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    We Need to Talk About Kevin
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    4,0
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    414 critiques spectateurs

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    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    150 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2014
    Un brillant drame sur la relation tendue entre une mère protectrice et son fils qui devient petit à petit psychopathe avec une ambiance dérangeante. Avec Tilda Swanton , la Sorcière blanche du Monde de Narnia, avec l'excellent et délirant John C. Reilly dans un rôle plus dramatique et Erza Miller , la révélation du film qui jouera dans Le Monde de Charlie aux côtés d'Emma Watson ( Harry Potter) et Logan Lerman( Percky Jackson). Brillant dans cinq épisodes de Royal Pains , Erza Miller est un acteur très convaincant.
    caromath37
    caromath37

    6 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2013
    Très bon film avec des acteurs très pertinents. Les prises de vues sont également à mettre à l'honneur, l'ambiance créée provoque une sorte de malaise chez le spectateur qui permet de le mettre en immersion.
    No Spoiler
    No Spoiler

    21 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2013
    Il s'agit de la création d'un mythe contemporain au travers d'un adolescent archer, meurtrier en série, qui déteste sa mère! Le mal peut-il n'avoir aucune explication? L'amour maternel est-il sans limites? Voilà les questions posées par ce film surprenant à l'interprétation de haute volée.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 novembre 2013
    Je viens de le voir en Dvd à l'instant,c'est un tres bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 octobre 2013
    Si les intentions sont bonnes, à aucun moment, je ne parviens à me prendre d'affection pour cette famille. Le traitement de la descente aux enfers ne me semble pas très crédible... Le film est pourtant bien réalisé.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 octobre 2013
    Le sujet de ce film ne manque pas d'intérêt : jusqu'à quel point un parent peut-il être responsable des agissements de son enfant? Le problème, c'est que ce sujet passionnant est dans la grande majorité du film mis de côté au profit d'une mise en scène pseudo artistique, très agaçante avec l'omniprésence de la couleur rouge (au bout de 15 min c'est bon on a compris que crime il y a eu, pas besoin d'insister), des effets de style et des flashbacks (une narration plus linéaire aurait mieux collé au sujet). J'aurai aimé plus d'interrogations et d'explications sur comment naît un criminel, comment prendre en charge psychologiquement un enfant extrêmement pervers dès le plus jeune âge, comment créer le lien entre une mère et son enfant. Au final, on peut se dire que le seul "crime" que cette mère ait commis, c'est de ne pas s'être aidé de professionnels de la santé mentale dans l'éducation de son fils. Le film aurait pu ainsi aboutir sur une réflexion à propos de la prise en charge psy des individus à comportement pervers et sociopathes dès le plus jeune âge.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    208 abonnés 1 917 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 octobre 2013
    Malgré l'interprétation exceptionnelle de Tilda Swinton et une mise en scène sophistiquée, ce film est un demi échec car il échoue complètement à nous apporter la moindre explication sur le comportement criminel du jeune "mass killer" qui va décimer ses camarades de classe avec un arc offert par son père. La réalisatrice semble ne s'être intéressée qu'à la mère et à sa volonté de survivre à un drame terrifiant. L'interrogation demeure donc : ce garçon serait-il né avec des "gènes du mal" ? Car les éléments qu'on nous apporte : jeux vidéos et fascination pour le tir à l'arc sont tout de même un peu faibles pour expliquer un tel déchaînement de folie meurtrière. Par ailleurs, certaines séquences, comme le bain de sang du début, n'apportent rien et la musique country est franchement inappropriée. La construction en allers et retours incessants vers le passé est aussi un peu lassante, d'autant qu'elle ne nous permet pas de comprendre la psychologie du gamin assassin. Evoquer une telle tragédie au travers des rapports mère-fils était sans doute une rude gageure qui, pour être gagnée, aurait exigé bien davantage de subtilité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 août 2013
    Bien loin du tapage médiatique d'Elephant, devant lequel la quasi-totalité des médias et critiques se sont pâmés d'admiration, We need to talk about Kevin est pour sa part sorti dans un anonymat des plus total, peut être encore plus qu'un énième Direct To Video de Steven Seagal...

    Contrairement à son « illustre aîné », l’œuvre de Lynne Ramsay ne traite pas directement du carnage de Colombine, mais s'intéresse à l'enfance de ces adolescents psychopathes, aux événements qui ont pu les bouleverser et créer chez eux un déséquilibre psychologique irréversible. D'entrée de jeu, le film choquera les afficionados de montages classiques par ses multiples flash-backs et la succession de séquences qui, prises individuellement, ne font pas tout de suite sens pour le spectateur. Cette originalité dans la forme donne un côté rafraîchissant à ce long métrage, et l'angle choisi par la réalisatrice va vite s'avérer être ingénieux.
    Ici, le sujet d'étude s'appelle Kevin. Sa mère Eva a mis sa vie professionnelle de côté pour le mettre au monde, et dès sa naissance, un malaise inexplicable va s'installer entre elle et son enfant. Kevin est un enfant énigmatique : il ne parle pas, toise constamment sa mère d'un regard étrange... En grandissant, il adorera créer chez elle la frustration, ou détruire ce qui lui est cher. Cette relation faite de confrontations toujours plus douloureuses pour Eva va également faire empirer celle qu'elle entretient avec son mari. Avec Kevin, l'incompréhension règne, d'autant plus que sa petite sœur répond à tous les critères de l'enfant modèle et équilibrée. Ado énigmatique, renfermé, et égoïste, il va le rester jusqu'au drame qui va mettre cette famille en pièces...

    La beauté du film n'a d'égal que sa cruauté, et son ton résolument dur et sans concessions. C'est une véritable empoignade psychologique à laquelle on assiste, entre deux acteurs en état de grâce. Tilda Swinton (Eva) et Ezra Miller (Kevin) constituent un duo d'anthologie, qui arrive sans peine à nous remuer les tripes. Le désarroi de cette mère face à la haine que lui voue son enfant et qu'elle finit par partager est palpable, et est ici exposé avec subtilité et finesse. John C Reilly (le père de Kevin) est lui aussi toujours juste, comme à l'accoutumée.

    We need to talk about Kevin est pour moi supérieur à Elephant, autant dans son montage, plus original, et par l'intensité qui s'en dégage. Ne vous étonnez pas de repenser à ce film, même plusieurs années après son visionnage. Tout simplement du grand cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 août 2013
    La trajectoire d'un meurtrier de masse à travers les souvenirs de sa mère. L'interprétation est excellente, cependant le film souffre d'un montage assez brouillon: la narration basée sur une succession de flashbacks sert assez bien l'évolution du personnage de Kevin mais rend celui de la mère assez insipide. La fin souffre de quelques incohérences ou zones d'ombre, peut être également imputables à ce parti-pris de narration. La mise en scène et la réalisation sont correctes, parfois trop formalistes. Le propos, quant à lui est assez ambigu: le film pseudo-psychologisant, laisse entrevoir des pistes d'explication de la folie du personnage, suggérant en particulier l'hérédité ou une psychopathie "de naissance". C'est peut-être là l'aspect le plus agaçant, si ce n'est dérangeant, au final, de ce film qui ne va pas au bout de son propos.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 août 2013
    Tout est clair et souligné 20 fois dans ce film tape-à-l'oeil ne contenant aucun mystère ni aucun secret. Les scènes brutales s'enchaînent sans transition, illustrant toutes la même donne de départ : maman fut une mauvaise mère, fiston est mal dans sa peau. Problème : le garçon joue comme un méchant de film d'épouvante hyper-conscient et manipulateur. Impossible dans ces conditions d'avoir envie de le comprendre, puisqu'il semble avoir lui-même déjà tout compris. Film affreusement prétentieux, l'un des plus mauvais que j'ai vus depuis longtemps.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    39 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2013
    C'est un peu lent mais j'ai quand même su apprécier, c'est bien interprété, dur et il y a de l'intrigue.
    Flowcoast
    Flowcoast

    60 abonnés 1 199 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 août 2013
    Un peu long, mais quel coup de maître au niveau psychologique. A part ça, le film est très curieux, et on s'ennuie un peu. Dommage, mais le film n'est pas trop impersonnelle, et on sent cette indépendance dans ce film. We need to talk about kevin s'inscrit comme un film, soulignant les gros problèmes relationnels entre la mère et son fils. A vrai dire, cette histoire est dure, voire choquante. Mais, un film satisfaisant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 juillet 2013
    Une réalisation stylisée, une mise en scène soignée, une couleur symbolique, des décors réalistes, des dialogues épurés, des interprétations exceptionnelles, un malaise constant, un esthétisme rare, un enfant sociopathe, une fascination étrange mêlée à l’effroi : voilà de quoi est composé le troisième long métrage de Lynne Ramsay.

    We need to talk about Kevin est un drame sombre, traumatisant dont vous n’en ressortirait pas indemne. Un film à voir absolument.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    112 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juillet 2013
    Chronique d’une enfance perturbée, d’un lien mère-enfant détraqué par la britannique Lynne Ramsay. Alors que mère et père ne peuvent communiquer sur l’état d’esprit de leur premier enfant, leur fils Kevin, ce dernier se métamorphose en monstre sans les yeux d’une mère qui semble être la seule à remarquer les maux de son fils. Paradoxalement, cette même mère aura démontrer dès la naissance de Kevin une froideur et un manque d’affection déstabilisant. Dès sa venue au monde, Kevin n’est que partiellement aimé, même si la mère conscients à de nombreux efforts. Lynne Ramsay ose disséquer de manière très abrupte la relation entre une mère et son fils, un concept très féminin lorsque l’on ne peut que remarquer l’absence d’une véritable autorité paternelle.

    Par ailleurs, le film, pour être plus percutant mais surtout plus intriguant, ne prendra en compte que le vécu, les remords et les inquiétudes de la mère, interprétée brillamment par le discrète Tilda Swinton. Nul explication de ses actes d’un fils diabolique, nul prise de position d’un père absent et naïf, juste le vécu d’une mère rongée par un remords qui ne lui revient pas vraiment, n’ayant jamais réussi à approcher suffisamment son fils, et ayant renoncé par le suite. La haine est perceptible, le comportement de l’enfant, de l’adolescent est pervers et incontrôlable. Dévastée par son vécu, l’on retrouve la mère avant, durant et après les évènements provoqués par son enfant, d’une manière parallèle mais tout à fait distincte.

    Le jeu des acteurs est tout simplement somptueux, Tilda Swinton d’abord mais aussi Kevin, interpréter par un acteur qui monte, Ezra Miller. Les regards sont profonds, les intonations justes et le désespoir et la malice se lisent comme à livre ouvert. Chronique d’un drame qui trouve sa source dans le cœur de la famille traditionnelle, ou non. A vous, à nous de tenter de répondre à cette question. Alors que Kevin nous rebute de par son tempérament, l’on serait tenter de la plaindre d’être mal aimé. Alors que la mère, démolie et seule contre tous nous fait mal au cœur, l’on n’est tenté de lui tiré les oreilles en lui rappelant au bon souvenir de sa tronche d’enterrement le jour de la naissance du petit. Finalement, le plus attristant dans tout ça sera la relation de Kevin et de sa petite sœur, une méchanceté dissimulée qui aura de lourde conséquences, même éphémères.

    Un film lourd, poignant et très bien écrit. La famille au cœur du drame, de l’incompréhension. Tout y est dit, tout y est imagé, même si les premières minutes sont difficiles à cerner. Par ailleurs, Lynne Ramsay, très bonne metteuse en scène, s’amuse à se jouer du floue, de la mise au point et d’une bande son pour le moins étonnante vu la raideur du sujet abordé. Sans doute afin de faire retomber la pression, la réalisatrice amène le vent frais à intervalles réguliers par des séquence heureuses ou prometteuses d’un avenir meilleur. Par ailleurs, le final laisse entrevoir la profonde détresse d’un enfant que l’on voyait jusqu’alors comme un monstre. Que de questions. Un film étonnant et très touchant, c’est déjà un fait majeur. 16/20
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    72 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 juillet 2013
    Ce que ce film m'a emmerdée...! Je vois pas l’intérêt. Au bout de 5 mns on devine la fin mais sans pour autant comprendre par ce que c'est certainement pas ce flm là qui peut donner une explication à ce genre de drame. 1heure et demi de longueurs, de scènes où on est censé comprendre par une psychologie de bazar le problême du gamin ( Un père complètement à côté de la plaque vénéré par son fils ou la haine ressentie par le gamin, à qui on a envie de foutre des claques, à l'égard de sa mère sans qu'on sache pourquoi ..?.) On pourrait imaginer dans cette pauvreté scénaristique une visite à un psy... même pas. C''est manichéen comme écriture. Rien n'étonne le spectateur, rien ne le trouble, rien n'est suggéré. Ensuite, l'actrice est juste insupportable. Je ne parle pas de sa laideur qui est un constat purement personnel mais elle affiche deux expressions et deux seules durant 1h30; Pourquoi t'as fait ça? Je sais pas. Et puis le générique arrive et voilà. On ressent rien d'autre qu'un immense soulagement. A fuir!!
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