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Marc T.
266 abonnés
552 critiques
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0,5
Publiée le 11 mai 2010
Aucun sens artistique ici, on essaie de nous faire croire à un Ed Wood moderne mais c'est juste 'nulliissime' (après réflexion je n'ai pas trouvé d'autre terme), comment ce film a t'il pu être produit et même sorti en DVD ? Arrêtons l'hypocrisie un instant, ça ne mérite même pas une projection privée obscure dans une salle d'Art et d'Essai. A fuir.
Evidemment au premier degré, ça ne vaut pas un clou ! Mais ce n'est pas comme ça qu'il faut le regarder, car au second degré ça devient un petit bijou qui fait plaisir à visionner. Et puis Sacha Grey, quand même, quelle cerise sur ce drôle de gâteaux !
Un film étonnant qui affiche malicieusement son second degrée et qui bénéficie, parfois, d'une belle maitrise. Star du x, Sasha Grey trimbale son joli minois dans une oeuvre qui est bien plus réussie que l'on peut croire. Les dialogues sont succulents et la réalisation...bénéficie d'un certain talent ou d'un talent certain. 4,5/5
Une serie Z, digne de son nom. Des effets spéciaux, dialogues, personnage et acteurs plus que mauvais. A ne regarder sous aucun prétexte, c'est à peine si j'ai réussi à le terminer.
la serie Z par excellence, le gimmick d'hommage à Gordon lewis ne parvient pas à masquer les insuffisances d'un scenario absent et d'acteurs surjouant la carte kitch, heureusement il y a la presence de michael Berryman , pourtant loin de wes craven.
C'est vraiment du gros Z tout pourri qui tache. Je me suis laissé berner par la jaquette du DVD, m'attendant à une gentille comédie horrifique. Pas de scénario, des acteurs qui jouent comme des cochons, un rythme à faire s'ennuyer une courgette, des effets gores à la ramasse qui font totalement "fake". Tout ça fait très très amateur et on se demande vraiment comment ils ont réussi à trouver un distributeur pour ce film. A noter que l'actrice principale (Sasha Grey) est d'une beauté renversante (ouais bon elle a fait deux, trois pornos lol).
Un film assez drole qui se moque gentiement du monde du cinema Hoolywoodien. Les acteurs jouent pour la plupart comme des cochons et c'est bien le seul bemol. Bourré de clin d'oeil",Smash Cut" ravira les amateurs (-trices) de série B un brin sanglante et tres peu coquine.
Smash Cut (2009) est une Série Z horrifique au budget infinitésimal d'environ 350 milles dollars canadien (environ 250 milles €uros) et une chose est sûr, le manque de moyen (tant financier que technique) se ressent tout au long du film (qui avoisine tout juste les 80 minutes). Lee Demarbre a voulu rendre un hommage aux films gore et aux grindhouses des années 60 et plus particulièrement à Herschell Gordon Lewis (Blood Feast - 1963), mais son film est un ratage total, d'un ennui assommant, si bien que dès le premier quart d'heure, on ne pense qu'à une chose, arrêter le film. Aucun talent artistique, tant au niveau de la mise en scène qu'au niveau de la direction artistique et en ce qui concerne Sasha Grey (porn-star de 23 ans qui figure sur l'affiche du film dans une tenue d'infirmière), il faudra se contenter du stricte minimum.
Le film plaira aux vrais amateurs de films de Grindhouses car il est bourré de clins d'oeil à ces prédécesseurs et dispose d'un humour très 2ème voir 3ème degré.
L'idée de départ de ce film d'horreur c'est un réalisateur raté qui ayant tué accidentellement sa compagne d'un soir utilise des organes humains comme accessoires. C'est très gore et devient vite lassant. Certes, c'est du nanar assumé, mais c'est tellement mal foutu que même le second degré a du mal à fonctionner à l'exception de quelques rares plans. Sacha Grey, ancienne porno-star est fort mignonne mais on l'aurait préféré moins sage quand à Hershell Gordon Lewis, il a la bonté au début de nous dire "regardez si vous voulez, mais je vous aurait prévenu !" On aurait dû l'écouter !
On a beau adorer le second degré ou même conceptualiser sur un troisième, ce film cache-misère gadgétise sa chose sans jamais en sortir. Je dis jamais... mais, quelques minutes, du bon sens et une connaissance minime des trucs et astuces à la mode suffisent à sceller le sort du chef-d'oeuvre.