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Serpiko77
59 abonnés
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3,5
Publiée le 30 septembre 2013
Bien évidemment l'effet de surprise n'opère plus, tant cette suite ressemble au premier opus, mais ça reste toujours aussi délirant à voir et Zach Galifianakis s'affirme de plus en plus comme une star montante du cinéma comique.
C'est exactement le même que le premier volet mais en moins bien. Les gags et les scènes sont les mêmes. Il n'y a plus aucune surprise, alors on s'ennuie un peu.
On prend les mêmes et on recommence. Nouveau mariage, nouvel enterrement de vie de garçon, nouvelle gueule de bois accompagnée d'une nouvelle disparition ! C'est du réchauffé mais ça marche, on ne s'ennuie pas une seule minute. Ce coup-ci, c'est à Bangkok que les souvenirs vont devoir ressurgir. À défaut d'originalité, Very Bad Trip 2 pratique la surenchère, tout est plus déjanté.
Un deuxième opus réussi, qui suit le schéma du premier, les gags sont hilarant, le trio que forme ses trois acteurs est toujours aussi jouissif, quel plaisir de les revoir à l'écran. Une réussite
Adulé par un public de demeurés (je suis désolé mais c’est la vérité) Very Bad Trip avait créé l’événement (et le gonflement des poches de Todd Philips, mais ça tout le monde s’en fiche). Pour entretenir l’amour du troupeau de moutons à sa licence, Todd Philips se lance dans une suite. Arrive-t-il à se renouveler à se renouveler tout en faisant un bon film ? La réponse dans quelques lignes.
Apparemment, les scénaristes de Very Bad Trip connaissent bien la méthode du copier-coller. Ils placent alors nos héros dans la même situation que dans le film précédent, et changent juste l’endroit. On aurait pu penser qu’un peu de changement pourrait apporter de l’originalité, mais non…vive la créativité. Et c’est bien le gros problème de ce film. Il garde trait pour trait la même direction que son prédécesseur et fait office de pâle copie, qui offre au spectateur tout le désappointement qu’il attendait. Dans un élan de génie remarquable, le film nous ressort tous les gros clichés nauséabonds qu’on voit venir deux heures à l’avance…ça…alors. On constate que rien n’est fait pour garder le spectateur dans le film. L’histoire décousue n’est qu’un enchaînement de situations qui ne sont pas du tout intéressantes. On n’attendait pas Very Bad Trip 2 pour avoir un scénario captivant, mais tout de même, il faut que le spectateur se prenne un minimum dans le film, sinon rien ne le touche et tout ce qui se passe n’a aucun effet sur lui. Et c’est exactement ce qui s’est passé.
Le film n’est également pas aidé par le fait qu’on se fout totalement des personnages. « Mais noble et brillant critique de cinéma » allez-vous me dire, « s’attacher aux personnages n’est pas utile vu que tout ce qui compte, ce sont les gags qu’ils amènent ». Et dans mon immense gratitude je vous répondrai : Sans attachement aux personnages, on ne s’investit pas dans le film, on le regarde alors de loin. Ainsi tout ce qui se passe nous touche beaucoup moins (voire pas du tout dans le cas de ce film) que si nous étions attachés à ces personnages, et que nous étions dans le film. Leçon de cinéma terminé. On retrouve donc nos joyeux protagonistes du premier film avec grande…avec…grande…on les retrouve. Reviennent alors Stu, la grosse victime Phil (Bradley Copper), pour que les filles aillent voir le film et Alan qui est l’élément comique préféré du réalisateur. Ce dernier est le seul auquel Todd Philips s’intéresse vraiment et chacune de ses interventions est à but comique, malheureusement avorté par une écriture très faible. Car oui les comportements outranciers et le langage vulgaire ça ne fait plus rire personne…à part quelques millions de demeurés. Stu et Phil sont quant à eux juste là pour meubler et ne servent à rien. Et on retrouve aussi (Ken Jeong), surjoué et encore plus vulgaire qu’Alan, et c’est son meilleur ami…ça…alors…
En guise de transition laissez-moi vous rappelez le rôle d’une comédie…oui Very Bad Trip 2 est une comédie…qui l’eut cru. Une comédie doit faire rire son auditoire. Il n’y a strictement, absolument, définitivement rien de drôle dans Very Bad Trip les gags sont beaucoup trop forcés et toute tentative d’humour se révèle futile. Rappelons aussi que l’humour est celui d’un adolescent hébété qui n’aurait rien à envier à un film de Michael Bay, et dont la trouvaille la plus inventive concerne la taille prétendue du sexe des Chinois…et vous osez appeler ça du cinéma !
Very Bad Trip 2 est donc une copie ennuyante, pas du tout drôle et abrutissante de Very Bad Trip. Un film presque aussi mauvais que Transformers 3.
C'est une très bonne suite. On fait référence au film précédant mais juste assez pour enclencher la deuxième aventure. Le scénario tient la route et la galerie de personnage est sympathique. Très bon divertissement.
On retrouve le trio avec plaisir, mais les gags sont moins percutantes et efficaces que dans le premier, la surprise n'est plus là non plus. Un bon moment, mais sans plus.
Un deuxième volet toujours drôle mais forcément moins bien que le premier. J'ai eu une sensation de répétition, l'impression de voir les mêmes gags que dans le premier : spoiler: toujours la perte de l'un d'entre eux, un doigt coupé à la place de la dent arrachée, le kidnapping du tigre remplacé par celui d'un singe... La liste est longue. J'ai noté également l'absence du personnage de Doug comme dans le premier, c'est dommage, je pensais que dans ce deuxième volet on le verrait plus. Et autre petit détail, à moins que j'aie raté un passage, spoiler: on ne sait pas pourquoi Alan a la tête rasée... J'ai quand même apprécié et je regarderai malgré tout le troisième volet pour voir s'il y a un peu d'originalité, même si je pense que ce sera celui de trop...
J'ai trouver le 2 mieux que le 1. Certes le principe ne change pas du tout, mais il est encore plus pousser, le délire va encore plus loin. Ce film part dans un grand n'importe quoi et nous permet de rigoler plusieurs fois, et encore plus que dans le premier. Bravo aux réalisateur pour l'imagination qu'il a eu !
L'idée de base était bonne mais il faut avouer que là on nous sert du réchauffé. Malgré un scénario qui va a mille à l'heure, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent. Je n'ai même pas ris mais il faut dire que je suis un public assez sévère. En plus de cela je ne trouve pas les personnages principaux particulièrement attachants. Cependant il y a certains détails dans le scénario qui sont sympathiques. Je me demande encore comment ils ont pu en réaliser en troisième. Pour conclure, j'ai passé un moment tranquille, sans plus. 9/20.
D’aucuns diront que c’est un copier/coller. Je suis d’accord. Il suffit de changer bébé contre un capucin, Las Vegas pour Bangkok, Doug pour Teddy, et le mariage de Doug pour le mariage de Stu. Tant qu’à faire du copier/coller, je m’y mets en copiant/collant ma critique du premier opus ; après tout, si le réalisateur ne se casse pas la tête, pourquoi devrais-je me la casser ? J’ai déjà une critique de prête ! Il suffit de changer les noms et de la raccourcir. Je me casse un peu la tête à mettre entre parenthèse mes variantes pour le 2 : « Je suis désolé, je me suis un peu ennuyé. Ce road movie gueule de bois à la recherche de leur ami Doug (du jeune Teddy) est quelque peu plombant. Il y a bien quelques situations cocasses mais rien d’hilarant. Ca partait bien jusqu’au réveil, (ça partait mal pour ce second volet) ensuite l’ennui a pris la relève. Si le gag du tigre (du capucin fumant des clopes était prenant), que dire du réveil, (ça empestait le réchauffé. C’est vrai, c’est la griffe du thème)... Vraiment désolé. » Cette fois, je ne suis plus désolé, Ce very bad 2 est very very doublement bad...
Suite inutile d'un très bon film qui aurait du s'arrêter dès le premier volet. Dans ce second opus, rien de nouveau, des gags copiés-collés, un scénario qui ne bouge pas. Bref, c'est une perte de temps.