Joli croquis d'une France profonde, de ses internats très catholiques, d'une mentalité qui, heureusement, a disparu. Les gosses prennent des claques plein la gueule, l'injustice règne, la pédophilie rode. Sylvie Testud demeure une commédienne hors pair, les enfants jouent très bien. Un film drôle et émouvant.
Une comédie sur fond de scolarité qui souffre malheureusement du succès de ses prédécesseurs. Restera l'atmosphère bon enfant qui s'en dégage et la bonne interprétation de Sylvie Testud.
petit film sympathique est intéressant l'histoire sur les internat d'avant tient bien la route a la fois drole est touchant et sylvie testud joue trop bien son role
encore une fois, avec ce film, sylvie testud nous prouve l'étendue de son talent, aprés une impressionante sagan, la voilà dans une institutrice sèche et revèche qui pourtant a du coeur, les films sur les enfants sont légion, il y a toujours ce côté nostalgique qui joue sur le spectateur, car nous avons tous, à des degrés divers, connu cela, de nos jours, cela parait tout à fait osbsolète de montrer cela, il y a toujours ce petit côté franchouillard dans ces films, comme les choristes ou le petit nicolas, de nos jours les cours de récréation ont bien changé, les enfants ne parlent plus comme avant, les profs aussi n'agissent plus comme par le passé, heureusement
On est très loin du Joel Séria des Galettes de pont Aven . Mais vraiment très loin . Mumu est digne seulement d'une production d'un mauvais téléfilm de France 3 . Ennuyeux et insipide.
Je ne sais que penser de ce film dont le scénario est d'une simplicité singulière. La psychologie du personnage "Mumu" n'a pas été assez approfondie. Il manque des éléments - ou bien faut-il aller les chercher soi-même...? Dans tous les cas, il y a un lien psychologique évident (ou rapport) entre l'institutrice et Roger - peut-être cela explique t-il le comportement étonnant et ambigu de cette dernière. Du coup, ça rend les personnages attachants même si l'histoire est un peu fade. La chute scotche, on reste un peu sur un questionnement... Malis l'évidence de cette histoire se trouve dans le fond de ces personnages abscons, intelligents, dont la souffrance est pour le moins éloquente.
Aujourd'hui 24 aout 2010, bon nombre de figurants dont une partie sont des enfants, n'ont toujours pas été rémunéré de leur travail. Ce film est à proscrire car il est entaché de malhonnêteté.
Je ne sais pas trop quoi penser de ce film ... l'époque est bien modélisée, le casting est de taille (Sylvie Testud, Dominique Pinon, Antoine Decaunes, etc...) et le scénario intéressant. Mais (et oui, il en faut toujours 1), les jeunes acteurs ne m'ont pas épaté, alors que dans des films comme "Le Petit Nicolas" ou bien "Nous trois", les jeunes protagonistes sont pétris de talent, un titre qui n'est même pas le personnage principal du films, pas mal de choses pas très originales et surtout des incohérences comme à la fin du film, vous comprendrez quand vous le verrez. En bref, un avis mitigé pour un long métrage en demie-teinte. 11/20.
Ca fait plaisir de retrouver Joël Seria, un cinéma rafraichissant même si ici il reste plutôt politiquement correct. Des personnages sympathiques dont une Sylvie Testud très drole, malheureusement le coté autobiographique moyennement intéressant pour nous focalise toute l'histoire sur l'enfant plutôt que d'approfondir sur les personnages comme Mumu.
Mouais… Facile et sans surprise (une bonne dose de nostalgie, les enfants en haut de l’affiche, les pseudo-rebondissements pour maintenir l’attention), filmé de façon très banale mais assez soigné, ce long métrage est du niveau d’un téléfilm correct du samedi soir. Sylvie Testud a souvent été mieux inspirée, et j’aurai aimé qu’on « creuse » un peu plus la psychologie de son personnage assez ambivalent. Une bonne scène, avec Michel Galabru, sort du lot. Pas déshonorant, pas désagréable mais assez oubliable.
Au premier abord, le film est déroutant. Mais, tout en finesse et en intelligence, le film avance ses pions et déploie sa profondeur. Un peu comme dans la vie, un peu comme dans l'enfance: on ne sait pas tout, on entend des choses, on se débrouille avec ce que l'on nous dit. Sans mélo, le film est porteur d'une charge émotionnelle puissante. En lire plus: http://daphn.over-blog.fr