La Ballade de l'Impossible - Norwegian Wood : Critique presse
La Ballade de l'Impossible - Norwegian Wood
Note moyenne
3,4
23 titres de presse
L'Humanité
20 Minutes
Brazil
Critikat.com
Elle
Excessif
Filmsactu
Le Figaroscope
Le Point
Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
L'Express
La Croix
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Libération
Paris Match
Positif
Première
Télérama
Metro
Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette "Ballade de l'impossible" est une des deux histoires d'amour déchirantes de la semaine
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) chaque plan du film émerveille par sa beauté. (...) [Un] sentiment poignant se dégage de ce beau film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Alexandra Louvet
Un film lent, sensible, sur le deuil, le désir et l'amour. Très attachant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Critikat.com
par Sarah Elkaïm
Le style sensoriel aux couleurs et aux cadres très travaillés de l'auteur de "L'Odeur de la papaye verte" (1993) s'enrichit ici d'une réflexion sur la douleur et la façon de la dépasser.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Ben Sadoun
Un film magnifique qui se regarde comme il se lit. (...) Splendide et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Romain Le Vern
(...) Film tendre et percutant [dont] les personnages finement observés vivent longtemps après la fin.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Filmsactu
par Elodie Leroy
Tran Anh Hung filme les errances de jeunes gens en proie aux affres du deuil, de l'amour et du désir charnel avec une élégance et une poésie rares, sublimant un trio de comédiens d'une grâce exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Mise en scène avec délicatesse et maîtrise, cette étrange romance mêlant sexualité, deuil, culpabilité et rédemption se révèle aussi envoûtante que le "In the Mood" for Love de Wong Kar-wai.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Là où les films précédents de Tran Anh Hung frappaient par un refus de la chair ou tout au moins par une gêne évidente à filmer les corps dans leur crudité, La Ballade de l'impossible appelle un chat un chat. (...) C'est ce petit élément qui empêche le joli cinéma de Tran Anh Hung de n'être que ce qu'il est, et de nous offrir en échange le spectacle charnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Hélène Riffaudeau
Tran Anh Hung restitue admirablement la poésie et la sensualité du roman de Haruki Murakami, où se mêlent folie, amour et désir, et nous rend palpable jusqu'au souffle des personnages.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Eric Libiot
De jolies scènes, des chutes de tension, des personnages attachants, un léger ennui.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce long film beau et envoûtant plaira peut-être davantage aux lecteurs du roman qui retrouveront dans sa lenteur le charme des pages de Murakami (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpèche
L'histoire sensible se dilue à mi-parcours, la faute aux nombreuses digressions et aux effets appuyés qui suppriment l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
"La Ballade de l'impossible" traque avec une langueur méthodique ces moments qui arrachent la vie au quotidien. (...) Au bout du chemin, si l'on a su lâcher prise, ne pas attendre trop de paroxysmes, on en ressort comme d'un songe, des images mystérieuses et des bribes de mélodies plein la tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Bruno Icher
Tout au long de cette tranche de vie de la jeunesse tokyoïte de la fin des années 60, [Tran Anh Hung] s'est livré à un des exercices stylistiques soignés dont il est friand, au risque de faire parfois tourner à vide sa petite machine huilée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Empreint d'une poésie sombre posée sur des paysages lumineux, ce drame intimiste calligraphie avec délicatesse les corps et les âmes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
Si l'impossible oubli de l'idylle constitue le message, le film est parfois prisonnier de sa langueur et de ses longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Julien Samy
Le film n'évite pas toujours les défauts de l'adaptation littéraire (excès de voix off) mais le charme de Kenichi Matsuyama et la fragilité douloureuse de Rinko Kiluchi justifient à seuls la ballade.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Le livre était âpre et sexuellement cru. Le cinéaste a, certes, préservé sa mélancolie, mais l'a teinté du lyrisme contemplatif qui lui est propre. (...) Mais dans "La Ballade de l'impossible", la beauté formelle épouse, le plus souvent, l'errance des personnages et leur inguérissable douleur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Metro
par Jennifer Lesieur
La première demi-heure enchante par la beauté de ses plans et de ses couleurs, la seconde fatigue avec ses tête-à-tête affectés, la troisième endort. Et il en reste encore une, alors que le film aurait gagné à être plus court, donc plus dense.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Tout est austère, froid, déprimant, pesant et poussif. (...) La souffrance peut être beauté, ici, elle est ennui.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Une torpeur douloureuse parvient parfois à prendre le pas sur la joliesse apprêtée avec laquelle elle menace toujours de se confondre.
L'Humanité
Cette "Ballade de l'impossible" est une des deux histoires d'amour déchirantes de la semaine
20 Minutes
(...) chaque plan du film émerveille par sa beauté. (...) [Un] sentiment poignant se dégage de ce beau film.
Brazil
Un film lent, sensible, sur le deuil, le désir et l'amour. Très attachant.
Critikat.com
Le style sensoriel aux couleurs et aux cadres très travaillés de l'auteur de "L'Odeur de la papaye verte" (1993) s'enrichit ici d'une réflexion sur la douleur et la façon de la dépasser.
Elle
Un film magnifique qui se regarde comme il se lit. (...) Splendide et mélancolique.
Excessif
(...) Film tendre et percutant [dont] les personnages finement observés vivent longtemps après la fin.
Filmsactu
Tran Anh Hung filme les errances de jeunes gens en proie aux affres du deuil, de l'amour et du désir charnel avec une élégance et une poésie rares, sublimant un trio de comédiens d'une grâce exceptionnelle.
Le Figaroscope
Mise en scène avec délicatesse et maîtrise, cette étrange romance mêlant sexualité, deuil, culpabilité et rédemption se révèle aussi envoûtante que le "In the Mood" for Love de Wong Kar-wai.
Le Point
Voir le site lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Là où les films précédents de Tran Anh Hung frappaient par un refus de la chair ou tout au moins par une gêne évidente à filmer les corps dans leur crudité, La Ballade de l'impossible appelle un chat un chat. (...) C'est ce petit élément qui empêche le joli cinéma de Tran Anh Hung de n'être que ce qu'il est, et de nous offrir en échange le spectacle charnel.
TéléCinéObs
Tran Anh Hung restitue admirablement la poésie et la sensualité du roman de Haruki Murakami, où se mêlent folie, amour et désir, et nous rend palpable jusqu'au souffle des personnages.
L'Express
De jolies scènes, des chutes de tension, des personnages attachants, un léger ennui.
La Croix
Ce long film beau et envoûtant plaira peut-être davantage aux lecteurs du roman qui retrouveront dans sa lenteur le charme des pages de Murakami (...).
Le Journal du Dimanche
L'histoire sensible se dilue à mi-parcours, la faute aux nombreuses digressions et aux effets appuyés qui suppriment l'émotion.
Le Monde
"La Ballade de l'impossible" traque avec une langueur méthodique ces moments qui arrachent la vie au quotidien. (...) Au bout du chemin, si l'on a su lâcher prise, ne pas attendre trop de paroxysmes, on en ressort comme d'un songe, des images mystérieuses et des bribes de mélodies plein la tête.
Libération
Tout au long de cette tranche de vie de la jeunesse tokyoïte de la fin des années 60, [Tran Anh Hung] s'est livré à un des exercices stylistiques soignés dont il est friand, au risque de faire parfois tourner à vide sa petite machine huilée.
Paris Match
Empreint d'une poésie sombre posée sur des paysages lumineux, ce drame intimiste calligraphie avec délicatesse les corps et les âmes.
Positif
Si l'impossible oubli de l'idylle constitue le message, le film est parfois prisonnier de sa langueur et de ses longueurs.
Première
Le film n'évite pas toujours les défauts de l'adaptation littéraire (excès de voix off) mais le charme de Kenichi Matsuyama et la fragilité douloureuse de Rinko Kiluchi justifient à seuls la ballade.
Télérama
Le livre était âpre et sexuellement cru. Le cinéaste a, certes, préservé sa mélancolie, mais l'a teinté du lyrisme contemplatif qui lui est propre. (...) Mais dans "La Ballade de l'impossible", la beauté formelle épouse, le plus souvent, l'errance des personnages et leur inguérissable douleur.
Metro
La première demi-heure enchante par la beauté de ses plans et de ses couleurs, la seconde fatigue avec ses tête-à-tête affectés, la troisième endort. Et il en reste encore une, alors que le film aurait gagné à être plus court, donc plus dense.
Studio Ciné Live
Tout est austère, froid, déprimant, pesant et poussif. (...) La souffrance peut être beauté, ici, elle est ennui.
Cahiers du Cinéma
Une torpeur douloureuse parvient parfois à prendre le pas sur la joliesse apprêtée avec laquelle elle menace toujours de se confondre.