Brian De Palma avait réaliser un pur film d'espionnage avec le premier film. John Woo avait fait clairement baisser le niveau avec le second. J.J. Abrams avait réussi à remonter le niveau un petit peu avec le troisième. Cette fois ci avec ce quatrième film, Brad Bird arrive à nous rehausser au niveau du premier film en y ajoutant des petites touches personnelles bien à lui. La réalisation est vraiment très correcte, le scénario très très bon (digne d'un vrai "Mission : Impossible") et les acteurs se débrouillent tous assez bien. Tom Cruise redonne vie encore une fois au personnage de Ethan Hunt de manière brillante, il le rend plus froid, plus sensible et plus intéressant. Brad Bird reprend l'intelligence de De Palma en nous livrant beaucoup moins d'action et plus de réflexion, mais quand il nous livre des scènes d'actions, il ne fait pas semblant ! Mention spéciale à la scène de poursuite dans la tempête de sable qui est à couper le souffle ! Pour la première fois dans cette saga on a aussi le droit à des petites touches d'humour sympathique qui ne decredibilise pas du tout le film, ni les personnages. On a aussi le droit à quelques scènes touchantes. Mais la chose que j'ai vraiment apprécier dans ce film c'est les nouveaux gadgets modernes, c'est vraiment très inventifs et j'adore sa ! Bref, un très bon film !
Un quatrième film très réussi, qui remonte le niveau du troisième que j'ai trouvé à mon goût, trop bâclé. Les nouveaux coéquipiers d'Ethan Hunt sont biens choisis, et l'histoire est bien menée, on ne s'ennuie pas. Tom Cruise est toujours aussi beau, toujours aussi surprenant puisqu'il est son propre cascadeur. De l'action appréciable par tous et toutes !!!
Le meilleur de toute la série, une des rares sagas qui ne se navétise pas au fil des épisodes. Des décors superbes, des scènes d'infiltration captivantes et un suspense tellement présent qu'on a jusqu'au bout l'impression d'une mission réellement impossible. On appréciera également tout l'attirail technologique et la mise en avant de tous les acteurs principaux. Pour un réal faisant son premier film live, c'est une sacrée réussite.
Pour moi , LE meilleur mission impossible , l'action est toujours au rendez vous et le scénario est super mais peut être un peu trop copier de James bond goldeneye , mais ce n'est pas comme si c'étais une mauvaise référence loin de la !
"Mission Impossible : Proctologue fantôme", c'était chouette : rythmé, dosé, ficelé, j'ai eu l'impression de faire parti d'une machine artificielle mais une belle machine. En revanche, la dernière partie tient peut-être la route mais j'ai perdu mon souffle à ce moment-là : aller à Moscou, je comprends (quoiqu'il faudrait qu'on m'explique ce retour sempiternel aux fantômes du passé soviétique - propagande ?). Mais aller à Dubai, à la rigueur : d'autant que la séquence est belle. Mais aller en Inde - sans doute par souci d'exotisme que la nécessité de clarté sur le scenario - pour moi, c'était de trop ! Alors, au final, lorsque tous les protagonistes se retrouvent dans la joie prévisible sur leur sol natal, j'ai eu le mal du pays. Avec le second, c'est incontestablement le meilleur de la série et le succès commercial l'a aussi reconnu.
pas terrible de la part de BRAD bird. decevant aucun scenario ni queue ni tete les américains sont tjrs les sauveurs dans l'histoire quand il faut trouver des ennemis soit c des E.T soit des arabes ou encore les russes ils nous font tjr le coup de la guerre froide au bout d'un certain temps, on a marre . L' Indien dans le film ne sert a rien, le comique est comme d'hab :americain un mechant professeur de physique qui pratique le kung fu une bmw dans le parking indien qui s'allume en appuyant sur start (plus besoins des cles, les voleurs sont contents ) une tempete de sable inoffensive qui disparait sans laisser de sable j'ai envie de voir la geule des arabes apres une vraie tempete des sables , jpense pas que se soit joli un vide profond quoi
Je l’avoue d’emblée : j’apprécie la franchise Mission : Impossible. Certes, tout n’est pas parfait, c’est comme les épisodes de la série, mais globalement, je suis comme un enfant, je reste émerveillé par les trouvailles technologiques pour duper l’ennemi. Comme la série. Ce quatrième opus est un des meilleurs et ce, grâce à la touche de Simon Pegg dont l’humour est savamment distillé. Car on aurait pu abuser de l’acteur, au contraire, son humour nous fait oublier Simon Pegg, l’acteur de « Hot Fuzz » de « Shaun of the dead » et autre « Un anglais à New York ». Et quelle merveilleuse idée de confier la réalisation à un metteur en scène d’animation Pixar. On sent qu’il est aussi à l’aise dans la chorégraphie des cascades ou des situations en prise réelle qu’en prise « dessin animé ». La scène finale dans le parking robotisé est bien orchestrée, on y voit une patte « Ratatouille » dans la conduite des scènes speedées ! Je regrette la toute fin un peu mièvre, voire inutile, selon moi. Il reste que c’est intéressant de constater qu’il y a un lien entre le troisième et celui-ci. Le véritable lien était la présence de Ving Rhames... Pour ceux qui n’ont pas vu le film, je n’en dirai pas plus. Tom Cruise est plus que convaincant et ses cascades réalisées par himself ajoutent au crédit de son personnage. Le scénario est nettement moins alambiqué que le deuxième même si on peut sourire de nous reservir de la guerre froide de nos jours. L’histoire s’applique à se concentrer sur l’équipe, ainsi, les personnages qui gravitent autour de Tom Cruise ont plus d’épaisseur... malheureusement au détriment du bad guy, dont on ne connaît pratiquement rien. Alors que les deux derniers laissaient la part belle aux deux méchants. Enfin, le thème principal est tellement remixé qu’il est à mon goût transparent ; par contre, le générique du début est conforme aux séries : des images à découvrir...
Dans la lignée du troisième opus, Ghost Protocol confirme la lassitude que provoque en moi la série des Mission Impossible. Sans s’embarrasser une fois plus d'un réalisme qui n'a rien à faire dans une telle série, le film est visuellement très réussi, son scénario assez travaillé pour être acceptable mais il manque l'étincelle qui vous permet d'accrocher. Pourtant, la scène pré-générique est sans doute l'une des meilleures tous épisodes confondus, et me laissait ainsi présager d'un film de bien meilleure qualité. Jeremy Renner confirme quant à lui son aisance dans ce genre de rôles musclés, après Avengers, et avant le Jason Bourne à venir. Espérons que le quatrième épisode de l'agent secret autrefois joué par Matt Damon m'apporte ce que celui des aventures d'Ethan Hunt m'a refusé : la satisfaction de retrouvailles réussies.
Après De Palam, après Jon Woo, et après J J Abrams c'est au tour de Brad Bird de reprendre les rennes de la sagas "Mission impossible"! Comble de l'ironie c'est ce réalisateur de chez pixar, n'ayant réaliser que des films d'animation qui signe le meilleur épisode de la saga au détriment des trois précédents réalisateurs qui ne sont pourtant pas des novices! Ce 4ème opus est bien rythmé, prenant, le personnage de Renner plutôt cool, et les scènes d'action parfaite, de part la chorégraphie et le montage! On se souviendra du passage a Dubaï tout simplement énorme!
Les adaptations de séries télévisées sont des entreprises périlleuses et se heurtent souvent lors du passage au grand écran à la présence insurpassable des héros télévisuels dans l'esprit des spectateurs tellement ils ont pu s'imposer dans l'inconscient collectif à longueur d'épisodes. La saga "Mission impossible" en est un peu le contre exemple, sans doute dû au fait que la popularité de la série provient davantage de son concept ingénieux que du charisme de ses protagonistes qui n'ont d'intérêt qu'à travers le collectif qu'ils représentent. Tom Cruise qui emprunte un peu à chacun des héros a aussi ce côté impersonnel qui le met aussitôt en connexion avec l'aspect un peu froid qu'avait la série. Cet épisode au scénario moins alambiqué que les précédents répond parfaitement au cahier des charges, sous la houlette de Brad Bird, qui veut que tout en respectant l'esprit techno de "Mission impossible" les personnages soient rajeunis et plus prompt à l'action. On ne s'ennuie pas une seconde en appréciant au passage l'apport de Simon Pegg le héros de "Hot Fuzz" ou "Shaun of the dead". Efficace mais pas non plus bouleversant.
Mission Impossible est la franchise qui a su le mieux tenir la route, chaque film étant différent de l’autre bien que reprenant les codes usuels avec des révélations à la clef : De Palma a par le biais du premier film définit les codes de ce type de film espionnage encore utilisé aujourd’hui, John Woo est parti dans son délire et enfin J.J Abrams a réussi son passage du petit au grand écran avec succès. Chacun tout en gardant en tête de laisser des traces de l’œuvre originale, chaque réalisateur a su imposer sa touche sans jamais rentrer dans le moule voulu dans la plupart des grosses productions comme celles-ci. On se demandait donc ce qu’allait donner comme résultat l’incursion dans le monde live de Brad Bird lui déjà auteurs d’excellents films d’animation chez Pixar qui s’essaye ici à sa première réalisation en live et que d’autres réalisateurs sont en passe de faire comme lui, mais dès les premières secondes du film, même les plus sceptiques à la base se réconfortent sur les compétences de ce réalisateur qui va faire de Mission : Impossible Protocole fantôme un excellent film et que nos craintes vis-à-vis de la gestion des acteurs humains s’envoleront rapidement. Brad Bird attaque fort dès le début du film au même titre de ce qu’il avait fait pour Ratatouille, d’entrée de jeu il imprime un rythme qui ne faiblira jamais et qui nous en mettra plein la vue, il réussit même à imposer un style virtuose pour filmer l’action. Le réalisateur va littéralement se réapproprier le film, laissant de côté l’idée que l’on se fait des gros blockbusters. Au bout de quelques minutes, on voit un personnage courir sur un toit, sauter et se retourner pour vider son chargeur. Brad Bird a réussi à renouer avec les traditions des films d’espionnage que l’on avait perdu de vue, Mission Impossible Protocole fantôme marque la migration d’une partie des nouveaux films d’actions US à la limite entre des films d’actions et d’auteurs. On a ici comme ennemi la Russie, sorte d’ennemi presque abstrait reprenant en quelque sorte des films d’espionnage et noirs. De plus, on remarque que les scénaristes, réalisateur ont souhaité ne pas mettre que Tom Cruise en avant, il est d’ailleurs pas seul sur l’affiche reprenant ainsi une idée à la Assassin’s Creed. On retrouve un peu un thème cher au réalisateur et qui est bien visible dans les deux derniers films d’animation du réalisateur à savoir la famille, on se croirait même devant les indestructibles au vue de certaines scènes dans Mission impossible. En plus d’être un film d’action, ce nouvel opus propose lors de la séquence finale un écho au premier film façon De Palma en assistant à une réflexion sur la condition du héros qui se rapproche même du cinéma de John McTierman avec une journée en enfer. On assiste durant une très belle tirade du personnage principal d’une explication qui résumé parfaitement le traitement cinématographique du héros face à des méchants qui ne sont là que pour tirer sur tout ce qui bougent. D’autres détails, indices passant peut-être inaperçus prennent ici une importance considérable et c’est d’ailleurs à cela que l’on reconnait les grands films et c’est dans ce souci du détail mêlé à la renaissance d’un mythe que Ethan Hunt ne peut compter que sur lui-même et son équipe. Bref ce Mission Impossible s’impose sur tous les points aussi bien sur son récit bien ficelé mais aussi sur les acteurs qui en devient d’ailleurs une agréable surprise, réussissant au passage à faire taire les vieux commentaires sur la difficulté que Brad Bird allait rencontrer en se retrouvant derrière la caméra pour un film live, avec la réussite de l’ensemble des séquences comme cella la plus attendue à savoir celle avec la Burj Khalifa qui restera un moment d’anthologie et l’utilisation du Imax arrangeant aussi la beauté de ces scènes et le nombre de scènes d’actions est assez importante, le tout étant parfaitement maitrisé à la perfection, étant un peu au contre pieds des nouveaux James Bond parties dans des réalisations plus strictes et une mise en scène restant élégante sans toutefois excellé dans cette tâche. Bred Bird a donc parfaitement réussi son paris, il ne serait donc pas étonnant qu’il est relancé un nouveau type de film allant laissé ces marques dans les films d’actions américains.
N'étant pas un grand fan des deux premiers volets (j'ai zappé le troisième)) de "Mission impossible" qui ressemblaient plus à du James Bond qu'une adaptation de la série télévisée que j'adorais regardé tout petit, le quatrième volet m'a bien plu car ce n'est plus un agent solitaire qu'on a affaire mais une équipe plus proche du concept original. Puis, donner les commandes de réalisation à Brad Bird, petit génie du studio Pixar auquel on doit "Ratatouille", dans son premier long métrage réel qui signe une mise en scène avec des scènes d'actions loufoques, intuitives avec des idées originaux d'effets spéciaux, est une idée astucieuse, les amateurs s'éclateront. Du pur divertissement doté d'un bon scénario d'espionnage ou les acteurs tels que Tom Cruise, Paula Patton, Jeremy Renner ou Simon Pegg sont au top de leurs formes. Un bon épisode, peut etre le meilleur de la saga.