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kayser söze
1 abonné
6 critiques
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4,0
Publiée le 7 janvier 2023
Film aussi émouvant que tragique.On est submergé d'émotions tout au long du film qui dépeint une des plus grande peut être la plus grande catastrophe des années 2000.À saluer la prestation du jeune Tom Holland.
très loin des films catastrophes qui rivalisent de cataclysmes plus gros et plus terribles et de nombreux clichés, ce film est touchant et éprouvant et surtout très réaliste avec des images terribles et parfois très dures un film qu'on n'oublie pas tant il marque par sa justesse des sentiments, des situations
Après l avoir vu deux fois , toujours aussi scotché devant le réalisme de ce film catastrophe énorme . L émotion est omniprésente . La famille est exceptionnelle , les décors paradisiaques deviennent apocalyptique .
Excellent film sur cette saga familiale au milieu du très réaliste Tsunami et ses conséquences. Aucun temps mort, aucun moment absurde et mégalomaniaque Un début époustouflant Je n'oublierai jamais ce film
Il évoque le terrible tsunami du 26 décembre 2004 dans le sud de la Thaïlande à travers une famille de touristes prise dans ce drame. Ce film retrace l'histoire vraie de María Belón et sa famille partie fêter Noël là-bas. La préparation du film s'est déroulée pendant presque deux ans, entre l'Espagne et la Thaïlande, dans plus de 60 sites différents, dont bon nombre ont été les lieux réels de la catastrophe, à Khao Lak et à l'hôpital de Takua Pa Pour reconstituer le plus fidèlement possible le gigantesque tsunami, la production a donc travaillé avec six sociétés spécialisées dans les effets spéciaux. Et en tout, il a fallu un an pour créer l'impressionnante séquence de 10 minutes pendant laquelle le premier raz-de-marée submerge la côte Le tournage du film a débuté le 16 août 2010 jusqu'au 28 février 2011, à Khao Lak Orchid Beach Resort, (Phang Nga), en Thaïlande puis à Alicante et Ciudad de la Luz, dans la province d'Alicante, en Espagne.
Ce film vaut avant tout par l’extraordinaire reconstitution du tsunami qui dévasta Phuket en Thaïlande en 2004. Pour le reste, on est en plein Hollywood, avec ses personnages américains stéréotypés, Naomi Watts tirant toutefois son épingle du jeu. Tiré d’une histoire vraie d’une famille espagnole qui a réussi à sortir indemne de cette catastrophe, on a du mal à entrer dans le film, et il y a beaucoup trop de longueurs si bien qu’on s’ennuie ferme et qu’on a hâte que ça se termine.
Sans tomber complètement dans le larmoyant, le film impressionne. Le tsunami remarquablement reproduit reste le clou du film même si le côté sentimentaliste est bien traité et parvient à faire passer l'émotion sans mièvrerie. Les acteurs sont crédibles et garantissent la qualité de l'ensemble.Dans le genre, c'est une réussite.
Une claque monumentale. Touchant, sincère, choquant, rien de l'atrocité qu'ont vécu les centaines de milliers de victimes du tsunami de 2004 ne nous est épargné dans ce film. La scène du tsunami est l'une des plus réalistes scène de catastrophe du cinéma, et la bataille de Lucas et sa mère pour leur survie dans les minutes qui suivent est stressante au possible. La performance de Naomie Watts est incroyable, mais je tiens à souligner la brillante interprétation d'un tout jeune Tom Holland, à peine adolescent. Difficile de croire qu'il s'agit là de son tout premier rôle d'acteur au cinéma quand on voit avec quelle facilité il nous tire les larmes et interprète à la perfection le rôle du grand frère trop jeune pour assumer le rôle que la situation lui impose mais qui donne le meilleur de lui-même malgré la souffrance. spoiler: La scène des retrouvailles, surtout précédée d'un long moment de frustration où les cinq membres de la famille se tournent autour sans parvenir à se retrouver m'a profondément bouleversée, au point d'avoir du mettre le film en pause quelques minutes le temps de sécher mes larmes. Un brillant hommage aux trop nombreuses victimes de cette catastrophe. Difficile de réaliser pour moi qui était trop jeune pour m'en souvenir, que ce sont des faits réels qui sont relatés. Un chef d'oeuvre.
Un film qui malheureusement nous plonge dans l'univers d'un drame qui a bouleversé le monde entier. Il arrive à nous plonger dans l'angoisse du tsunami et le chaos suscité. Il est émotionnellement très fort et nous montre à quel point l'être humain peut être plein de courage et ressources dans les pires moments de son existence.
A la fin toute la famille est transporté dans un avion affrété rien que pour eux (super luxe). Il y avait des places libres, mais on a laissé les autres de se démerder sur une île dévasté. Impossible à comprendre ???
4 517 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 24 septembre 2021
Je m'attendais à ce que The Impossible raconte l'expérience d'une famille dans le contexte d'une tragédie naturelle unique qui a causé 400 000 morts et laissé 500 000 personnes sans abri. Après tout c'est ce qui rendait leur histoire unique. Malheureusement le réalisateur et le scénariste de ce film ont pratiquement omis le tsunami. Alors que le véritable tsunami était une catastrophe naturelle aux proportions épiques survenue dans l'un des endroits les plus exotiques les plus beaux et les plus tranquilles du monde le tsunami n'est vu dans ce film que comme une vague entrant dans la piscine de l'hôtel. Après cela il n'y a pratiquement que des gros plans sur Naomi Watts souffrant et criant. À l'exception des coupures et des bleus elle pourrait être dans n'importe quelle flaque d'eau sous une mauvaise pluie dans un motel de Floride. Étrangement même si des centaines de milliers d'autres personnes ont été emportées Naomi Watts est toujours seule sous une eau boueuse sortant d'un marécage ou assise dans un arbre. Elle et son fils sont à peu près les seuls que l'on voit dans la première moitié du film. Il n'y a pas non plus de bâtiments de voitures ou d'autres objets qui auraient pu être touchés par la vague. Lorsqu'elle arrive à l'hôpital il y a quelques dizaines de figurants pour représenter le million de personnes blessées et mortes. La scène de l'hôpital aurait pu être filmée le samedi soir dans n'importe quel hôpital américain sauf que la scène était trop calme. Après 45 minutes nous avons des gros plans d'Ewan McGregor hurlant et souffrant. C'est à peu près tout des cris et des souffrances avec des caméras sur leurs visages presque jamais une référence à l'échelle et aux circonstances de la tragédie unique et colossale qui est à la base de ce film. Nous nous retrouvons donc avec une famille qui passe une mauvaise journée quelque part avec des palmiers sous la pluie et c'est tous...
Un honnête film catastrophe qui reconstitue brillamment le drame de 2004 mais qui souffre dans sa seconde partie, inutilement longue et qui vire (presque ?) au pathos.