AlloCiné
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Votre avis sur The American ?
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L'avis du Cat's : Visuellement irréprochable, le film est loin de sa bande annonce qui laissait prétendre à un classique thriller explosif. Corbijn venant du clip, frôle par moment l'exercice de style et tel un bolide de formule 1 qui rate la chicane, il se crache au moment du virage mélodramatique.Dommage
Le cinéma d'Anton Corbijn est très spécial. Aucun plan inutile, aucune explication facile. Au spectateur de s'accrocher. Heureusement, c'est beau. Très très beau. De Clooney aux italiennes, des paysages majestueux aux ruelles pittoresques, toute la photo est splendide. Alors devant tant d'élégance ouatée, il reste deux options : s'endormir ou se laisser porter. J'ai vécu la seconde.
Très peu d'intensité dans l'action et une fin quelque peu prévisible... Pourtant on sent que l'histoire de fond pourrait donner mieux...
Voiture, montagnes, rues de village, montage d'arme, femme, voiture, montagnes, rues de village, montage d'arme, femme...
voilà a quoi se résume ce film... Histoire sans intérêt, pas d'histoire tout court même...pas de rythme...ennuyeux au possible!! Heureusement, Georges a toujours son charme :-D
voilà a quoi se résume ce film... Histoire sans intérêt, pas d'histoire tout court même...pas de rythme...ennuyeux au possible!! Heureusement, Georges a toujours son charme :-D
L'avantage c'est qu'on a le temps de regarder les magnifiques paysages. On sait aussi maintenant comment bricoler une arme à feu. Pour le reste que de longueurs et d'incohérences du scénario. Pourquoi est-il poursuivi, par les Suédois, par la fille, par son patron ? On a connu Clooney plus virulent !
The American n'est pas le film du siècle. Il n'est certes pas exempt de défauts (raccords musicaux, bandes-son...) mais il reste un film excellent, au scénario original (voir la fin par exemple), avec une mise en scène réfléchie, et des acteurs géniaux.
Une bonne surprise à ne pas négliger !
Une bonne surprise à ne pas négliger !
Je n'ai pas de temps à perdre avec un film ennuyeux qui refuse désespérément de décoller. J'abandone à la moitié.
Film noir de bonne facture, scénario classique mais efficace
Les paysages authentiques rendent irréprochables le côté visuel du film. Quant au scénario et Georges Clooney, c'est une autre histoire et on ne peut que se lasser de ce vide total. Clooney est loin d'être un choix judicieux, lui qui n'est pas à la hauteur scéniquement de jouer autre chose que de la comédie dramatique à l'eau de rose. Espérons qu'il nous montre un autre côté avec le très prometteur "The Descendants"...
Et bien et bien quel bon film.
aaaaah plaisanterie quand tu nous tiens, franchement c'est très très fade.
On est surpris dans les cinq premières minutes pour ce qui s'annonce être un polar froid et puis finalement pendant une heure il ne se passe plus rien.
On observe juste Clooney en train de préparer des armes ou de coucher avec une prostitué ou parler avec un prêtre et puis soudain il se repasse quelque chose et ensuite on ne comprend plus rien c'est chiant de chez chiant.
Le film tente d'être réaliste sur le quotidien d'un tueur à gage, je veux bien, mais si c'est pour faire un film comme cela ce n'est pas la peine.
Il n'y a pas d'émotions d'ailleurs il n'y a vraiment pas grand chose dans ce film à part quelques jolies plans et une belle photographie.
aaaaah plaisanterie quand tu nous tiens, franchement c'est très très fade.
On est surpris dans les cinq premières minutes pour ce qui s'annonce être un polar froid et puis finalement pendant une heure il ne se passe plus rien.
On observe juste Clooney en train de préparer des armes ou de coucher avec une prostitué ou parler avec un prêtre et puis soudain il se repasse quelque chose et ensuite on ne comprend plus rien c'est chiant de chez chiant.
Le film tente d'être réaliste sur le quotidien d'un tueur à gage, je veux bien, mais si c'est pour faire un film comme cela ce n'est pas la peine.
Il n'y a pas d'émotions d'ailleurs il n'y a vraiment pas grand chose dans ce film à part quelques jolies plans et une belle photographie.
Peu de dialogues mais tellement explicite malgré tout. Une certaine ambiance entre mafia, services secrets... A voir
un polar qui partait pourtant bien pendant au moins un peut plus d'une demi heure!!!! pour une fois on trouvait un george clooney dans un bon polar dans un bon role de tueur a gages!!! sauf q'au final on se casse la figure sur toute la duree du film, on ne comprend pas trop certaines scene, d'ou trrop d'imperfection, malgre quelque peu scene d'action, le film manque de rhythme et ne demarre jamais!!! le film est trop axer sur la love story!!! dommage car sa aurait pu bien le faire tout sa avec un george clooney dans un autre registre!!!
Ce film me rappelle drive mais avec la musique génial en moins, les scènes d'actions en moins et juste le sexe en plus. Donc on peut considérer que ce film n'est pas très intéressant.
AMCHI
The American semble déplaire à pas mal de monde il est vrai que l'on peut être rebuté par le rythme lent de ce thriller et que pour une histoire de tueur à gage on voit peu de meurtres et d'action. C'est un film d'atmosphère où l'on suit la fin d'un tueur professionnel incarné par un George Clooney très à l'aise dans ce rôle, The American s'offre quelques instants de pur suspense comme cette balade nocturne dans le village désert. Oui c'est sur que The American aurait pu être bien meilleur pour autant ce n'est pas un film à négliger.
Je suis estomaqué de voir que des personnes aient pu attribuer une bonne note à ce film. Pour ma part, il serait plutôt à classer au plus profonds des abîmes de la déchéance cinématographique.
Le film tente de faire du cinéma cérébral. Des plans fixes qui durent, le visage impassible d'un héros meurtri, beaucoup de symboles, peu de dialogues et encore moins d'action. Le film se résume en deux ligne. Clooney marche, Clooney téléphone, Clooney fabrique une arme, Clooney fait de la muscu et pour finir en beauté la journée, Clooney vide son sac à foutre dans une maison close. Comme put l'être l'Eclipse d'Antonioni, The American est un film sur le vide. D'ailleurs, c'est bien du réalisateur italien qu'Anton Corbijn semble s'inspirer, en plus de son homologue du Western Spaghetti Sergio Leone, à qui il glisse un hommage d'une subtilité pachydermique dans son film hyposthénique.
Seulement, le brave Anton a beau être photographe de métier, la qualité picturale du film est loin de ce qu'offre L'Eclipse et son superbe noir et blanc hypnotique soulignant la quintessence physionomique des visages, et en terme de prouesse de mise en scène le film d'Antonioni lui est supérieur à tous les niveaux, car Corbijn confond sobriété et simplicité.
Ainsi, l'effet recherché par The American tombe comme un cheveux sur la soupe. Une tension qui part de zéro et monte DEcrescendo, une beauté plastique inexistante, pour un scénario qui aura eu le mérite de ridiculiser un Clooney trop convaincu par la puissance de son personnage insipide. Les rares scènes d'actions ne trahissent pas l'aspect amateur du film, en particulier la séquence d'ouverture qui vaut son pesant de rires.
The American pourrait se voir comme une immense blague, une parodie involontaire du film d'espionnage dans laquelle son réalisateur se vautre non sans une colossale prétention.
Le film tente de faire du cinéma cérébral. Des plans fixes qui durent, le visage impassible d'un héros meurtri, beaucoup de symboles, peu de dialogues et encore moins d'action. Le film se résume en deux ligne. Clooney marche, Clooney téléphone, Clooney fabrique une arme, Clooney fait de la muscu et pour finir en beauté la journée, Clooney vide son sac à foutre dans une maison close. Comme put l'être l'Eclipse d'Antonioni, The American est un film sur le vide. D'ailleurs, c'est bien du réalisateur italien qu'Anton Corbijn semble s'inspirer, en plus de son homologue du Western Spaghetti Sergio Leone, à qui il glisse un hommage d'une subtilité pachydermique dans son film hyposthénique.
Seulement, le brave Anton a beau être photographe de métier, la qualité picturale du film est loin de ce qu'offre L'Eclipse et son superbe noir et blanc hypnotique soulignant la quintessence physionomique des visages, et en terme de prouesse de mise en scène le film d'Antonioni lui est supérieur à tous les niveaux, car Corbijn confond sobriété et simplicité.
Ainsi, l'effet recherché par The American tombe comme un cheveux sur la soupe. Une tension qui part de zéro et monte DEcrescendo, une beauté plastique inexistante, pour un scénario qui aura eu le mérite de ridiculiser un Clooney trop convaincu par la puissance de son personnage insipide. Les rares scènes d'actions ne trahissent pas l'aspect amateur du film, en particulier la séquence d'ouverture qui vaut son pesant de rires.
The American pourrait se voir comme une immense blague, une parodie involontaire du film d'espionnage dans laquelle son réalisateur se vautre non sans une colossale prétention.
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