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    We Need to Talk About Kevin
    Note moyenne
    4,0
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    414 critiques spectateurs

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    loeil38
    loeil38

    19 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 février 2012
    ce film est incompréhensible avec un scénario très brouillon on ne comprend rien le film mais beaucoup de temps à ce mètre en route et c'est extrèmement moue c'est d'un ennuie redoutable
    eldarkstone
    eldarkstone

    229 abonnés 2 094 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2012
    Redoutable, troublant, brillant, terrifiant ... Un film diaboliquement humain, qui commence doucement, pour finir tragiquement !
    Akamaru
    Akamaru

    3 134 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2012
    "We need to talk about Kevin" est l'un de ces films qui prend aux tripes,et dont on se souvient longtemps après la projection.Et pourtant,il prend racine sur le terrain archi-défriché de la confrontation mère/fils,de l'enfant maléfique,et de la déliquescence familiale.Oui,mais Lynne ramsey fait exploser la moindre convention.Elle destructure tant la narration de son film,qu'elle prend le risque de le rendre trop opaque,trop conceptuel,donc vain.L'écueil est évité de justesse,car elle met la pédale douce sur les flash-backs au bout du premier tiers.Son autre façon de se démarquer,c'est de métaphoriser cette relation infernelle et l'inévitable dénouement,par l'omniprésence de la couleur rouge,et par des expérimentations visuelles et sonores troublantes(gros plans sur des bouches en train de mâcher,musique paradoxalement enjouée).Tilda Swinton,encore une fois,extraordinaire,pour retranscrire les femmes en perdition morale trouve un alter-ego fulgurant avec le jeune Ezra Miller,18 ans,au charisme raffiné et diabolique.les références à "La malédiction" ne sont d'ailleurs pas cachées.On s'interroge donc sur la source du mal.Kevin agit-il ainsi par désoeuvrement,par manipluation,parce qu'il pense que sa mère ne l'aime pas,ou à l'inverse qu'ils ont une connexion inaltérable?Le film ne donne pas la réponse,et c'est tant mieux car il n'en est que plus déconcertant et malaisant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 février 2012
    Un film fort et troublant.
    Un film peu commun, de bons acteurs, une tension et une sorte de mal aise face à une mère complètement à bout, constament comme ça devant son petit garçon...
    On se demande quand est-ce qu'elle va péter un plomb et mettre une bonne raclé à son gamin!
    Mais la fin et bien meilleure que ça... je vous laisse juger... c'est un film qui indéniablement vous laissera pas insensible. A voir donc!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 février 2012
    We need to talk about Kevin est juste époustouflant. IL est angoissant et on ressent comme une gène du début à la fin. On finit le film et on a des questions pleins la tête. Ce film est culte !
    Pascal I
    Pascal I

    777 abonnés 4 137 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 février 2012
    Je fais parti de l'ultra minorité de ceux qui n'ont pas aimé, mais pas du tout la présentation du thème faite comme cela. Egalement, les multiples incohérences totalement invraisemblables (j'en rajoute) qui ponctuent et anéantissent le déroulé : spoiler: pourquoi rester dans la même ville où le drame a eu lieu , Impossible mais totalement impossible que le père passe à travers et ne vois rien ! Aucun signales d'alarme par la mère (service sociaux, amis ...) ! Aucun instinct de dire non alors qu'elle se doit e protéger sa fille et cela sur plusieurs années ! Bref, on se retrouve bien dans une fiction à l'Américaine romancée
    . De plus, cette relation voulu "exclusive" avec sa mère penche doucement vers du délire psychique et s'éloigne énormément du contexte primaire ! Encore une incohérence magistrale ! Le choix des flash-back incessants enlèvent jusqu'à plus soif l'effet dramatique laissant se dévoiler un psycho dès sa naissance qu'une mère n'a pas sut gérer. Alors à parler de responsabilité d'éducation, ce n'est plus un fossé, c'est un océan très maladroit. Interprétation assez mauvaises et longueurs de scènes soporifiques avec des silences qui n'évoquent rien du tout si l'on prends tout cela ! Une fiction bien mauvaise ! 1/5 et je suis gentil !!! A fuir !!!
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 133 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 février 2012
    (...) We Need To Talk About Kevin n’a rien d’un drame humain remplit de rayons de lumières salvateurs, la noirceur de l’âme et le pessimisme de l’existence y sont légion et si vous êtes d’humeur dépressive, passez votre chemin sans sourciller.
    Critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/critiques/critique-drame/critique-we-need-to-talk-about-kevin/
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 février 2012
    Un des film les plus dérangeant que j'ai jamais vu dans ma vie, "we need to talk about Kevin" vous poursuivra bien longtemps après que vous l'ayez vu. Un réel malaise, quasi-physique s'installe chez le spectateur qui relève à la fois du voyeurisme, de l'émotion et de l'incrédulité face à la haine pure que ressent cet adolescent pour sa mère... Haine pure ou amour fou, c'est toute la trame du film qui est posée dans cette question.
    Frédéric M
    Frédéric M

    19 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 février 2012
    Que de critiques positives pour ce film ! Le rouge doit fasciner et attirer, sinon je ne comprends pas. Plus l'enfant fait des crasses à sa mère, plus cette dernière lui dit "que je t'aime mon fils !". C'est à mourir de rire. Ce qui est le plus poilant, c'est que la mère et le père ne se parlent pas, si bien que toutes les crasses du fils sont tues, alors le père ne cesse de penser que sa femme est folle... quand elle essaie malgré tout d'expliquer le comportement de leur fils. Vous avez compté le nombre de baffes que la mère a données à son fils diabolique ? Que je suis bête, aucune puisqu'elle l'aime !
    Film d'un ennui abyssal.
    Yetcha
    Yetcha

    897 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2014
    Ouh la la, en voilà un film trash. Mais certainement pas dans des aspects gore ou équivalent, juste dans la psychologie du personnage du garçon. Il est extrêmement violent envers sa mère, cette manipulation mentale est tout simplement tortionnaire. La réalisation sous forme de flashback réguliers nous donne envie de connaître la suite en permanence. Un excellent film, mais vraiment dur.
    Aulanius
    Aulanius

    200 abonnés 1 709 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 janvier 2012
    Il est extrêmement rare de ma part de mettre cinq étoiles sur cinq comme vous pouvez le voir sur toutes mes critiques et encore plus ses derniers temps. Ce dernier nous rend de plus en plus sévère lorsque l'on rend un jugement et je pense que c'est normal avec l'âge et à force de voir des centaines et des centaines de longs métrages. Si Lynne Ramsay était mon élève, je lui donnerait surement la meilleure note de la classe car elle le mérite tout simplement. Il y a tellement de chose à dire sur ce drame qui ne nous dévoile pas tout et qui en fait tout simplement un chef d'œuvre. "We Need to Talk About Kevin" veut tout dire avec les souvenirs qu'Eva nous dévoilent mais qui ne reflètent peut-être pas vraiment la réalité. C'est vraiment poignant et il n'y a pas de chi-chis comme la plupart des drames de nos jours et encore plus lorsque c'est américain (c'est vrai, il ne faut pas se voiler la face). Tout est extrêmement dur psychologiquement, beaucoup plus que physiquement hormis quelques détails non négligeables mais qui néanmoins ne prennent pas le dessus. La photographie est tout bonnement parfaite avec ses passages au ralentit, cette force qui se dégage des images, enfin c'est un tout et c'est beau. Les acteurs sont carrément au dessus du lot, le naturel transpire pour les plus jeunes comme les plus vieux et il y a des trois jeunes qui interprète l'adolescent qui m'a particulièrement bluffé. Il s'agit du jeune qui représente la transition entre l'enfant et l'ado. Cela dit tout le monde effectue son boulot à merveille et franchement, j'ai été touché et cette histoire m'a prit au tripes. La bande originale est variée et n'aurait pu être mieux sélectionnée, tout est raccord et c'est un réel plaisir. Au fur et à mesure du temps, on se pose un millier de questions et on se demande tout simplement "Pourquoi" ? Et bien, personne ne peut avoir la réponse car la réalisatrice le dit elle même, elle nous laisse le loisir (ou non) de nous faire notre propre interprétation et lorsque j'entends ce genre de raisonnement, je voit du Lynch. Depuis les premières minutes, cette impression m'est apparue et elle ne fait que se confirmée. Je n'ai pas lâché les yeux de l'écran une seule seconde, chose assez rare pour ma part et je dois dire que ça faisant longtemps que je n'avais pas vu une telle chose au niveau du 7ème Art. Que pourrai-je reprocher à ça ? Je me le demande encore même si bien sur, comme on dit "personne n'est parfait". Ma réponse est que ça en est pas loin de la perfection quand même. 15/20.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 janvier 2012
    Quelle claque !

    On se demande encore comment ce film a pu passer au travers du palmarès cannois 2011, décidément bien décevant.

    Cette oeuvre traite de la relation entre une mère, Eva, jouée par l’exceptionnelle Tilda Swinton (déjà particulièrement remarquée dans Julia) et son fils détraqué Kevin, qui aurait endossé dans la plupart des films fantastiques la figure du démon. Mais la réalisatrice Lynne Ramsay n’a aucun besoin de tomber dans la facilité du film de genre et d’en référer au surnaturel pour nous immerger dans une atmosphère oppressante à la limite du supportable. Elle parvient à transgresser tous les codes établis, grâce à la qualité remarquable de sa mise en scène maitrisée de bout en bout qui s’attache à ne jamais respecter la chronologie des faits. Le début commence après que le drame ait eu lieu, pour que finalement la cinéaste alterne entre la naissance du gamin et son adolescence, dans un souci permanent de tenir en haleine le spectateur pour mieux le dérouter et l’amener à réfléchir. Et fort heureusement, l’absence volontaire de la figure récurrente du psychiatre dans le traitement de tels sujets permet de n’offrir aucune explication sur un plateau ; à chacun, selon sa sensibilité, de décrypter la substantifique moelle de l’histoire et la psychologie des personnages...

    Eva traine comme un boulet le poids de sa culpabilité ; ses voisins la lui renvoie sans cesse à force de souiller sa voiture ou sa maison de peinture rouge sang ; jamais elle ne parvient à établir, contrairement à son mari, un lien avec Kevin dès sa venue au monde, à une exception près, au moment où elle réussit à lui lire Robin des bois, facteur clé comme par hasard de la tragédie finale.

    Par ailleurs, si l’attitude de Kevin nous le rend monstrueux du début à la fin, le parti pris de la réalisatrice de se fixer uniquement sur le regard de la mère renforce le malaise du spectateur, qui ne peut en rester à une simple vérité : Est-ce comme cela que ça s’est réellement passé ou sommes-nous plongés dans la vision tronquée d’une mère dépressive sous cachetons ? Auquel cas l’hypothèse de l’enfant maltraité ne peut-être occultée, surtout en regard de l’absence totale d’amour maternel. La fin, en prison, où Eva devient accusatrice envers Kevin ("Tu as tout manigancé"…), mais qui pour une fois finit par l’enlacer, renforce cette ambiguïté déroutante et captivante, à coup sûr voulue par la cinéaste. Et le père, qui ne cherche jamais à intervenir pour améliorer les relations mère-fils et dont les rapports personnels avec Kevin se limitent à des jeux, n’est-il pas lui aussi le symbole même de la maltraitance ?

    Courrez voir ce film magistral, impossible de rester de marbre, avec des questions sans réponses toutes faites qui nous trottent dans la tête pendant des jours à l’issue de la séance. Aucune scène de violence pure, l’horreur est abordée sous un angle 100% psychologique ; Le résultat en est que plus glaçant, âmes sensibles s’abstenir…
    pitch22
    pitch22

    170 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 janvier 2012
    Le drame relationnel d'un enfant-roi et de sa mère bourgeoise, incapable de le guider et à la vie factice. La réalisatrice, Lynne Ramsay, nous asperge d'abord de rouge sang, dans un maelström catharsique hindou au ralenti symbolique. Car l'histoire s'est achevée, une atrocité est survenue, un énigmatique événement qui a démoli la vie d'Eva, elle, la bourgeoise bien installée du Connecticut, réduite à présent à effectuer un job alimentaire et à se terrer dans une pauvre bicoque. Il faut pourtant laver ce sang, celui de la honte, des stigmates, du calvaire. Parce qu'elle se sait responsable, Eva doit laisser passer sans broncher les regards haineux, les remarques blessantes qu'on lui balance à la figure, encaisser les insultes et autres vengeances froides de ceux qui savent ou qui ont subi. Bref, il faut ravaler sa peine, son honneur social démoli, accepter les piques... Le film commence en choisissant l'abstraction, manière de pulvériser l'horreur. La suite retrace l'enfance de Kevin au sein de sa petite famille, isolée. La narration se fait plus commune mais les flash-forwards se poursuivent. Des scènes-clés de la jeunesse de Kevin se déroulent, quand ça craquelle, quand le mal se nourrit. Déjà le bambin, au regard dur, froid (Jasper Newell), développe face à sa mère un rapport défiant, fait de provocation. La mère, qui ne sait pas comment aimer, terrifiée par les réactions possibles de son bébé, lui reste soumise; en permanence elle tente de simuler que tout va bien. Mais non. Elle traite son garçon avec trop de respect, lui inculte un esprit rangé, sans aspérités, sans faire jouer son autorité, à de rares exceptions involontaires (la dernière couche). Elle lui récite un conte étrange, où il est question de flèches à tirer avec précision, formation préparatoire inconsciente, malgré tout bien lourde. La perfection de l'espace bourgeois se retrouve mise en danger. Un Big One se prépare et les signes avant-coureurs nous parviennent (le bureau saccagé, symbole de l'intérieur refoulé de la mère, le litchi ouvert qui appelle l'œil meurtri, l'apprentissage du tir). Kevin a un problème avec sa mère. Il désire secrètement lui faire payer son petit monde trop lisse, trop propre, retenu, tout comme son aspiration fausse pour une famille cliché sans saveur. Kevin exprime la contradiction intérieure de sa mère, qui le sent mais qui n'ose pas changer, devenir celle qui rompt avec le jeu poli de l'hypocrisie, qui se montre ferme, éclate, délire, bref qui extériorise les défauts humains. C'est donc un monstre qu'elle prépare, celui de son déni. Elle sait qu'au fond tout est toc et laissera venir le saccage. Et voici qu'un boulevard s'ouvre devant Kevin, celui d'un jeu avec les limites de sa mère, dont il cherche une réaction qui n'arrive pas, sans plus de référent paternel. Bonhomme (C. Reilly, mal choisi), le père reste aveugle à ce qui se trame, plus que démissionnaire, presque inexistant. Lorsqu'elle s'asperge d'eau au lavabo, le visage d'Eva se fond avec celui de son fils: double obsédant, reflet de ses interdits, fusion impossible à réaction fatale. Enfant-roi, peut-il tolérer qu'une petite sœur vienne entraver l'esprit pervers qui lui donne souffle? La Guerre Froide est engagée. Malgré des séquences très esthétisées, on n'est pas dans la force mystérieuse d'un Brian de Palma; la cinéaste élude complètement la représentation de l'acte sinistre. L'effroi est là, rendu palpable, malheureusement il arrive lourdement; ça manque de fluidité, de souffle. On pense aussi à Gus Van Sant voire à Uwe Boll mais c'est moins cinglant, moins remuant; toutefois prenant. On peut en outre songer à Polanski, Haneke (BENNY'S VIDEO), un peu à Kubrick et à McQueen (SHAME): la folie nous guette, l'autre nous échappe. Ça manque pourtant de caractère, de style personnel, de dialogues percutants! Contrairement au début, la mise en scène reste bien plate, sans grand relief, à l'image de cette ennuyeuse vie bourge. Cette épreuve psychologique nous laisse peu ensorcelés. C'est tranchant mais pas suffocant. Au-delà de l'effet malaise, le film dévoile le vrai visage des protagonistes sans porter de jugement. Néanmoins le drame peut inspirer à certains des idées simplistes (éducation plus stricte, mal inné...) Or le problème n'est pas tant éducatif que névrotique! De Kevin, on ne «parlera» d'ailleurs pas (titre ironique!): pas de psy à l'horizon, pas de problèmes à l'école. C'est une adaptation assez lointaine du roman, réputé bien plus dérangeant, mais visuellement habile et sensorielle. Dommage pour la faiblesse du portrait, qui rend du coup la fin peu crédible, pour le manque de finesse et le troncage du vertige. Le film vaut pour son sujet inquiétant mais aussi pour le jeu de Tilda Swinton (un poil fade), martyre consentante ambiguë, et celui d'Ezra Miller, très bien avec son regard sombre, glacial. WE NEED TO TALK ABOUT KEVIN aurait pu bien mieux viser sa cible avec plus style, de causticité, moins de lourdeurs et de retenue.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 janvier 2012
    Un des films les plus perturbant qu'il m'ait été donné de voir, pour cause, la relation ultra-conflictuel entre la mère et le fils (le sujet même du film) est en elle-même difficilement concevable. La haine que le personnage d'Ezra Miller porte en lui n'a aucune limite, il aurait été difficilement supportable de regarder le film si la tension qui nous attirait vers la réponse à nos questions au sujet du crime de Kevin ne cessait de nous être rappeler. Tilda Swinton est comme toujours impressionnante en mère décharnée, rien que pour ça il vaudrait mieux regarder ce film.
    Nico2
    Nico2

    86 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2012
    Eva a mis sa vie professionnelle et ses ambitions personnelles entre parenthèses pour donner naissance à Kevin. La communication entre mère et fils s’avère d’emblée très compliquée. A l’aube de ses 16 ans, il commet l’irréparable. Eva s’interroge alors sur sa responsabilité. En se remémorant les étapes de sa vie avant et avec Kevin, elle tente de comprendre ce qu’elle aurait pu ou peut-être dû faire. Le film est angoissant mais je n'ai pas réussi à le trouver complètement malsain et du coup, je trouve que Lynne Ramsay rate quelque peu son coup. La scène d'introduction est incompréhensible et assez laide visuellement mais dès que le récit démarre, on est assez vite happé même si l'on regrette de ne pas suffoquer plus. Quant aux acteurs, ils sont formidables : Tilda Swinton est incroyable de justesse et le jeune Ezra Miller absolument terrifiant et déjà au panthéon des méchants les plus marquants de l'Histoire du cinéma. Petite déception tout de même mais le film est intéressant.
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