Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ajouter un sixième volet à la saga « Terminator » ne semblait pas indispensable depuis que James Camerons’était fait remplacer à la réalisation. Et pourtant, Terminator, Dark Fate de Tim Miller constitue une excellente surprise !
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Osé et franchement bien amené.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
GQ
par Alexandre Lazerges
Ce Terminator fonctionne comme une madeleine de Proust savoureuse à souhait [...].
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film au scénario ingénieusement agencé pour recycler les éléments de la saga, notamment des deux premiers numéros, et qui intègre joliment le paramètre du temps qui a passé, y compris pour Schwarzy, le Terminator de base…
Le Parisien
par La Rédaction
Un faux remake, aux scènes d'action spectaculaires et affichant des effets spéciaux toujours aussi dingues.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
Produit par James Cameron et conçu comme la fin de sa trilogie initiale, le film est un honnête reboot parfois très inspiré.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Marc Toullec
Socialement, politiquement et même philosophiquement engagé, "Terminator : Dark Fate" n’est évidemment pas film à sacrifier le spectacle dans le seul but de délivrer des messages. Au contraire, le spectacle les porte.
Positif
par Hubert Niogret
[...] ce dernier opus qui oublie les films 4 et 5, n’abuse en rien des nouvelles technologies numériques, s’intéresse aux personnages autant qu’aux scènes d’action parfaitement réalisées par le metteur en scène de Dead Pool, un ancien des effets spéciaux, et traite le thème de la relation entre l’homme et la machine, et de l’avenir de l’humanité.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Tim Miller à la réalisation ("Deadpool") se surpasse. Quant au récit, il s’autorise à faire de l’humour tout en fustigeant la politique migratoire des États-Unis à la frontière mexicaine.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Dommage que cet enchevêtrement complexe où la frontière entre organique et inorganique vacille, où le féminin colore le blockbuster testostéroné d’une étrange aura, ne soit pas davantage habité par Tim Miller, parfois bon à la réalisation mais sans réelle vision. Dark Fate n’en reste pas moins très plaisant.
L'Ecran Fantastique
par Véronique Trouillet
Les morceaux de bravoure côtoient des scènes plus intimistes dont certaines vont jusqu'à être étonnamment émouvantes.
L'Express
par Christophe Carrière
Bref, rien de très nouveau dans le futur, si ce n'est une jolie tendance girl power, quelques astuces (faciles) de scénario, un peu de mise en scène dans les séquences d'action, un bon gros kif lors du retour d'Arnold...
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Ce girl power, abdication de la testostérone, est l’une des forces du film, qui sinon récite les recettes du succès : intrigue linéaire et limpide, voire naïve, scènes d’action spectaculaires, ennemi indestructible et impassible... L’autre réjouissance, c’est le retour de Linda Hamilton en Sarah Connor (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Amusant.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C’est ici, bien sûr, que l’impertinence de Tim Miller allège un film par ailleurs assez routinier, en poussant le personnage de Sarah Connor aux confins d’une Madame Foldingue et en conférant au T800 une famille, un métier (drapier) et une passion avouée pour la décoration d’intérieur.
Le Point
par Philippe Guedj
Sans rien révolutionner, ce 6e Terminator déploie assez d'énergie et de respect du spectateur pour remplir sa mission et racheter en partie une franchise en perdition.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Sixième volet de la franchise, "Dark Fate" opère l'effacement pur et simple des trois opus précédents. Ce que le film gagne en fidélité à l'esprit initié par James Cameron - ici producteur et coscénariste -, il le perd en ludisme, en invention et en charge théorique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Sylvestre Picard
Divertissement plus qu’honnête, le sixième Terminator, mené par Linda Hamilton et Mackenzie Davis, déploie beaucoup d’efforts pour ressembler au Jugement dernier (le film, pas l’événement).
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Jessica Saval
Si les ongles enfoncés dans les accoudoirs et le pop corn dans la bouche on ne s’ennuie pas un instant, on ne peut finalement pas passer outre la vacuité de ce sixième volet.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Cameron en est le producteur et le coscénariste, et cela se voit : les courses-poursuites sont folles et les clins d'oeil de la partie.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Un retour aux sources spectaculaire, même si le propos pèche parfois par naïveté [...].
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce retour gagnant de Terminator est surtout assuré par un scénario qui respecte le principe simple et imparable des origines : taper sans fin sur une machine qui ne s’arrête jamais
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Moins calamiteux que le nanardesque Terminator Genisys, ce soft reboot en forme de suite directe à Termonator 2 n’est pas glorieux pour autant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Anthony Moreira
Outre qu’il réduise le T-800 à un simple fétiche, ce retour renseigne sur la schizophrénie d’un projet qui se veut progressiste et qui pourtant nage dans une constante nostalgie, dans l’ombre de son imposant modèle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Mais malgré ces changements, on a la désagréable sensation de revoir le même film qu’en 1991, en moins bien. Rien ne vient surprendre le spectateur. C’est le plus gros défaut de Dark Fate : être correct sans être marquant. À se demander si le retour de James Cameron était aussi nécessaire…
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le pire, c’est que ce sixième « Terminator » n’est pas mauvais. (...) Mais ni les chemises de bûcheron de la star ni les rides de Linda Hamilton ne suffisent à gripper cette machine à recycler aux scènes d’action sans âme, symptomatique de ce qu’est devenu le divertissement selon Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Avec ses scènes d’action trop (et pas très bien) découpées (à rebours des plans-séquences ahurissants de "Gemini Man"), son robot labile qui recycle sans aucun apport tous les tours du vieux T-1000 de 1991, le film est bien en peine de susciter ce petit ébahissement devant des prodiges formels, préalable contractuel de la franchise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Sylvestre Picard
Le principal intérêt du film ? Linda Hamilton, de retour dans la peau de Sarah Connor.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Rien de nouveau sous le soleil chaotique, avec ces monstres d’acier increvables, sinon que le temps de l’égalité homme femme fait son apparition dans les films d’action et que pour héroïne, à la machine, on préfère une femme augmentée. C’est plaisant, mais le genre peine à se renouveler.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
James Cameron et Arnold Schwarzenegger sont de retour pour Terminator: Dark Fate, un nouvel épisode réalisé par Tim Miller. Mais la veine semble à bout de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Ajouter un sixième volet à la saga « Terminator » ne semblait pas indispensable depuis que James Camerons’était fait remplacer à la réalisation. Et pourtant, Terminator, Dark Fate de Tim Miller constitue une excellente surprise !
Filmsactu
Osé et franchement bien amené.
GQ
Ce Terminator fonctionne comme une madeleine de Proust savoureuse à souhait [...].
Le Dauphiné Libéré
Un film au scénario ingénieusement agencé pour recycler les éléments de la saga, notamment des deux premiers numéros, et qui intègre joliment le paramètre du temps qui a passé, y compris pour Schwarzy, le Terminator de base…
Le Parisien
Un faux remake, aux scènes d'action spectaculaires et affichant des effets spéciaux toujours aussi dingues.
Libération
Produit par James Cameron et conçu comme la fin de sa trilogie initiale, le film est un honnête reboot parfois très inspiré.
Mad Movies
Socialement, politiquement et même philosophiquement engagé, "Terminator : Dark Fate" n’est évidemment pas film à sacrifier le spectacle dans le seul but de délivrer des messages. Au contraire, le spectacle les porte.
Positif
[...] ce dernier opus qui oublie les films 4 et 5, n’abuse en rien des nouvelles technologies numériques, s’intéresse aux personnages autant qu’aux scènes d’action parfaitement réalisées par le metteur en scène de Dead Pool, un ancien des effets spéciaux, et traite le thème de la relation entre l’homme et la machine, et de l’avenir de l’humanité.
Sud Ouest
Tim Miller à la réalisation ("Deadpool") se surpasse. Quant au récit, il s’autorise à faire de l’humour tout en fustigeant la politique migratoire des États-Unis à la frontière mexicaine.
Cahiers du Cinéma
Dommage que cet enchevêtrement complexe où la frontière entre organique et inorganique vacille, où le féminin colore le blockbuster testostéroné d’une étrange aura, ne soit pas davantage habité par Tim Miller, parfois bon à la réalisation mais sans réelle vision. Dark Fate n’en reste pas moins très plaisant.
L'Ecran Fantastique
Les morceaux de bravoure côtoient des scènes plus intimistes dont certaines vont jusqu'à être étonnamment émouvantes.
L'Express
Bref, rien de très nouveau dans le futur, si ce n'est une jolie tendance girl power, quelques astuces (faciles) de scénario, un peu de mise en scène dans les séquences d'action, un bon gros kif lors du retour d'Arnold...
La Voix du Nord
Ce girl power, abdication de la testostérone, est l’une des forces du film, qui sinon récite les recettes du succès : intrigue linéaire et limpide, voire naïve, scènes d’action spectaculaires, ennemi indestructible et impassible... L’autre réjouissance, c’est le retour de Linda Hamilton en Sarah Connor (...).
Le Journal du Dimanche
Amusant.
Le Monde
C’est ici, bien sûr, que l’impertinence de Tim Miller allège un film par ailleurs assez routinier, en poussant le personnage de Sarah Connor aux confins d’une Madame Foldingue et en conférant au T800 une famille, un métier (drapier) et une passion avouée pour la décoration d’intérieur.
Le Point
Sans rien révolutionner, ce 6e Terminator déploie assez d'énergie et de respect du spectateur pour remplir sa mission et racheter en partie une franchise en perdition.
Les Fiches du Cinéma
Sixième volet de la franchise, "Dark Fate" opère l'effacement pur et simple des trois opus précédents. Ce que le film gagne en fidélité à l'esprit initié par James Cameron - ici producteur et coscénariste -, il le perd en ludisme, en invention et en charge théorique.
Première
Divertissement plus qu’honnête, le sixième Terminator, mené par Linda Hamilton et Mackenzie Davis, déploie beaucoup d’efforts pour ressembler au Jugement dernier (le film, pas l’événement).
Rolling Stone
Si les ongles enfoncés dans les accoudoirs et le pop corn dans la bouche on ne s’ennuie pas un instant, on ne peut finalement pas passer outre la vacuité de ce sixième volet.
Télé 7 Jours
Cameron en est le producteur et le coscénariste, et cela se voit : les courses-poursuites sont folles et les clins d'oeil de la partie.
Télé Loisirs
Un retour aux sources spectaculaire, même si le propos pèche parfois par naïveté [...].
Télérama
Ce retour gagnant de Terminator est surtout assuré par un scénario qui respecte le principe simple et imparable des origines : taper sans fin sur une machine qui ne s’arrête jamais
CinemaTeaser
Moins calamiteux que le nanardesque Terminator Genisys, ce soft reboot en forme de suite directe à Termonator 2 n’est pas glorieux pour autant.
Critikat.com
Outre qu’il réduise le T-800 à un simple fétiche, ce retour renseigne sur la schizophrénie d’un projet qui se veut progressiste et qui pourtant nage dans une constante nostalgie, dans l’ombre de son imposant modèle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mais malgré ces changements, on a la désagréable sensation de revoir le même film qu’en 1991, en moins bien. Rien ne vient surprendre le spectateur. C’est le plus gros défaut de Dark Fate : être correct sans être marquant. À se demander si le retour de James Cameron était aussi nécessaire…
L'Obs
Le pire, c’est que ce sixième « Terminator » n’est pas mauvais. (...) Mais ni les chemises de bûcheron de la star ni les rides de Linda Hamilton ne suffisent à gripper cette machine à recycler aux scènes d’action sans âme, symptomatique de ce qu’est devenu le divertissement selon Hollywood.
Les Inrockuptibles
Avec ses scènes d’action trop (et pas très bien) découpées (à rebours des plans-séquences ahurissants de "Gemini Man"), son robot labile qui recycle sans aucun apport tous les tours du vieux T-1000 de 1991, le film est bien en peine de susciter ce petit ébahissement devant des prodiges formels, préalable contractuel de la franchise.
Ouest France
Le principal intérêt du film ? Linda Hamilton, de retour dans la peau de Sarah Connor.
aVoir-aLire.com
Rien de nouveau sous le soleil chaotique, avec ces monstres d’acier increvables, sinon que le temps de l’égalité homme femme fait son apparition dans les films d’action et que pour héroïne, à la machine, on préfère une femme augmentée. C’est plaisant, mais le genre peine à se renouveler.
Le Figaro
James Cameron et Arnold Schwarzenegger sont de retour pour Terminator: Dark Fate, un nouvel épisode réalisé par Tim Miller. Mais la veine semble à bout de souffle.