Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Monde
par Isabelle Regnier
Les images, splendides, qu’elle a tournées alors, célèbrent le panache de ces jeunes gens modernes qui avaient découvert les Sex Pistols, les Ramones, les Dead Kennedys sur les ondes de Radio Free Europe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par France Hatron
Douze anciens punks hongrois commentent leur jeunesse engagée et comparent leur vie d'alors à celle d'aujourd'hui. Des propos authentiques, touchants et contrastés.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"East Punk Memories" nous informe sur un mouvement miroir de notre punkitude occidentale et présente la double vertu de nous montrer ses aspects attachants sans nous masquer ses facettes les plus sombres, idiotes et antipathiques.
Première
par Mathias Averty
Si l’on aimerait bien qu’ils saccagent un peu le cadre désespérément fixe où les enferme la cinéaste, entre quelques images d’archives, on ne peut être que captivés par le regard qu’ils portent sur la contre-culture et par l’expression de la révolte dans un système autoritaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Ursula Michel
"East Punk Memories" a le mérite d’embrasser la complexité d’un pays par le biais atypique du punk.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Didier Péron
Alternant images d’archives en Super 8 et interviews, le film n’est pas formellement très excitant mais il souligne un certain état de déliquescence d’une génération perdue (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Ce doc vaut surtout pour ses archives, saisissantes, et son portrait de l'ex-pays soviétique, avant et après la chute du Mur.
Télérama
par Mathilde Blottière
Mémoires vives ou nébuleuses, parfois conflictuelles, d'où se dégage un portrait complexe du punk de l'Est : anticommuniste avant tout, souvent nationaliste, parfois raciste, loin, en tout cas, de l'antifascisme du punk du « monde libre ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Bien sûr, la prise de distance avec l’esprit punk est au cœur d’un film qui vise à analyser avec recul une période chaotique. Mais l’académisme de la mise en scène du présent finit à son insu par s’approcher des affects caractéristiques de la crise actuelle : résignation, nihilisme ou dépression.
Le Monde
Les images, splendides, qu’elle a tournées alors, célèbrent le panache de ces jeunes gens modernes qui avaient découvert les Sex Pistols, les Ramones, les Dead Kennedys sur les ondes de Radio Free Europe.
Les Fiches du Cinéma
Douze anciens punks hongrois commentent leur jeunesse engagée et comparent leur vie d'alors à celle d'aujourd'hui. Des propos authentiques, touchants et contrastés.
Les Inrockuptibles
"East Punk Memories" nous informe sur un mouvement miroir de notre punkitude occidentale et présente la double vertu de nous montrer ses aspects attachants sans nous masquer ses facettes les plus sombres, idiotes et antipathiques.
Première
Si l’on aimerait bien qu’ils saccagent un peu le cadre désespérément fixe où les enferme la cinéaste, entre quelques images d’archives, on ne peut être que captivés par le regard qu’ils portent sur la contre-culture et par l’expression de la révolte dans un système autoritaire.
Critikat.com
"East Punk Memories" a le mérite d’embrasser la complexité d’un pays par le biais atypique du punk.
Libération
Alternant images d’archives en Super 8 et interviews, le film n’est pas formellement très excitant mais il souligne un certain état de déliquescence d’une génération perdue (...).
Studio Ciné Live
Ce doc vaut surtout pour ses archives, saisissantes, et son portrait de l'ex-pays soviétique, avant et après la chute du Mur.
Télérama
Mémoires vives ou nébuleuses, parfois conflictuelles, d'où se dégage un portrait complexe du punk de l'Est : anticommuniste avant tout, souvent nationaliste, parfois raciste, loin, en tout cas, de l'antifascisme du punk du « monde libre ».
Cahiers du Cinéma
Bien sûr, la prise de distance avec l’esprit punk est au cœur d’un film qui vise à analyser avec recul une période chaotique. Mais l’académisme de la mise en scène du présent finit à son insu par s’approcher des affects caractéristiques de la crise actuelle : résignation, nihilisme ou dépression.