Sixième volet de la saga Terminator, enfin.....3ième volet. Comme vous le savez, le papa de la saga, James Cameron qui a réalisé les deux premiers opus, s'est ensuite éloigné de la franchise. Alors que pourtant, il a toujours soutenu les 3 suites durant leurs périodes de promotions, celui-ci à finalement décidé de les renier et de reprendre les reines de la production et du scénario. Comme il n'est pas à une ambiguité prêt, il a faute de temps, laisser la réalisation au papa de Deadpool, Tim Miller.
Et j'ai envie de vous dire......tout ça pour ça ??!!
Au début du film nous expédions le sujet John Connor aussi vite que nous avions éxpédiés le sujet Sarah Connor dans le 3ième film. La scêne paraît tellement fausse que j'ai cru quelques secondes à une réalité alternée qui allait vite se remettre dans l'ordre.....mais non !
Pour changer (ironie), des gens arrivent du futur, pour poursuivre et/ou aider des humains, le tout dans un déchainement d'action (malgré tout très efficace), et donc rien de nouveau sur la planète dominée par les machines.
Les propositions des nouveaux Terminator sont, soit très proche du T1000, soit complètement farfelu dans le futur où l'ont vont une machine qui ressemble à des aliens !
Concernant le traitement du Terminator de Schwarzi, c'est là aussi, assez risible. Faire en sorte, qu'une fois sa mission terminée, il s'humanise et fonde une famille.....grotesque. La scêne d'humour quand il parle "rideau" est, elle aussi, trop décalée.
Le casting est très (trop) féminin, et la ficèle girls power est assez visible.
Mackenzie Davis aperçue dans Seul sur Mars et Blade Runner sauve un peu la mise avec une interprétation correcte, tout comme Natalia Reyes.
Bref, Cameron qui s'est moqué des suites réalisés, à réussi à faire pire, et à précipiter sa propre saga dans le néant.