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Un visiteur
4,5
Publiée le 27 janvier 2020
Un très bon film, plein d'émotions. Très bien servi par d'excellents acteurs. Un grand moment émotionnel pour ma part et quelques larmes... Si vous aimez les sentiments, la famille et les amis; allez voir ce joli film.
Un film d'une grande sensibilité dans lequel Jean-Paul Rouve est exceptionnel dans son rôle de grand frère responsable qui prend soin de tout le monde mais pas assez de lui... une remise en cause de ce qu'il est et des questionnements sur la vie qu'il aurait pu avoir s'il avait fait d'autre choix.
J'ai pris plaisir à découvrir, Jean Paul Rouve, un acteur vers qui je ne serais pas allé de prime abord. Dans ce film il est émouvant, véridique, sincère. Chaque acteur et actrice, est en parfait accord avec le personnage joué. Elles et ils sont parfaits. Je n'avais lu ce livre, ni Anna Gavalda, je me suis donc laissé bercer par cette histoire très touchante. La vie d'une famille, qui en 2020, est parfaitement traitée par Arnaud Viard qui quarante ans après Claude Sautet et ses films de "vie" nous réconcilie avec ce genre. Merci pour ce film "français" !
Un film remarquable de famille où toutes les émotions de la vie s'entremêlent : la joie, la peine... Le casting est vraiment top, une révélation d'acteurs impressionnante. J'ai adoré la mise en scène, la réalisation est superbe. Merci pour ce joli moment.
Un film pour un après-midi pluvieux et venteux... pas trop long, juste le temps de sécher ses pieds... Pour le reste, c'est poussif, très ennuyeux et sans émotion sauf Jean-Paul Rouve qui porte un peu le film sur ses épaules parce que les autres...
Bon film mais trop court. Jean-Paul Rouve m'a agréablement surpris, j'ai également adoré l'énergie d'Alice Taglioni, la sensibilité de Benjamin Lavernhe et le charme d'Elsa Zylberstein. TROP court car on reste presque frustré de ne pas approfondir chaque personnage tant ils nous séduisent et surtout le manque d'approfondissement des situations comme le repas de Noël, la liaison du frère avec sa collègue Sarah, etc. Bref! Tout arrive trop vite dans le film…. Un peu dommage pour moi il aurait pu durer 2 heures.
Je ne m’attendais certes pas à un chef d’œuvre, mais j’avais gardé un bon souvenir du film « Ensemble c’est tout » de Claude Berri, également tiré d’un bestseller d’Anna Gavalda.
« Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part », c’est l’histoire de quatre frères et sœurs de 30 à 45 ans issus d’un milieu bourgeois. Leur père est mort depuis un moment et c’est Jean-Pierre, le frère aîné (très bien interprété par Jean-Paul Rouve), qui fait office de figure paternelle aux côtés de la mère.
Chaque membre de la fratrie est à un stade différent de la vie, typique de son âge : la plus jeune se cherche professionnellement, les cadets sont dans la (dé)construction amoureuse / familiale, et l’aîné a une vie apparemment classique et rangée.
La première demi-heure du film n’est pas si mal : intéressant d’observer les rapports de ces frères et sœurs qui ont chacun développé une relation particulière avec la mère. Intéressant aussi de découvrir ce que chacun a au fond de lui, dissimulé derrière le masque social.
Malheureusement, le film s’écroule passé quarante minutes et plus on avance, plus le scénario manque de cohérence, de consistance et devient presque ridicule.
C’est dommage car les thèmes de départ sont intéressants et le casting était plutôt prometteur. Outre Jean-Paul Rouve et Bertrand Lavernhe, Elsa Zylberstein joue un joli rôle dans ce film.
Très beau film. Tout en nuance et pudeur. On entre dans la vie de cette famille tout en douceur et on s'y attache. Un magnifique casting. Du rire et beaucoup beaucoup d'émotions.
Les quatre enfants d'Aurore (Aurore Clément) l'entourent pour son soixante-dixième anniversaire dans sa grande maison de campagne : Jean-Pierre (Jean-Paul Rouve), l'aîné, est marié et père de famille mais n'a jamais oublié son premier amour ; Juliette (Alice Taglioni) apprend qu'elle attend enfin son premier enfant ; Mathieu (Benjamin Lavernhe) n'ose pas avouer sa flemme à une collègue de bureau ; Margaux (Camille Rowe), la benjamine, n'arrive pas à vivre de son art.
Dans les années 2000, comme la France tout entière, j'ai cédé à la Gavalda-mania. Je l'ai découverte avec "Je l'aimais" (porté à l'écran par Zabou Breitman avec Daniel Auteuil et Marie-Josée Croze). Deux ans plus tard, je dévorais d'une traite les six cents pages de "Ensemble c'est tout" (adapté par Claude Berri himself avec Audrey Tautou et Guillaume Canet). Du coup, j'achetais son tout premier recueil de nouvelles au titre tarabiscoté. Et puis Anna Gavalda a disparu. En 2013, elle a publié "Billie", étrillé par la critique, que je n'ai pas lu. Et en 2017 un recueil de nouvelles qui sent trop les fonds de tiroir pour être crédibles.
Il a fallu attendre plus de vingt ans pour que Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part soit porté à l'écran. La tâche en est revenue à Arnaud Viard. En 2003, ce jeune réalisateur signait son premier film, "Clara et moi", pour lequel j'avais eu un coup de foudre, au point de le classer dans mon Top 10 et d'en acheter la BO. ce blog n'existait pas encore ; mais je lui aurais mis sans hésiter quatre étoiles.
Il n'est pas facile de porter à l'écran un recueil de nouvelles. Je n'ai qu'un souvenir très confus de leur contenu. Aussi je serai bien incapable de dire lesquelles Arnaud Viard a retenues, lesquelles il a écartées dans ce film choral quit met en scènes quatre frères et sœurs.
Les acteurs y sont parfaits, à commencer par jean-Paul Rouve qui, depuis quelques années, abandonne peu à peu le registre comique qui a fait son succès. Il est très émouvant dans le rôle de ce quadragénaire nostalgique, dévoré par le regret. Elsa Zylberstein a un petit rôle. C'est le troisième film d'elle qu'on voit en quinze jours après Selfie" et "Je ne rêve que de vous", tous deux sortis le 15 janvier. Et on réalise que sa voix haut perchée et ses yeux qui rient manquent au cinéma français. Enfin, il y a Camille Rowe, qui, non contente d'être la plus belle fille au monde, démontre qu'elle sait jouer.
Leurs vie banales ressemblent aux nôtres, avec leurs joies et leurs peines. On pleure beaucoup. Mais "Je voudrais…" n'en est pas pour autant un film larmoyant. Car ses larmes sont pudiques. Ses larmes font paradoxalement du bien. "Je voudrais…" est un feel-good movie triste, un mélodrame qui fait du bien.
Malgré le bon casting, le bon scénario,les émotions le film manque énormément de dynamisme très compliqué d’être à fond dedans. Je n’ai pas lu le livre je ne sais pas ce que ça donne mais en tout cas au cinéma passez votre chemin il y a de meilleurs films en salle en ce moment.
Contrairement à d'autres commentaires, j' ai été ému et très agréablement surpris par ce film magnifique. Sans doute, par ce qu'il est simple, dans une famille toute traditionnelle, avec ses complications, ordinaires, entre frères et soeurs et des parcours compliqués, contrastés mais amusants. Outre Jean-Paul Rouve dans un autre registre que les "Tuche", c'est notamment Benjamin lavernhe qui se démarque - génial. Bien entendu les "filles" : Camille Rowe, Alice Taglioni et surtout Elsa Zylberstein, sont épatantes. Alors que le rythme s'installe calmement, le scénario offre un rebondissement de taille, et permet de mieux appréhender les personnalités cachées. Bouleversant à souhait et très plaisant, le plaisir est écourté et on en est même frustré, tant les caractères et les personnalités attachantes font écho à nos propres vécus.... !! **
Il y a des films qui vous bouleversent car ils vous parlent à vous, à l'intime. Remplis de sentiments, d'émotions. La vie, la famille, les doutes, les joies, les bonheurs, les engueulades, le soutien, le quotidien, les écarts et les habitudes, nos frustrations et nos attentes, le travail, le quotidien, les secrets, tout ce qui fait de nous des êtres uniques avec les mêmes expériences que les autres. Un peu comme "Play" ce film nous parle de l'essentiel, nous, sans masquer les autres, sans oublier les autres. Car sans les autres, nous ne sommes personne. Peu de films ont été capables de me faire ressentir ça. Au travers de cette fratrie dont on suit des bouts de vie, on identifie des bouts de notre vie. C'est maladroit par certains moments, déséquilibré en mettant en avant certains aspects plus que d'autres, en insistant sur des points puis en les occultant. Mais ce film est comme la vie, on va se rappeler de détails insignifiants en oubliant des grands moments. Courez voir ce film et ne soyez pas honteux de sentir une larme couler le long de la joue ou de vous esclaffer devant une situation ridicule. La vie est vivante, ce film est vivant . . . Et moi aussi, j'aimerais bien que quelqu'un m'attende quelque part . . .