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TheWaaalkingDead
79 abonnés
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1,0
Publiée le 30 janvier 2014
Début de mon cycle thrillers 80/90. Disons que je ne commence pas avec le meilleur. C'est un peu plan-plan, téléphoné, longuet et on voit tout venir à 100m.
sympathique meme si tout est assez previsible. si on enleve richar gere et edward norton excellent tout les autres personnages sont trés mal joué et detestable. ca se regarde avec interet .
Peur primale est un honorable thriller qui pêche par une mise en scène bien mollassonne et par un rythme affaiblit par ses longues plaidoiries. Le rebondissement final est effectivement surprenant , mais n'a rien de spectaculaire en soit. Bonne prestation de norton et de gere dans l'ensemble. En gros , si peur primale se regarde plutôt bien , il ne rivalise en aucun cas avec les meilleurs films du genre ( films à twist final) tel usual suspects, fight club ou même identity.
Bon film qu’on peut qualifier de policier, avec un très bon Richard Gere en avocat ambitieux et un peu imbu de lui-même et un Edward Norton qui se révèle, en 1996, comme un des acteurs les plus doués de sa génération. Le principe de la double personnalité (avérée ou non) a été exploité moult fois au cinéma, cette version est plutôt de bonne facture. Un bon thriller.
En toute honnêteté, ça se laisse regarder mais de là à le posséder chez vous en DVD, je ne suis pas tout à fait sûr. Le sujet sur la psychologie d'un suspect, la teneur d'un procés aux USA ayant été maintes et maintes fois traités, font que ce polar toutefois bien mené, ne brille pas par son originalité et Edward Norton n'avait pas encore atteint le sommet de son art. Rien d'exceptionnel en conclusion.
Ce film vaut le détour rien que pour Edward Norton, pour le reste c'est un bon petit film de procès avec certes quelques défauts mais l'intrigue sauve le film.
Excellent film, porté par l'incroyable performance d'Edward Norton dans un rôle très diffile. L'interprétation générale et la scène finale sont elles aussi très réussies. A voir absolument.
Edward Norton qui signait ici les prémices de sa carrière avec le rôle qui lui convient tellement bien, un bon film, un peu prévisible mais tout de même d'un bon niveau.
Thriller a voir absolument : avec un Norton exceptionnel, c'est super efficace et très prenant. Surprenamment horrifique malgré l'absence de scenes gores. Bravo à Gregory Hoblit qui fera largement moins bien ensuite. Une fin surprenante et intelligente, qui nous fait réfléchir
Intéressant et bien réalisé, "Peur primale" est prenant grâce au bon jeu des acteurs comme Richard Gere mais surtout Edward Norton qui est incroyable. Le film nous tient en haleine et on passe un bon moment. Le final nous gardera dans l'optique d'avoir un très bon film.
Je ne me suis pas particulièrement ennuyée, mais au moment où l'on connaît la "spécificité" de l'accusé, on devine aisément le dénouement du film. Le ressort est trop éculé et les ficelles trop grosses. De même pour l'archevêque assassiné, on suppute aussitôt un motif d'ordre sexuel à son meurtre. Quant aux nombreux clichés, Richard Gere en avocat play-boy qu'on dirait directement sorti d'officier et gentleman, la procureur en ex-petite amie, les magouilles financières, la juge portée sur la bouteille, tout cela est trop caricatural pour convaincre.
Pour son premier film en tant que réalisateur, Gregory Hoblit a choisi un univers plutôt complexe et épineux, puisqu'il s'agit du monde de la justice, plus particulièrement celui des avocats, qui comme l'explique admirablement le film n'ont qu'une seule vérité pour faire régner la loi : la leur. Et ces à travers d'incalculables procés que l'on peut observer, avec plaisir et attention certe, mais sans grande surprise, la bataille sans merci que se livre les deux avocats, publiquement ennemi. Mais bien heureusement, le film va évidemment chercher plus loin, et c'est la le plus grand centre d'intêret du film, l'accusé bégayant et amnésique du nom de Aaron Stampler qui de plus de cet grave maladie, souffre de dédoublement de la personnalité. La scène final, qui sert de grand bouleversement censé nous laisser béhat, était au final assez prévisible. Mais l'on ne peut s'empécher de savourer le moment, en grande partie grâce au talent de Norton, qui faisait ici ses premier pas sur le grand écran et qui, en prime, parvient à voler la vedette à un Richard Gere qui semble quelque peu égaré. En bref une oeuvre agréable et soigné, qui puise sa force dans l'énergie et la révélation d'un jeune acteur : Edward Norton, déja très suprenant et prometteur.