Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Ciné Live
par Anne Michel
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par L.N.R.
La caméra d'Agresti est souvent portée à l'épaule. (...) elle est animée d'une passion tactile, portant sur le monde un regard d'escrimeur dont l'intention est de toucher juste, au coeur du sensible, là où ça résiste.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Joan Amzallag
Buenos Aires vice versa est un film violent, sans pudeur, qui a le mérite de remettre les pendules à l'heure sur un pays peu connu de la vieille Europe, et qui a du mal à guérir ses plaies.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Lenouveaucinema.com
par Gilbert Louis
Entre fiction et documentaire, ce film corrosif, un brin touffu, n'est jamais aussi convaincant que lorsqu'il développe la violence contenue des relations humaines.
Première
par Christophe Carrière
Le plus réjouissant, c'est qu'il (Alejandro Agresti, Ndlr) a des choses à montrer, apanage du bon metteur qui n'oublie pas de faire de l'image avant de filmer des mots.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
Certes, les métaphores sont plombées par l'honorable volonté de démonstration, mais elles ont au moins le mérite de tracer un juste portrait de l'Argentine, et plus largement d'un continent dont les veines restent désespérément ouvertes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
C'est plutôt Buenos Aires dans tous les sens ou même dans n'importe quel sens, tant ce film est (volontairement) mal filmé, au point de faire passer Lars von Trier (les Idiots) et Thomas Vinterberg (Festen) pour des jansénistes de la caméra.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Un puzzle (...) qui n'est pas sans séduction, car les scènes sont bien filmées et les acteurs souvent attachants. Mais le principe de la mosaïque fait long feu, il lasse (...). L'ensemble n'est pas inintéressant, mais guère passionnant non plus.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) le parti pris est visuel : tout est montré, mais rien n'est vraiment énoncé. Un pari difficile, pas toujours maîtrisé : confus au départ, ce film choral gagne au fur et à mesure en cohérence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Jean-Marc Lalanne
Malgré son large éventail d'histoires individuelles, Buenos Aires Vice Versa est terriblement monotone. On en sort un peu fourbu, comme après de longues heures brumeuses passées à refaire le monde avec des inconnus dans un bar de quartier.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
par Jérôme Provençal
Le recours pesant à une musiquette décorative, le typage des personnages et un rebutant approximatisme filmique (...) édulcorent Buenos Aires vice versa et desservent son propos par ailleurs plus voyant que le nez au milieu de la figure.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
La caméra d'Agresti est souvent portée à l'épaule. (...) elle est animée d'une passion tactile, portant sur le monde un regard d'escrimeur dont l'intention est de toucher juste, au coeur du sensible, là où ça résiste.
Le Monde
Buenos Aires vice versa est un film violent, sans pudeur, qui a le mérite de remettre les pendules à l'heure sur un pays peu connu de la vieille Europe, et qui a du mal à guérir ses plaies.
Lenouveaucinema.com
Entre fiction et documentaire, ce film corrosif, un brin touffu, n'est jamais aussi convaincant que lorsqu'il développe la violence contenue des relations humaines.
Première
Le plus réjouissant, c'est qu'il (Alejandro Agresti, Ndlr) a des choses à montrer, apanage du bon metteur qui n'oublie pas de faire de l'image avant de filmer des mots.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Certes, les métaphores sont plombées par l'honorable volonté de démonstration, mais elles ont au moins le mérite de tracer un juste portrait de l'Argentine, et plus largement d'un continent dont les veines restent désespérément ouvertes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
C'est plutôt Buenos Aires dans tous les sens ou même dans n'importe quel sens, tant ce film est (volontairement) mal filmé, au point de faire passer Lars von Trier (les Idiots) et Thomas Vinterberg (Festen) pour des jansénistes de la caméra.
L'Obs
Un puzzle (...) qui n'est pas sans séduction, car les scènes sont bien filmées et les acteurs souvent attachants. Mais le principe de la mosaïque fait long feu, il lasse (...). L'ensemble n'est pas inintéressant, mais guère passionnant non plus.
Le Figaroscope
(...) le parti pris est visuel : tout est montré, mais rien n'est vraiment énoncé. Un pari difficile, pas toujours maîtrisé : confus au départ, ce film choral gagne au fur et à mesure en cohérence.
Libération
Malgré son large éventail d'histoires individuelles, Buenos Aires Vice Versa est terriblement monotone. On en sort un peu fourbu, comme après de longues heures brumeuses passées à refaire le monde avec des inconnus dans un bar de quartier.
Les Inrockuptibles
Le recours pesant à une musiquette décorative, le typage des personnages et un rebutant approximatisme filmique (...) édulcorent Buenos Aires vice versa et desservent son propos par ailleurs plus voyant que le nez au milieu de la figure.