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Un visiteur
0,5
Publiée le 8 novembre 2010
Ennuyeux au possible !!!! Les 5 premières minutes sont prometteuses mais on déchante vite. Une fois qu'on a apprécié les paysages et le fait que G.Clooney joue bien l'homme seul, silencieux et torturé, il ne nous reste plus rien. Le scénario est plat et sans aucune surprise. Le film est d'une lenteur insoutenable, on regarde sa montre en attendant qu'il se passe quelquechose. Les relations entre les personnages ne sont absolument pas approfondies, on reste en surface alors qu'il y a pourtant largement de quoi étoffer. Je trouve ça triste de gâcher autant de pellicule pour un film qui n'aurait pas dû dépasser la demi heure. Bref : je déconseille. Passons à autre chose !
Le beau George en ténébreux tueur à gages aux prises avec on ne sait quelle organisation qui veut sa mort. Il est crédible, mais il y a deux ou trois trucs dans le scénario qui me semblent mal ficelés. La photographie est belle et illustre bien cette belle région des Abruzzes où l'histoire se déroule.
Un film lent mais sans travail esthétique, une musique agaçante et finalement aucun suspens comme annoncé. On ne ressent pas d'émotion particulière, c'est plat. Me suis endormie...
Un film à la photographie d'une grande finesse, à la direction d'acteurs et au scénario tout dans l'économie et la subtilité. Bien loin des recettes hollywoodiennes éculées, avec The American Corbijn ne nous livre pas un "grand film" mais un excellent film de genre. À la fois poignant (mais jamais racoleur ou vulgaire) et contemplatif (mais jamais ennuyeux, à mon sens bien sur).
Une œuvre sobre et sombre, toutefois gratifiée d'une des plus prenantes scènes érotiques que j'ai vues ces dernières années!
Un film fade, sans intérêt et complètement inutile au développement de la culture cinématographique dans le monde
!! J'aurais du opter pour un bon vieux VHS de Charlie Chaplin ou un Laurel et Hardy, j'aurais eu plus ma part de suspens que dans ce film que j'ai élu plus mauvais film depuis l'invention de la camera !
Je suis en plein visionnage du film au cinéma, film extrêmement ennuyeux, sans intérêt, 45min que le film est commencé sans le scénario. Franchement déçue!
Bon, le film n'est qu'une vaste tromperie, au vu de l'affiche et de la bande annonce, on s'attend à un bon thriller plein de rebondissements et tout et tout. Au lieu de cela, on assiste impuissant à 1h50 de Georges Clooney réalisant sont phantasme du moment : tourner dans la campagne italienne. Et le film n'est fait que de plans séquences sur la campagne et de Georges Clooney ne disant pas un mot.
Mention spéciale à la scène improbable ou il est dans le bar du village, l'écran plat du fond diffuse Il était une fois dans l'ouest. Hommage donc, sauf que le tavernier se croit obliger d'ajouter une réplique idiote du style "Sergio Leone, un grand homme" ce qui tue instantanément la scène.
Remarque, le personnage de la pute n'est pas mal non plus. Mais d'où sort cette prostituée?
Enfin bref, sauf si vous comptez partir en voyage dans les Abruzzes, évitez ce film.
Si scénario il y a, alors c'est celui d'un court métrage et non d'un film de 1h40... La lenteur extrême de ce film, le manque de dialogue, et l'histoire sans originalité ne nous permettent pas de passer un bon moment. Il est vivement déconseillé de voir ce film après 20h, sous peine de sentir ses yeux tomber chroniquement... La musique (quasi-inexistante) est également soporifique et pas forcément adaptée...
Avec ce thriller Anton Corbjin ne joue pas la facilité pour le spectateur. Le plongeant d’emblée dans une atmosphère ouatée, lourde… il l’écrase sous une forêt enneigée et un feu nourrit qui n’aura d’autre fonction que de véritablement faire basculer notre héros d’un point de vue psychologique…et de le conforter dans son envie de raccrocher de son métier, celui de tueur à gages, et d’habile artisan dans la fabrication d’armes modifiées pour les assassinats…
Le personnage interprété par Clowney, véritablement très sobre dans son jeu, s’échappe alors en Italie dont les paysages transalpins servent à la fois de cadre à un western avec de grands espaces filmés de façon poétiques tout en les juxtaposant avec un cadre urbain rappelant le meilleur du western de Leone comme « Pour Une Poignée De Dollars ». Grâce à ces superbes décors naturels et le jeu simple mais juste de ses comédiens, le réalisateur construit un récit non pas basé sur le spectaculaire mais sur le ressenti de ses personnages (le tueur, l’autre tueur, le boss, la prostituée), ressenti qui passe par des regards, des expressions ou des détails de l’environnement des personnages plutôt que par des mots.
Empruntant énormément au cinéma de Sergio Leone auquel il fait un clin d’œil appuyé en diffusant un extrait de scène mythique de « Il Etait Une Fois Dans L’Ouest » il va alors user des mécaniques de ces films pour mieux les retourner à sa vision des choses. Plus atmosphérique que tendu le film se déroule alors comme un long voyage vers un destin que nous ne pouvons « malheureusement » que deviner étant donner le peu de personnages impliqués dans l’histoire.
Las malgré une photographie toujours très soignée que ce soit avec ses scènes de jour sublimement naturelle ou ces scènes de nuit éclairées comme un bon vieux Bava ou Argento, cette façon de poser son récit, pour que nous en ressentions la moiteur, la pesanteur quand à l’avenir incertain des protagonistes du film ne contentera pas les fans de films plus musclés venu revoir George dans un « Pacificateur 2 ». Les autres, s’ils sont sensibles à la poésie des images et du récit, s’ils sont férus de cinéma populaire italien de genre années 60 et 70 risquent de ressortir plus que touchés par ce personnage en quête d’amour et de paix… The American est loin d’une grosse machine à l’américaine c’est un beau thriller qui se transforme en drame à la poésie touchante… Un papillon de cinéma sensible et beau…