and Jeremiah" (1943) de Sterling North, Hamilton Luske en a retranscrit une oeuvre extrêmement mièvre et explicitement catholique. Le scénario est d'une simplicité désarmante, la rencontre entre un petit garçon et un mouton noir que personne ne semble apprécier sauf lui. Avec son lot de morale et de discours bien pensant, le film devient rapidement lassant, on comprend pourquoi ce film est si méconnu à ce jour.