Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Brazil
par Hervé Deplasse
Il n'y a aucun doute que les premiers films d'une telle force et maîtrise sont extrêmement rares et il n'y a guère que Eraserhead de Lynch qui me vienne à l'esprit comme choc premier.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Excessif
par Romain Le Vern
Un film de poète underground et mystique, hanté par Jean Genet, dont la puissance évoque les premiers Darren Aronofsky.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Libération
par Marie Lechner et Bruno Icher
Dans un torrent de décibels, deux légendes du rock trash de Virginie-Occidentale, Jesco White et Hasil Adkins, ne font plus qu'un dans une fiction complètement barrée (...) Un film qui carbure à la drogue dure. Chaque plan est en effet une hallucination tantôt ultraréaliste, tantôt déjantée...
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Alex Masson
POUR : (...) ce cousin fauché et trash du film de Paul Thomas Anderson (There Will Be Blood), véritable sarabande dégénérée, ne fait finalement que dresser le protrait d'une souffrance folle à lier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un premier long-métrage impressionant, dont les partis pris esthétiques spectaculaires mêlent adroitement souvenirs, hallucinations et cauchemars.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
White Lightnin' explore l'Amérique des Appalaches, en Virginie, fief d'une musique country associée à un décor ténébreux et menaçant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Dominic Murphy semble trop souvent céder au démon, roublard et grandiloquent, du cinéma anglais : Alan Parker.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Yann François
A convoiter la métaphore chrétienne de l'ange déchu, le trash opera s'abîme dans un maniérisme de bénitier.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La vie d'une légende des claquettes dans un style rock clicheteux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Fabien Baumann
Murphy aurait dû faire davantage confiance à l'originalité de son point de vue.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
La violence du premier long-métrage de Dominic Murphy frise parfois l'insoutenable.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Première
par Isabelle Danel
CONTRE : (...) le réalisateur s'évertue à naviguer aux confins des genres (...) Ne laissant au spectateur que deux solutions : la fascination morbide ou le dégoût pur et simple. Le risque étant que ce dernier l'emporte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Inspiré d'une histoire vraie, White Lightnin' (...) s'embourbe dans un fantasme chic et trash de quart monde à l'américaine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
Il n'y a aucun doute que les premiers films d'une telle force et maîtrise sont extrêmement rares et il n'y a guère que Eraserhead de Lynch qui me vienne à l'esprit comme choc premier.
Excessif
Un film de poète underground et mystique, hanté par Jean Genet, dont la puissance évoque les premiers Darren Aronofsky.
Libération
Dans un torrent de décibels, deux légendes du rock trash de Virginie-Occidentale, Jesco White et Hasil Adkins, ne font plus qu'un dans une fiction complètement barrée (...) Un film qui carbure à la drogue dure. Chaque plan est en effet une hallucination tantôt ultraréaliste, tantôt déjantée...
Première
POUR : (...) ce cousin fauché et trash du film de Paul Thomas Anderson (There Will Be Blood), véritable sarabande dégénérée, ne fait finalement que dresser le protrait d'une souffrance folle à lier.
Le Journal du Dimanche
Un premier long-métrage impressionant, dont les partis pris esthétiques spectaculaires mêlent adroitement souvenirs, hallucinations et cauchemars.
Le Monde
White Lightnin' explore l'Amérique des Appalaches, en Virginie, fief d'une musique country associée à un décor ténébreux et menaçant.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Dominic Murphy semble trop souvent céder au démon, roublard et grandiloquent, du cinéma anglais : Alan Parker.
Chronic'art.com
A convoiter la métaphore chrétienne de l'ange déchu, le trash opera s'abîme dans un maniérisme de bénitier.
Les Inrockuptibles
La vie d'une légende des claquettes dans un style rock clicheteux.
Positif
Murphy aurait dû faire davantage confiance à l'originalité de son point de vue.
TéléCinéObs
La violence du premier long-métrage de Dominic Murphy frise parfois l'insoutenable.
Première
CONTRE : (...) le réalisateur s'évertue à naviguer aux confins des genres (...) Ne laissant au spectateur que deux solutions : la fascination morbide ou le dégoût pur et simple. Le risque étant que ce dernier l'emporte.
Télérama
Inspiré d'une histoire vraie, White Lightnin' (...) s'embourbe dans un fantasme chic et trash de quart monde à l'américaine.