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Alexarod
276 abonnés
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1,5
Publiée le 25 août 2018
Assez déçu par la 1ère OAV j’ai prit le temps avant de tenter la seconde, et j’aurais du prendre encore davantage de temps… En effet c’est vraiment pas terrible. Déjà on dirait un épisode qu’on a étiré artificiellement au possible. Cela arrive souvent dans les OAV et c’est toujours les pires, fallait pas y couper avec City Hunter, tant pis. Ensuite l’histoire, c’est juste un patchwork d’évènements pris dans la série, allez tiens : un tireur surdoué qui va faire un duel contre Nicky, l’ennemi vient d’une ambassade étrangère, le méchant jouait du violon pour les morts pendant la guerre, un grand-père déteste son gendre et surprotège sa petite fille elle-même surdouée en musique comme sa mère, l’Eléphant qui s’incruste et détruit tout…). Du coup, comme la trame est classique en plus, on devine tout et on s’ennuie. A côté de ça les dialogues sont plats, le dessin est peu soigné (de qualité moindre que la série), la VF est différente de celle qu’on connait, le rythme est lent car il traine en longueurs avec beaucoup de passages inutiles, l’humour est quasi absent, la musique et le générique sont moches car on zappe le côté jazz-blues et le saxo habituel pour placer plus de rock. Par contre on a droit aux noms japonais (Ryo Umibozu, Kaori), la censure est aux abonnées absents donc quelques injures, du sang, des évocations d’hôtels et des fesses apparaissent, la tenue originale de Nicky revient, les bruitages sont ceux de la série et on ne dénature pas le perso car on reste dans un environnement très classique pour lui (une femme vient lui demander de l’aide pour retrouver quelqu’un et il faut la protéger). En somme, une OAV inutile, peu soignée, à la limite du caricatural parfois, qu’on voit une fois pour la zapper directement, on sent que la franchise se finissait et qu’on voulait en profiter encore un peu, dommage car la créativité des scénaristes apportait beaucoup, pas là.
Résumé de ce premier film d'animation dérivé de la série, sorti en 1989 : "Nina Stenberg, une jeune prodige du piano, fugue puis fait appel à Ryô pour retrouver son père parti alors qu'elle était enfant. Son grand-père, Klaus, n'est pas de cet avis. Le père de Nina se trouve être un tueur professionnel connu sous le nom de "l'exterminateur rouge". Ils se retrouveront embarqués dans une affaire d'espionnage face à un redoutable tueur cherchant à concilier les demandes de ces supérieurs et la vie de sa fille" (Wiki). Mon principal plaisir aura été de retrouver Nicky et Laura dans une nouvelle aventure somme toute classique.
2,5/5 moyen. Je pense que les musiques sont excellentes quand il y en a mais qu'elles ne rythment pas assez l'action à mon goût dans cet épisode (étant grand fan de la série de base).
1er OAV de City Hunter qui suit une trame relativement classique pour la série. L'ensemble est agréable à regarder mais on peine à retrouver l'humour de la série Les dessins sont dans la droite ligne de l'anime, sobres et classes. Pas le meilleur OAV mais pas mauvais
Amour, Destin et un Magnum 357 ne se classe pas parmi mes OAV préférés de Nicky Larson/Ryo Saeba. Ca revient toujours à la même chose, soit une fille qui a besoin de protection et qui est harcelée par Ryo Saeba. Du coup, Ryo s'en prend plein la tronche de la part de Kaori, ainsi que d'Umibozu. Bref, j'aime beaucoup City Hunter, mais ça devient sérieusement lassant, en particulier dans les OAV qui se ressemblent tous les uns au autres. Au final, ce long-métrage de City Hunter est regardable, mais je vous conseillerais plutôt de regarder les différents OAV à une large période, car j'ai aussi ce ressenti à cause du fait d'en avoir vu plusieurs en une semaine.
J'ai adoré ce film de City Hunter. De l'humour, de l'action. Le scénario est bon même s'il est un peu prévisible. Un très bon divertissement néanmoins.
Un bon long épisode de City Hunter à condition bien sur d apprécier les exploits du détective érotomane. On a de l action, des gags (même si à ce niveau l impression de déjà vu est souvent la), du rythme et un côté buddy Movie à la sauce nippone qui fait mouche.
Un peu long à se lancer, ce premier film de la série "City Hunter" est assez peu réussi sur le plan de l’humour puisqu’il se contente de recycler des gags déjà vus de nombreuses fois. Par contre, l’intrigue autour de cette pianiste à la recherche de son père recèle quelques bons rebondissements et des jolis séquences d’action.
Sorte de long épisode de Nicky Larson, accumulant les longueurs, reste le plaisir nostalgique d’un dessin animé marquant des années 90 et de la Génération Club Dorothée. On trouve ici l’esprit plus trash et pervers de Larson que l’on ne voyait pas dans le dessin animé. Assez déroutant en 2020 pendant l’épisode #metoo.
J'ai rarement été aussi gêné devant un film d'animation. J'ai d'abord et surtout été gêné par la légèreté avec laquelle les scénaristes traitent d'harcèlements sexuels et même d'une tentative d'agression sexuelle. Je veux bien qu'on fasse de l'humour sur un dragueur un peu lourd ou sur un obsédé sexuel. Pas de problème, je serai probablement un des premiers à en rire. Mais là, on est sur un autre niveau. On est sur un mec qui spoiler: se cache dans une salle de bain, attend qu'une femme soit nue et sort en caleçon en l'enlaçant et lui proposant des trucs sexuels . Là clairement, on est dans un délit et la façon de le traiter semble banaliser ce comportement.
Alors oui, le film date de 1989, avant la prise de conscience des problèmes des atteintes à la liberté sexuelle des femmes. Oui, j'en suis conscient. Mais en 1989, on savait déjà qu'une situation comme celle-là était inadmissible et qu'il ne fallait surtout surtout pas banaliser un tel comportement.
Au contraire, dans "City Hunter : Amour, Destin et un Magnum 357", on rend le personnage principal sympathique. Ce serait presque un trait de caractère attachant. On n'a aucune prise de distance avec ce personnage. Alors "gênant", c'est un euphémisme.
Et le pire, c'est que l'on ne peut même pas se raccrocher à d'autres choses pour oublier cet aspect : les personnages sont lisses, l'histoire est prévisible ...
Nicky Larson ou City Hunter pour les vrais connaisseurs est une œuvre majeur de l'animation japonaise et ses films ne dérogent pas à la règle, le côté pervers gentillet de Nicky Larson y est bien retranscrit, l'ambiance est identique, c'est un vrai épisode d'1h30 et ce n'est pas pour me déplaire