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Uncertainregard
112 abonnés
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1,0
Publiée le 7 mai 2011
Edward Zwick est loin de mes réalisateurs préférés et il nous propose une drôle de bleuette partant sur une critique des labos pharmaceutiques et finissant par le couple improbable de Jake Gyllenhaal/Anne Hathaway en osmose. Bizarre mais ça se regarde...
Pas mal de sexe au début, ce qui est rare dans une comédie américaine... puis des médicaments, puis une maladie quasiment inguerissable... ce film déroute mais séduit...
Une comédie bas de gamme c'est à dire niaise et prévisible. Bourré de clichés et de bons sentiments Love & autres drogues est un véritable cauchemar pour le cinéphile. Coté acteurs seule Anne Hathaway parvient à être touchante en malade de Parkinson. Pas drôle, cousu de fils blanc et doté d' une happy end grotesque, c'est dire si vous pouvez vous épargnez ce navet.
Saluons cette très bonne comédie romantique pour sa sincérité et sa tendresse et le voile de gravité qui lui apporte une certaine profondeur. Le couple vedette possède un charme irradiant avec la superbe Anne Hathaway qui rappelle la jeune Julia Roberts, et Jake Gyllenhaal qui montre qu’il n’est pas qu’un nouveau sex symbol hollywoodien. Seul bémol, la fin un peu trop attendue et moralisante qui affadie légèrement le propos de l’excellent Edward Zwick.
Un duo de charme pour un comédie romantique qui sort de l'ordinaire. Le tandem Gyllenhaal/Hathaway s'en sort magnifiquement dans un interprétation drôle et touchante. Le film s'écarte un peu des schémas classiques du genre en mettant en scène une jeune femme spoiler: atteinte de la maladie de Parkinson . En effet, on a l'habitude de voir s'attacher deux êtres que tout oppose dans ce genre de films, et la première moitié n'échappe pas à la règle, avec son lot de situations comiques et cocasses. Mais la deuxième moitié du film vire au mélodrame lorsqu'au-delà des personnalités des personnages, chacun est confronté spoiler: à la maladie d'un point de vue différent...
... Après les gags que l'on retrouve régulièrement dans les comédies romantiques, l'humour fait place à l'émotion et à la réflexion: comment peut-on s'imaginer vivre avec quelqu'un atteint d'une grave maladie? Peut-on s'empêcher de tomber amoureux en connaissance de cause? Sans sombrer dans le pathos, le film n'apporte pas la réponse à ces questions mais nous montre quelques pistes à suivre. Evidemment le film termine sur spoiler: un happy end, on n'en attendait pas moins, mais on sort ému par cette histoire d'amour pleine d'humanité et de générosité. Un film qui fait du bien.
Difficile de cerner ce film qui hésite entre comédie et drame. Par ailleurs, le scénario aborde trop de sujets et finit par perdre le spectateur. Dommage, les deux acteurs sont plein d'allant. Sex as a therapy, love as a side effect????
Un homme et une femme. Depuis 1966 et le film de Claude Lelouch, la comédie romantique fonctionne toujours sur le même modèle et qu’importe les astuces scénaristiques, le spectateur observe toujours la même chose : Ils s’aiment. Ils se repoussent. Ils s’aiment à nouveau. Ces trois temps bien distincts sont habillés d’éléments annexes. Dans « Love et autres drogues », c’est, dans un premier temps, une critique ténue de l’industrie pharmaceutique en particulier et du monde médical en général : Les laboratoires pharmaceutiques sont prêts à tout pour placer leur produit, la concurrence entre les vendeurs est féroce et les personnels médicaux sont lubriques. La transition est tout trouvée pour amener le deuxième élément annexe : les héros ont une activité sexuelle. Peut-être est-ce insignifiant mais il est une évidence : Par rapport à la pudibonderie des comédies romantiques américaines, cela détonne ! A tel point que la question est posée : Est-ce pour masquer le manque de profondeur de l’histoire que les deux héros sont aussi souvent dévêtus ? Et comme troisième élément annexe, on retrouve le traditionnel ballet des personnages secondaires qui tente d’amener le petit plus : Un frère dépressif et obsédé. Un partenaire commercial avisé et malin. Un adversaire commercial beau gosse et avisé. Bref ! Voilà la trame, tout cela étant amalgamé par le fil rouge du film : La maladie de l’héroïne qui sera tantôt oublié, tantôt présente au gré de l’humeur des personnages. Et se pose la question : Peut-on aimer envers et contre tout ? Le film propose une réponse comme seules les comédies romantiques savent le faire. En conclusion, je dirais que c’est une comédie romantique qui passe avec succès le contrôle technique. Ce n’est ni brillant ni révolutionnaire mais les amateurs(rices) pourront largement y trouver leur compte.
sympa, mais ce film a un certain air de deja vu. Meme si je reconnais que les deux acteurs principaux sont tres touchants, et donnent beaucoup d'interet au film.
Le casting est très bon et l'histoire est bien conçue mais voilà. Trop de scènes de sexe, ce qui fait que le thème de la maladie de Parkinson est mis de côté durant au moins, la première partie du film. Ce qui sauve le film de la noyade c'est Jake et Anne qui sont fabuleux et la bande originale qui est vraiment pas mal. Mais je regrette que la maladie de Parkinson n'est pas été traitée avec plus de sérieux.
Ce n'est pas un film inoubliable. Le sujet abordé est interessant : l'agressivité des techniques de vente des labos pharmaceutiques ; la peur d'aimer ou d'être aimé lorsque l'on a une grave maladie , la crainte de s'engager dans de telles conditions. On y parle d'une maladie beaucoup moins médiatisée que l'Alzeimer et on est choqué que ça puisse toucher aussi jeune et qu'il n'y ait pas de remède (du moins à l'époque ou se situe le film) Etonnamment malgré un sujet très sensible , ce film ne m'a pas vraiment ému. IL est très en dessous de....(au secours je ne me rappelle pas du titre mais ce n'est pas sweet november à moins que si ? ) dans lequel on suit l'histoire d'amour de (au secours je ne me rappelle plus des acteurs ) pour ? qui a un cancer. ça se passe à Manhattan il me semble , il y a un grand appartement avec une superbe terrasse très haute et très verte. Bon ça date un peu mais je me rappelle parfaitement de l'émotion procurée bien supérieure à ce film. Fait donc partie des films non indispensables.
Mitigé !! On a une grosse impression de déjà vu devant "Love, et autres drogues", malgré quelques points originaux. J'ai apprécié le côté dramatique du film, certains passages sont touchants mais l'humour et la vulgarité viennent tout gâchés. Cela est fort dommage ! Jake Gyllenhaal et Anne Hathaway sont excellents, comme d'habitude. Ils méritent mieux comme projets... C'est pas un mauvais films, mais il n'y a rien d'étonnant ou d'exceptionnel à se mettre sous la dent !
On va dire dans l'ensemble que c'est une bonne comédie assez touchante, même si elle n'échappe pas aux clichés du genre. Par contre On à droit à une sorte de film érotico-comique dans les premières scènes et cela deviens énervant à la longue. Rien à dire sur les acteurs qui joue parfaitement bien et en plus on rigole de temps à autre c'est pas pour déplaire.
Dans "Love, et autres drogues", la première heure nous fait étrangement penser au film "Sex Friends" réalisé par Ivan REITMAN. On pourrait même croire qu'avec son film, Edward ZWICK s'inspire des idées de son confrère réalisateur... Or, "Sex Friends" est sorti quelques mois après "Love, et autres drogues". Mais la similitude entre les deux scénario est si frappante... Dans le film de ZWICK, le début de la relation entre Jamie et Maggie manque de perspective. L'alchimie entre les deux personnages n'est pas suffisamment bonne. Nous assistons simplement à un défilé de scènes érotiques. C'est attrayant pour l'oeil. Mais inutile pour le déroulement de l'histoire. Contre toute attente, la dernière demie heure se révèle intéressante. Le jeu des deux acteurs principaux est de très bonne facture. En particulier celui d'Anne HATHAWAY. Même si la fin est prévisible, le duo GYLLENHAAL-HATHAWAY fait des étincelles. Celui-ci fait remonter l'estime que nous pouvons avoir pour ce film. Mais c'est dommage pour le début.
Love et autres drogues est une comédie mélo-dramatique. Que font Anne Hathaway et Jake Gyllenhaal dans cette galère ? Une histoire d’amour entre un Vrp de viagra et une jeune femme libérée malade… c’est d’un ennui mortel ! c’est bourré de clichés, la fin est prévisible…