Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Brazil
par Thomas Roland
Vil Romance n'est pas un film manifeste, mais avant tout un film passionnant, malgré une baisse de rythme dans sa dernière partie, qui veut avant tout raconter une histoire.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le film de José Celestino Campusano (..) emporte le spectateur dans une sorte de fascination voyageuse (...) L'incertitude menée jusqu'au point final, la justesse de ses cristallisations maintiennent une tension étonnante.
Excessif
par Romain Le Vern
On peut penser à la vitalité du cinéma post-Movida de l'Espagnol Eloy de La Iglesia, également doué dans l'expression des sentiments indicibles et le pamphlet social.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Monde
par Isabelle Regnier
Ce drôle de film qui nous arrive d'Argentine vaut surtout pour ses deux personnages principaux, Roberto et Raùl, deux marginaux dont le réalisateur, José Celestino Campusano, fait ici un portrait complexe, nuancé, et formidablement incarné par leurs acteurs, Nehuen Zapata et Oscar Génova.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Baptiste Etchegaray
le film, très peu maîtrisé, confond approche documentaire et naturalisme sordide. Les personnages n'évoluent pas beaucoup (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Didier Roth-Bettoni
Tragédie dérangeante fonctionnant par à-coups, Vil Romance ne se laisse ni facilement appréhender ni aisément oublier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
le réalisateur (...) vient du documentaire, ça se sent (...) il transforme habilement son quasi-reportage en conte burlesque, en farce noire...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Dominique Martinez
Le film ennuie assez vite et laisse un vague sentiment de mal-être.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir sur Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
A l'encontre des fictions homos souvent lisses, le cinéaste préfère replacer son histoire dans une perspective sociale plutôt que psychologique, filmant de manière pulsionnelle et à fleur d'épiderme cette passion délétère.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Brazil
Vil Romance n'est pas un film manifeste, mais avant tout un film passionnant, malgré une baisse de rythme dans sa dernière partie, qui veut avant tout raconter une histoire.
L'Humanité
Le film de José Celestino Campusano (..) emporte le spectateur dans une sorte de fascination voyageuse (...) L'incertitude menée jusqu'au point final, la justesse de ses cristallisations maintiennent une tension étonnante.
Excessif
On peut penser à la vitalité du cinéma post-Movida de l'Espagnol Eloy de La Iglesia, également doué dans l'expression des sentiments indicibles et le pamphlet social.
Le Monde
Ce drôle de film qui nous arrive d'Argentine vaut surtout pour ses deux personnages principaux, Roberto et Raùl, deux marginaux dont le réalisateur, José Celestino Campusano, fait ici un portrait complexe, nuancé, et formidablement incarné par leurs acteurs, Nehuen Zapata et Oscar Génova.
Les Inrockuptibles
le film, très peu maîtrisé, confond approche documentaire et naturalisme sordide. Les personnages n'évoluent pas beaucoup (...)
Première
Tragédie dérangeante fonctionnant par à-coups, Vil Romance ne se laisse ni facilement appréhender ni aisément oublier.
Télérama
le réalisateur (...) vient du documentaire, ça se sent (...) il transforme habilement son quasi-reportage en conte burlesque, en farce noire...
Positif
Le film ennuie assez vite et laisse un vague sentiment de mal-être.
Studio Ciné Live
Voir sur Studio Ciné Live
TéléCinéObs
A l'encontre des fictions homos souvent lisses, le cinéaste préfère replacer son histoire dans une perspective sociale plutôt que psychologique, filmant de manière pulsionnelle et à fleur d'épiderme cette passion délétère.