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Votre avis sur Le Magasin des suicides ?
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La vie est triste et ne vaut pas la peine d'être vécue, alors pourquoi ne pas se donner la mort ? Bonne nouvelle, un magasin spécialisé dans le suicide est là pour ça, et peut vous donner à bon prix une solution radicale, nette et sans bavure. Mort ou remboursé !
Alors qu'il devait arrêter sa carrière, Patrice Leconte signe son premier long-métrage d'animation (rien de surprenant puisqu'il était auteur de bande dessinée avant d'être cinéaste) en adaptant un roman de Jean Teulé. Quoi de mieux que le dessin pour exposer ce genre de récit, satirique à souhait.
À soixante quatre ans, le réalisateur étonne encore en ayant la bonne idée de reprendre cette histoire macabre qui a beaucoup de potentiel : une vision de notre époque négative avec cette omniprésence de la crise où les codes sont inversés (être heureux est devenu anormal et mal perçu).
Dès la première musique, l'influence Burtonienne est clairement établie avec ces mélodies sombre et comique à la fois. Le problème, c'est qu'il y en a beaucoup trop (neuf chansons au total) avec des paroles qu'on ne comprend pas toujours. Nous avons la mauvaise impression de croire que le cinéaste en met autant pour combler les vides de son scénario. C'est d'autant plus dommage que le dessin possède une véritable touche personnelle.
Le récit n'étant pas tout le temps fluide, l'enchainement des faits est bien trop brutal et manque clairement de finesse : cette fin légère se résout très vite et ne correspond pas au ton général de l'oeuvre. De même, le cinéaste ne sait pas trop sur quel ton surfer : le tragique, le glauque, le sérieux, le comique ? Nous avons finalement un peu de tout ça, ce qui donne au Magasin des suicides un côté brouillon et mal équilibré.
Il faut donc encourager cette prise de risque qui ne manque pas d'audace car Leconte ne se cantonne pas dans ce qu'il sait faire. Il est juste dommage que le résultat ne soit pas à la hauteur de ses motivations de départ. On retiendra la beauté du geste.
Alors qu'il devait arrêter sa carrière, Patrice Leconte signe son premier long-métrage d'animation (rien de surprenant puisqu'il était auteur de bande dessinée avant d'être cinéaste) en adaptant un roman de Jean Teulé. Quoi de mieux que le dessin pour exposer ce genre de récit, satirique à souhait.
À soixante quatre ans, le réalisateur étonne encore en ayant la bonne idée de reprendre cette histoire macabre qui a beaucoup de potentiel : une vision de notre époque négative avec cette omniprésence de la crise où les codes sont inversés (être heureux est devenu anormal et mal perçu).
Dès la première musique, l'influence Burtonienne est clairement établie avec ces mélodies sombre et comique à la fois. Le problème, c'est qu'il y en a beaucoup trop (neuf chansons au total) avec des paroles qu'on ne comprend pas toujours. Nous avons la mauvaise impression de croire que le cinéaste en met autant pour combler les vides de son scénario. C'est d'autant plus dommage que le dessin possède une véritable touche personnelle.
Le récit n'étant pas tout le temps fluide, l'enchainement des faits est bien trop brutal et manque clairement de finesse : cette fin légère se résout très vite et ne correspond pas au ton général de l'oeuvre. De même, le cinéaste ne sait pas trop sur quel ton surfer : le tragique, le glauque, le sérieux, le comique ? Nous avons finalement un peu de tout ça, ce qui donne au Magasin des suicides un côté brouillon et mal équilibré.
Il faut donc encourager cette prise de risque qui ne manque pas d'audace car Leconte ne se cantonne pas dans ce qu'il sait faire. Il est juste dommage que le résultat ne soit pas à la hauteur de ses motivations de départ. On retiendra la beauté du geste.
Un très bon petit film d'animation. Les musiques sont assez originales mais réalistes. Le contraste est vraiment saisissant entre la famille et le petit dernier . Ce n'est pas un film d'action mais l'histoire est assez prenante et pour ma part je ne me suis jamais ennuyée.
Bon.. C'est l'histoire la plus loufoque que je n'ai jamais vu.. Pauvre Patrice Leconte, se perdre dans un dessin-animé aux graphiques moches et à l'histoire qui perd de sa crédibilité à mesure que le film se déroule. C'est détestable, voir une telle niaiserie découler du réalisateur qui à crée "Les Bronzés".
Il faut ABSOLUMENT l'éviter pour ne pas avoir de coups de blues dans la journée, car ce long-métrage d'animation porte bien son nom. Et puis c'est chiant! Avec une fin des plus misérables!!
Du N'IMPORTE QUOI!!!!!
Il faut ABSOLUMENT l'éviter pour ne pas avoir de coups de blues dans la journée, car ce long-métrage d'animation porte bien son nom. Et puis c'est chiant! Avec une fin des plus misérables!!
Du N'IMPORTE QUOI!!!!!
Quand Patrice Leconte passe à l'animation, on peut s'attendre soit au pire soit au meilleur. C'est donc vers le meilleur que cette adaptation du célèbre roman éponyme de Jean Teulé va aller, le long-métrage étant une véritable bouffée d'air frais à l'heure où le cinéma d'animation américain a la main mise et qui plus est en 3D... Nous faisons donc connaissance avec la famille Tuvache et leur boutique spécialisée dans le suicide. Offrant à ses clients une incroyable gamme de cordes, poisons, revolvers et autres moyens mortels avec un sens aigu de la vente, elle mène une existence parfaite dans une atmosphère naturellement macabre. Chez les Tuvache, on ne sourit pas, on ne rit pas, on fait comme tout le monde : on déprime. Hors, l'arrivée dans la famille du petit dernier, Alan, qui déborde de gentillesse et arbore un sourire omniprésent, va tout chambouler pour la famille de la mort. Sans dévoiler tous les ressorts de cette intrigue rocambolesque, Le Magasin des Suicides est une réussite fracassante où l'on rit à pleins poumons devant cet univers désenchanté, terriblement noir, à la croisée de la Famille Addams et d'un vieux Tim Burton. Bien plus adulte qu'on ne le croirait, le film n'est clairement pas destiné aux petits enfants, ne serait-ce que pour son sujet macabre mais également pour ses élans de vulgarité et certains passages plutôt osés comme la danse très sensuelle de Marilyn, la sœur du petit Alan. De nombreuses situations délicieusement acérées et une atmosphère constamment décalée ajoutent donc un certain piquant à l'animation française, les graphismes inédits et la fluidité d'animation impeccable apportant un plus considérable au long-métrage. On regrettera certes un surplus de chansons pas toujours bien espacées et dont quelques unes auraient pu être évitées mais elles restent dans l'ensemble excellentes (le style de Danny Elfman plane au-dessous de la musique d'Étienne Perruchon). Ainsi, film-surprise de la fin d'année 2012, Le Magasin des Suicides est une brillante adaptation du roman de Teulé et une renaissance certaine pour Patrice Leconte. A consommer sans modération.
Les dessins sont sympa mais l'histoire est ennuyeuse , lente et super molle , ça tourne en rond et surtout trop de chansons , c'est d'ailleurs le plus gros point négatif du film .
L'ambiance fait beaucoup pensé a un film de Burton ce qui est pas mal et qui je pense ravira les fans . A voir pour les fans de Burton les autres peuvent passer leur chemin .
L'ambiance fait beaucoup pensé a un film de Burton ce qui est pas mal et qui je pense ravira les fans . A voir pour les fans de Burton les autres peuvent passer leur chemin .
patrice leconte se lance dans l'animation et c'est un pari réussie et les chansons sont excellente
le seul hic ,le film est trop court hélas 1H10
le seul hic ,le film est trop court hélas 1H10
"Le Magasin des suicides" a un gros problème, il ne se destine ni aux adultes (dont les trop nombreuses chansons finissent par agacer) ni aux enfants (quelques scènes sont vraiment à déconseiller). Et pourtant, il ratisse large dans sa quête du plus grand nombre de spectateurs. Sauf qu’à trop se disperser le film est moyen partout.
Regardez la bande annonce...comme ça vous ne dépenserez pas 10€ pour aller voir ce misérable petit dessin animé. Après "Les Bronzés 3" et "La guerre des Miss", Monsieur Leconte nous défèque une nouvelle daube. Pourquoi ne se voit-il pas que son cinéma ne provoque plus l'enthousiasme, et nous ennuie de plus en plus. Pourquoi n'arrête-t-il pas ? Lui manquerait-il des annuités pour profiter d'une retraite bien méritée ? En tous cas, cette fois sera pour moi la dernière:
MONSIEUR Patrice Leconte = Petit Faiseur de Navet Prétentieux !
MONSIEUR Patrice Leconte = Petit Faiseur de Navet Prétentieux !
ni très subtil ni très raffiné, mais les doublages et le scénario sauvent l'ensemble, trop perdu dans des chansons inutiles et longues... malgré ces disaines de chansons, le film ne dure à peine qu'une heure 15!
Bon bouquin, (je l'avais lu ya longtemps). Bof. Et j'avoue que j'ai trouvé le film à peu près du même niveau.
film danimation très sympa morbide et drôle à la fois un peu chiant cependant avec les nombreux chants je le déconseille au moins de 12 ans car c'est pas vraiment à 'mourir' de rire non plus...;)
Vraiment très drôle, un peu glauque mais très bien fait, les décors sont supers. Seul bémol, la fin est un peu bâclée et trop rapide.
Après avoir beaucoup apprécié l'oeuvre originale de Jean Teulé, j'ai été profondément déçu par cette adaptation, comme l'immense majorité des spectateurs d'ailleurs. Pourquoi ? Le Magasin des Suicides hésite entre faire du sous-Burton et du sous-Disney. On se retrouve donc avec un film consternant qui a le cul entre deux chaises, devant lequel il est difficile d'accrocher, malgré une histoire très intéressante au départ, pleine de poésie et d'humour. Voilà ce qui arrive lorsqu'un homme qui ne comprend pas l'oeuvre originale essaye de la transposer à l'écran : Un accident industriel. Leconte semble n'avoir pas compris le livre. Espérons que la prochaine adaptation d'un livre de Jean Teulé sera réussie, il le mérite.
Alors... par quoi commencer? Ce film d'animation est tellement navrant qu'on ne sait pas où est le pire et ou est le mieux. Autant parfois un film peut nous plaire puis nous déplaire au fur et à mesure, l'avantage ici c'est que la couleur est annoncée dès les 10 premières minutes pendant lesquels on se demande: "c'est une blague?" .
Forcément vouloir faire du Tim Burton avec des vannes à la Cauet ou à la Arthur, bah ça vole pas haut.
Les musiques sont horribles, la mélodie n'en parlons même pas et les paroles... bah c'est bien simple même la "chanteuse" Priscilla met de l'âme dans ses textes.
Les blagues sont foireuses, pas drôles, attendues, faciles... si faciles qu'on en vient même à finir à l'avance les répliques des personnages.
Le film en lui même est facile, j'avais trouvé la fin au bout de 30 minutes... spoiler: si facile que j'avais même presque trouvé le nom du magasin que M et Mme Tuvache ouvrent après s'être rendu compte que "houlala c'est pas bien d'aider les gens à se tuer, alors que la vie est pas si laide en fin de compte"
Et la liste serait encore longue pour montrer à quel point c'est navrant. Je pense que vous l'aurez compris. Non seulement je vous le déconseille, mais je dirai même plus : FUYEZ!!!!!!!!!!!!!
Forcément vouloir faire du Tim Burton avec des vannes à la Cauet ou à la Arthur, bah ça vole pas haut.
Les musiques sont horribles, la mélodie n'en parlons même pas et les paroles... bah c'est bien simple même la "chanteuse" Priscilla met de l'âme dans ses textes.
Les blagues sont foireuses, pas drôles, attendues, faciles... si faciles qu'on en vient même à finir à l'avance les répliques des personnages.
Le film en lui même est facile, j'avais trouvé la fin au bout de 30 minutes... spoiler: si facile que j'avais même presque trouvé le nom du magasin que M et Mme Tuvache ouvrent après s'être rendu compte que "houlala c'est pas bien d'aider les gens à se tuer, alors que la vie est pas si laide en fin de compte"
Et la liste serait encore longue pour montrer à quel point c'est navrant. Je pense que vous l'aurez compris. Non seulement je vous le déconseille, mais je dirai même plus : FUYEZ!!!!!!!!!!!!!
Le livre de Jean Teulé n'était déjà pas bien brillant (et c'est un euphémisme) mais avec son adaptation au cinéma, on frôle carrément le crash cérébral. Pas de finesse dans cet humour soit-disant noir composé à 100% de mauvais goût létal à partir d'une certaine dose (85 min pour être très précis). Les personnages grossièrement caricaturaux de ce film d'animation plutôt beau entassent les clichés sous nos yeux à une vitesse proprement hallucinante et très vite, ce film devient toxique pour nos pauvres cerveaux mais hélas le supplice commence à peine parce que ce film dure longtemps, vous allez voir les minutes grossir sous le poids de la nullité. Et puis, ne cherchez surtout pas à faire une seconde lecture de l'intrigue parce que les anti-chef d'oeuvres de Jean Teulé sont à prendre à un degrés qui vous cuira tout sec. Passez votre chemin, épargnez vous des neurones, fuyez.
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