Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Lise Bellynck
C'est peut-être ainsi qu'il faut regarder le cinéma de Bodrov, comme une tragédie antique.
Cine Libre
par Jean-Max Méjean
Il sort en France le 17 juillet et il faut aller le voir ne serait-ce que pour recevoir une leçon de cinéma : chaque plan est comme un tableau, une oeuvre d'art. Calme, couleurs, sons, tout retrace la vie d'un village du bout du monde et d'un autre temps qui aurait tout pour être tranquille, sauf que la guerre vient tout chambouler et ne manque pas de nous rappeler tous les conflits du monde.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'Obs
par Pascal Mérigeau
L'oeuvre d'un cinéaste de grand talent, qui à partir du cinéma et de lui seul crée atmosphère et sensations, fait naître impressions et sentiments, au gré d'un récit parfaitement maîtrisé, qui souvent touche juste et fort.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Le cinéaste, qui associe superbes images et splendides interprètes, compose une fresque généreuse au coeur des montagnes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Isabelle Danel
Il lui a fallu six années pour arriver sur nos écrans, six années durant lesquelles le conflit tchétchène et bien d'autres guerres fratricides ont continué d'alimenter la réflexion de base de cette oeuvre ironique et engagée. (...) Le Prisonnier du Caucase apparaît aujourd'hui comme son meilleur film.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Antoine Baecque
Dans le Prisonnier du Caucase, il y a encore un peu d'humanité, de la dérision, de l'humour noir, des plans de montagne d'une beauté pure, quelques mots échangés, et des regards entre le jeune Russe et la gamine du village. Il y a encore du cinéma et de la vie qui s'en échappe, même si cela est menacé à tout moment par les pulsions et les éclats d'une mort omniprésente.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Cerise sur le gâteau, sa mise en scène nous promène, grâce à une superbe lumière et de magnifiques plans, dans une région très reculée de la planète, un petit village enclavé dans les montagnes caucasiennes. A découvrir d'urgence.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Jamais didactique, jamais folklorique, Le Prisonnier du Caucase avance comme une sorte d'aventurier itinérant, à hauteur du réel qu'il embrasse, se refusant toute échappée ou tout détour superflu.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce film bon enfant, à la teneur quasi-ethnographique, doit beaucoup à l'authenticité (et à la beauté rude) des décors naturels et des interprètes autochtones, tous amateurs. Il faudra désormais compter avec Bodrov, réalisateur au style classique dont les films sortent hélas en catimini.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
La confirmation d'un talent d'un cinéaste humaniste : Sergueï Bodrov conte avec subtilité l'épopée de deux soldats russes captifs dans un village archaïque du Caucase.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Loup Bourget
Bodrov a tourné son film (...) dans les grandioses paysages du Daghestan. De subtiles rimes visuelles rapprochent les stèles couvertes de lichen du cimetière musulman et les treillis léopards des russes. Bodrov a dirigé avec bonheur une distribution où un comédien connu (Oleg Menchikov) voisine avec des non-professionnels et avec son propre fils dans le rôle du jeune prisonnier.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Sophie Grassin
(...) Le prisonier du Caucase joue sur la beauté de ses plans dénués de tout formalisme gratuit, plaide pour la force de l'humanisme contre l'engrenage de la violence, et sait utiliser l'humour avant que la tragédie ne finisse par forcer le rire au silence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Eric Quéméré
Mais, loin du factuel, ce film à la beauté singulière évoque plutôt, de manière presque métaphorique, l'absurde et tragique incompréhension des peuples. Sujet atemporel s'il en est...
La critique complète est disponible sur le site Zurban
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) on se demande longtemps où le réalisateur veut en venir. Mais, sous l'impulsion inespérée du dernier quart d'heure, le film se met soudain à décoller et à nous serrer le coeur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Télérama
par Marine Landrot
(...) que faire face à un film aussi simpliste et manichéen, qui montre tous les tchétchènes comme des égorgeurs et les Russes comme des saints ? Réponse : s'abstenir d'aller le voir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
C'est peut-être ainsi qu'il faut regarder le cinéma de Bodrov, comme une tragédie antique.
Cine Libre
Il sort en France le 17 juillet et il faut aller le voir ne serait-ce que pour recevoir une leçon de cinéma : chaque plan est comme un tableau, une oeuvre d'art. Calme, couleurs, sons, tout retrace la vie d'un village du bout du monde et d'un autre temps qui aurait tout pour être tranquille, sauf que la guerre vient tout chambouler et ne manque pas de nous rappeler tous les conflits du monde.
L'Obs
L'oeuvre d'un cinéaste de grand talent, qui à partir du cinéma et de lui seul crée atmosphère et sensations, fait naître impressions et sentiments, au gré d'un récit parfaitement maîtrisé, qui souvent touche juste et fort.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Le cinéaste, qui associe superbes images et splendides interprètes, compose une fresque généreuse au coeur des montagnes.
Les Echos
Il lui a fallu six années pour arriver sur nos écrans, six années durant lesquelles le conflit tchétchène et bien d'autres guerres fratricides ont continué d'alimenter la réflexion de base de cette oeuvre ironique et engagée. (...) Le Prisonnier du Caucase apparaît aujourd'hui comme son meilleur film.
Libération
Dans le Prisonnier du Caucase, il y a encore un peu d'humanité, de la dérision, de l'humour noir, des plans de montagne d'une beauté pure, quelques mots échangés, et des regards entre le jeune Russe et la gamine du village. Il y a encore du cinéma et de la vie qui s'en échappe, même si cela est menacé à tout moment par les pulsions et les éclats d'une mort omniprésente.
MCinéma.com
Cerise sur le gâteau, sa mise en scène nous promène, grâce à une superbe lumière et de magnifiques plans, dans une région très reculée de la planète, un petit village enclavé dans les montagnes caucasiennes. A découvrir d'urgence.
Chronic'art.com
Jamais didactique, jamais folklorique, Le Prisonnier du Caucase avance comme une sorte d'aventurier itinérant, à hauteur du réel qu'il embrasse, se refusant toute échappée ou tout détour superflu.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Ce film bon enfant, à la teneur quasi-ethnographique, doit beaucoup à l'authenticité (et à la beauté rude) des décors naturels et des interprètes autochtones, tous amateurs. Il faudra désormais compter avec Bodrov, réalisateur au style classique dont les films sortent hélas en catimini.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
La confirmation d'un talent d'un cinéaste humaniste : Sergueï Bodrov conte avec subtilité l'épopée de deux soldats russes captifs dans un village archaïque du Caucase.
Positif
Bodrov a tourné son film (...) dans les grandioses paysages du Daghestan. De subtiles rimes visuelles rapprochent les stèles couvertes de lichen du cimetière musulman et les treillis léopards des russes. Bodrov a dirigé avec bonheur une distribution où un comédien connu (Oleg Menchikov) voisine avec des non-professionnels et avec son propre fils dans le rôle du jeune prisonnier.
Première
(...) Le prisonier du Caucase joue sur la beauté de ses plans dénués de tout formalisme gratuit, plaide pour la force de l'humanisme contre l'engrenage de la violence, et sait utiliser l'humour avant que la tragédie ne finisse par forcer le rire au silence.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Mais, loin du factuel, ce film à la beauté singulière évoque plutôt, de manière presque métaphorique, l'absurde et tragique incompréhension des peuples. Sujet atemporel s'il en est...
TéléCinéObs
(...) on se demande longtemps où le réalisateur veut en venir. Mais, sous l'impulsion inespérée du dernier quart d'heure, le film se met soudain à décoller et à nous serrer le coeur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Télérama
(...) que faire face à un film aussi simpliste et manichéen, qui montre tous les tchétchènes comme des égorgeurs et les Russes comme des saints ? Réponse : s'abstenir d'aller le voir.