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mandie
6 abonnés
48 critiques
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2,5
Publiée le 7 juin 2012
Au final, un peu déçue. Je m'attendais à un film plus drôle, plus alerte. La 2ème partie du film est axée sur la maladie de Parkinson, c'est très honorable mais un peu déstabilisant par rapport au début du film léger et coquin. Les deux acteurs sont bons mais pas au mieux de leur forme. Quelques longueurs aussi. Reste le plaisir de voir rejouer ensemble Jake et Anne.
Comédie romanesque beaucoup trop tire-larme sur la fin, le faisant retomber dans les pires clichés possibles. Pourtant le film démarrait plutôt bien, en arrivant à combiner un sujet sérieux, la maladie de Parkinson, et une petites touche d'humour loin d'être désagréable. Un film qui ne restera pas dans les annales mais qui mérite d'être vu pour l'excellente alchimie entre ses deux acteurs, surprenant dans leur rôle.
Love et autres drogues est une comédie mélo-dramatique. Que font Anne Hathaway et Jake Gyllenhaal dans cette galère ? Une histoire d’amour entre un Vrp de viagra et une jeune femme libérée malade… c’est d’un ennui mortel ! c’est bourré de clichés, la fin est prévisible…
Bon ça se regarde, il y a des moments plaisants mais c'est quand même un grand classique du genre comme savent très bien le faire les américains. Seul éventuellement le thème qui a servi de décor scénaristique (le monde pharmaceutique) se révèle être un peu original. A voir si vous aimez les comédies romantiques avec du sexe et dont vous connaissez la fin dès le début.
Film à voir pour les acteurs géniaux et le scénario (conventionnelle mais un peu différente des autres comédies romantiques). Les scènes de sexe sont très bien mises en scène et très drôles à regarder. Jake Gyllenhaal et Anne Hathaway forme un très beau couple !
un film drôle et je ne lui en demandais pas plus. On pourra reprocher le caractère un peu trop psychanalyste à la petite semaine du film mais ce n'est pas le seul. Un bon moment en somme.
Edward Zwick change radicalement de registre (Légendes d'automne - 1995) pour s'orienter vers un genre auquel nous ne l'aurions jamais imaginé en réalisant une "rom/com" ! Mais attention, on est loin des standards Hollywoodiens en ce qui concerne les habituelles comédies romantiques, ici il a franchi un nouveau cap et ne vise pas spécialement le même type de spectateurs. Le scénario est original, même si le principe reste le même (deux personnes qui s'attirent mais des petites contrariétés vont venir tout chambouler avant que le sempiternel happy-end ne vienne pointer le bout de son nez). Mais ce qui fait la force de Love & autres drogues (2010), c'est à la fois les thèmes abordés (et principalement la maladie), les répliques, l'humour cinglant qui s'en dégage et surtout le charisme de ses interprètes, entre le sex-appeal de Jake Gyllenhaal et le charme ravageur de Anne Hathaway, comment ne pas succomber le temps du film ?
Un film amusant et rafraichissant filmé d'une manière plutôt impudique, venant des USA on va pas s'en plaindre. Cependant, on n'aurait pu en attendre plus, l'intégration de la maladie de parkinson dans le film s'avérait prometteuse. Au final, le film ne se démarque guère des comédies romantiques actuelles. Très sympathique mais pas de risque d'addiction pour un tel film.
Il semblait répondre à la catégorie des grandes romances guimauves telles que savent nous les standardiser nos chers amis d'Outre-atlantique (et j'avoue que de temps en temps, cela ne fait pas de mal) mais en fait, ce "Love et autres drogues" est à classer parmi les produits usinés tellement chimiques qu'ils en deviennent dangereux pour la santé (ici mentale...). Parce que oui, au-delà de cette vision horrifiante de la relation humaine peinte dans ce film (à croire que c'est un ordinateur qui a pondu le scénar pour répondre à tous les critères « in » du moment), il faut en plus se coltiner un univers composé des pires messages propagandistes dont la société puritaine de l'Oncle Sam est capable. Entre l'image modèle de la famille sans un pli, et celle de l'argent tellement facile dans le merveilleux pays de Reagan, en passant bien sûr par « mais rien de vaut la sexualité exclusive hétérosexuelle dans le cadre du couple normalisé et – si possible – scellés par les liens sacrés du mariage, sinon on est vraiment tous des malades mentaux malheureux qui s’ignorent » ; tout y passe à tel point que la caricature n'en est même plus drôle. Pourtant je suis quand même parvenu à rire en voyant ces deux Barbie et Ken stéréotypés jusqu'à la moelle entamer leur démonstration par l'absurde au début du film (soit dit en passant, il faut bien une demi-heure au film pour qu'il se souvienne qu'il entendait raconter une amourette), si bien que la seule scène à laquelle j’ai cru, c’est à celle de la « panne » (oui car – attention spoiler ! – Jake va avoir une panne parce que son corps lui dit qu'il aime Anne Hathaway et, comme tout le monde le sait : l'amour c'est épuré de tout sexe...). Sincèrement, je ne sais pas comment ces deux acteurs sont parvenus à tourner ce film jusqu'au bout sans éclater de rire ou hurler de désarroi toutes les trente secondes tant ce "Love" pue le vieux produit formaté pour gratter de l'oseille aux âmes tendres qui croient encore aux crinolines de ce genres d’histoires... C'est vraiment une honte.
Film parfois drôle... mais surtout émouvant... surtout en deuxième partie pour l'un et l'autre ça à franchement du mal à décoller au départ! A voir avec son (sa) chéri(e) autrement c'est un peu juste...
Ouais...bof. Ce n'est vraiment pas génial. Le côté comique n'est pas à sa place (on ne comprend pas vraiment pourquoi cela a été exploité sur ce ton là...). Même Gyllenhaal n'assure qu'à moitié en acteur "drôle"! Si le film avait été réalisé version drame, ça aurait pu marcher. Mais là, c'est bidon. Je pensais au moins sourire, et bien, même pas...