Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Cette comédie romantique pur sucre à la française se laisse voir avec plaisir. (...) Un beau petit film ensoleillé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Excessif
par Jean-Baptiste Guegan
Une comédie attrayante entravée par un sens trop limité du cadre.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Première
par Christophe Narbonne
L'Amour c'est mieux à deux respecte les conventions du genre: les mâles y sont bêtas et inconstants, les filles sensibles et décidées. Pourtant, le charme opère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
voir www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par La rédaction
Les jeux de l'amour et du hasard vus par Arnaud Lemort et Dominique Farrugia. Ils ne sont pas, hélàs, les héritiers de Marivaux...
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Sous des relances pseudo-humoristiques, les dialogues oscillent entre le grossier et le vulgaire. C'était peut-être voulu, cela n'en pas moins vulgaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Clovis Cornillac apporte à son personnage d'ahuri les leçons du théâtre de Feydeau. Affligé d'un rôle d'abruti obsédé sexuel, Manu Payet réussit à ne pas être tout à fait antipathique. Virginie Efira plisse le nez lorsqu'elle éprouve une émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
Rien de plus pathétique à supporter qu'une comédie romantique ratée et celle-là se plante sur tous les plans.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Dans cette histoire d'amour rendue impossible par le héros, convaincu que la passion ne peut être que le fruit du hasard, les hommes portent leurs attributs virils en lieu et place du cerveau. Au moins ont-ils quelque chose sous le crâne. Ce n'est pas le cas des femmes, distribuées ici selon les clichés les plus rances de la misogynie. Avec, en point d'orgue, une secrétaire toute en formes et hormones, mais zéro côté QI. Gras ou graveleux ? Qu'importe, l'humour c'est mieux sans eux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) des seconds rôles au-delà de la caricature (...) la vulgarité des répliques confondant grivois et paillard poisseux, et une mise en scène sacrifiant le talent de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Parisien
Cette comédie romantique pur sucre à la française se laisse voir avec plaisir. (...) Un beau petit film ensoleillé.
Excessif
Une comédie attrayante entravée par un sens trop limité du cadre.
Première
L'Amour c'est mieux à deux respecte les conventions du genre: les mâles y sont bêtas et inconstants, les filles sensibles et décidées. Pourtant, le charme opère.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
L'Express
voir www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Les jeux de l'amour et du hasard vus par Arnaud Lemort et Dominique Farrugia. Ils ne sont pas, hélàs, les héritiers de Marivaux...
Le Journal du Dimanche
Sous des relances pseudo-humoristiques, les dialogues oscillent entre le grossier et le vulgaire. C'était peut-être voulu, cela n'en pas moins vulgaire.
Le Monde
Clovis Cornillac apporte à son personnage d'ahuri les leçons du théâtre de Feydeau. Affligé d'un rôle d'abruti obsédé sexuel, Manu Payet réussit à ne pas être tout à fait antipathique. Virginie Efira plisse le nez lorsqu'elle éprouve une émotion.
Ouest France
Rien de plus pathétique à supporter qu'une comédie romantique ratée et celle-là se plante sur tous les plans.
L'Obs
Dans cette histoire d'amour rendue impossible par le héros, convaincu que la passion ne peut être que le fruit du hasard, les hommes portent leurs attributs virils en lieu et place du cerveau. Au moins ont-ils quelque chose sous le crâne. Ce n'est pas le cas des femmes, distribuées ici selon les clichés les plus rances de la misogynie. Avec, en point d'orgue, une secrétaire toute en formes et hormones, mais zéro côté QI. Gras ou graveleux ? Qu'importe, l'humour c'est mieux sans eux.
TéléCinéObs
(...) des seconds rôles au-delà de la caricature (...) la vulgarité des répliques confondant grivois et paillard poisseux, et une mise en scène sacrifiant le talent de ses interprètes.