Youssou Ndour : I bring what I love : Critique presse
Youssou Ndour : I bring what I love
Note moyenne
3,0
12 titres de presse
Excessif
Le Figaroscope
Le Monde
Le Parisien
Le Point
Positif
Première
Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Télérama
L'Humanité
Les Inrockuptibles
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Excessif
par David A.
I Bring What I Love dévoile cette richesse sénégalaise avec sincérité et sans détour et ravira les aficionados de world music.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Colette Monsat, Hugo de Saint-Phalle
Superstar de la musique africaine, le Sénégalais Youssou Ndour se livre comme rarement dans ce documentaire, entre vie musicale et moments plus intimes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
Se présente comme un portrait, un peu trop hagiographique et superficiel pour être captivant, de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
Les séquences les plus réjouissantes sont évidemment celles des concerts, (...) où le chanteur au timbre incomparable délivre un message à ses frères africains sur fond de Mbalax à faire danser les morts.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
voir le point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Hubert Niogret
La richesse des éléments qui composent le film, la souplesse du montage et la qualité du filmage contribuent à nous transmettre le travail de l'artiste (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par François Cardinali
Si la construction un peu désordonnée du film laisse sur sa faim avec ce mélange de séquences de concerts et d'intermèdes privés, il a le mérite de décrire une autre vision de l'Islam, en le situant dans le cadre historique et politique du soufisme sénégalais.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Le sujet, qui aborde la place de la religion dans le processus artistique, est passionnant mais traité de manière un brin trop pédagogique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Eliane Azoulay
Son documentaire s'enroule autour de cette controverse (...) un Youssou N'Dour attachant se dégage des interviews (...) assez loin de son image d'homme d'affaires hyperactif ou de porte-drapeau du charity business.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
La deuxième partie, plus concrète, décrit la sortie chaotique de l'album Egypt du chanteur, hommage au soufisme qui fut mal compris. Mais ce volet arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. En bref, un documentaire façon puzzle.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) le film semble enfin trouver un sujet : le rejet par la communauté sénagalaise de l'album Egypt (2004) (...) thème hélas noyé dans la masse de ce film (in)digest(e).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Excessif
I Bring What I Love dévoile cette richesse sénégalaise avec sincérité et sans détour et ravira les aficionados de world music.
Le Figaroscope
Superstar de la musique africaine, le Sénégalais Youssou Ndour se livre comme rarement dans ce documentaire, entre vie musicale et moments plus intimes.
Le Monde
Se présente comme un portrait, un peu trop hagiographique et superficiel pour être captivant, de son auteur.
Le Parisien
Les séquences les plus réjouissantes sont évidemment celles des concerts, (...) où le chanteur au timbre incomparable délivre un message à ses frères africains sur fond de Mbalax à faire danser les morts.
Le Point
voir le point.fr
Positif
La richesse des éléments qui composent le film, la souplesse du montage et la qualité du filmage contribuent à nous transmettre le travail de l'artiste (...).
Première
Si la construction un peu désordonnée du film laisse sur sa faim avec ce mélange de séquences de concerts et d'intermèdes privés, il a le mérite de décrire une autre vision de l'Islam, en le situant dans le cadre historique et politique du soufisme sénégalais.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le sujet, qui aborde la place de la religion dans le processus artistique, est passionnant mais traité de manière un brin trop pédagogique.
Télérama
Son documentaire s'enroule autour de cette controverse (...) un Youssou N'Dour attachant se dégage des interviews (...) assez loin de son image d'homme d'affaires hyperactif ou de porte-drapeau du charity business.
L'Humanité
La deuxième partie, plus concrète, décrit la sortie chaotique de l'album Egypt du chanteur, hommage au soufisme qui fut mal compris. Mais ce volet arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. En bref, un documentaire façon puzzle.
Les Inrockuptibles
(...) le film semble enfin trouver un sujet : le rejet par la communauté sénagalaise de l'album Egypt (2004) (...) thème hélas noyé dans la masse de ce film (in)digest(e).