Derniers Avis : Wolverine : le combat de l'immortel - Page 7

« Wolverine: Le Combat de l’Immortel » est un très bon film de super-héros. L’histoire offre à la fois les scènes d’action et autres combats que l’on peut attendre mais également une immersion profonde dans l’état d’esprit du principal protagoniste. La photographie offre une belle vision du Japon, composée de décors naturels dans des lieux existants et d’images numériques d’excellentes qualités. La distribution délivre de très bonnes prestations, et Hugh Jackman apporte encore de la profondeur à son personnage. L’ensemble se voulant un très bon divertissement.

Le film n'est pas forcément très mauvais, mais je n'ai trouvé strictement aucun intérêt en le visionnant. Je pense que c'est l'idée de vouloir mélanger mutant et samouraï que j'ai trouvé risible.
Hugh Jackman est nickel en Wolverine, on voit bien que c'est le rôle de sa vie tant il fait preuve de présence scénique. Les autres rôles sont correctement interprétés même si leur interprétation se veut secondaire par rapport à celle d'Hugh Jackman. J'ai d'ailleurs trouvé que d'une manière générale, les autres acteurs manquaient terriblement de charisme, en particulier les méchants.
L'intrigue ne m'a pas séduit plus que ça, même si la perte des pouvoirs de guérison de Wolverine constitue enfin une vraie menace pour le personnage.
Les scènes d'action sont plutôt bien chorégraphiées et très réussies tout comme les effets spéciaux (une attente légitime pour un blockbuster mais tout de même comblée).
Le film se regarde, mais il montre une fois de plus que la saga spin-off Wolverine, n'est là que pour récolter de l'argent et manque cruellement de sérieux dans la qualité des scénarii et des films en général par rapport à la saga dont elle est dérivée. Peut-être que l'univers autour du personnage de Wolverine ne suffit pas à faire de très bons films.

ce film est sympathique à de bonne scène d action mais manque de originalité mais reste un film sympathique à regarder

Rien de mieux pour nous faire oublier le lamentable "Wolverine : origins ". Un film d'action et de baston bien rythmé. Avec un Wolverine en pleine forme. J'ai passé un agréable moment.

Je partais avec un a priori positif puisque Wolverine, interprété par Hugh Jackman, est mon X-Men préféré et ce depuis le 1er X-Men cinématographique en 2000. Côté interprétation, il n’y a rien à redire. C’est au niveau de l’histoire que le bât blesse : c’est faible, poussif à défaut d’être jouissif, et cela s’étire en longueur plus que de raison (126 minutes tout de même pour si peu d’histoire). Les paysages du japon, les combats et les effets spéciaux sont agréables à regarder et mes enfants ont passé un bon moment. C’était l’essentiel pour mes enfants mais, étant donné mon âge et ma culture cinéma, pour moi, cela n’est plus suffisant.

Légèrement supérieur au premier spin off qui s'était révélé être un beau nanard. C'est quasiment la même chose, avec ce deuxième volet, Wolverine vient sauver une fille qu'il ne connaît à peine, et les méchants sont super maladroits et mauvais. Et revers de la médaille, c'est un peu trop long, on s'ennuie quelque peu au milieu du film. Bref pour le côté divertissant, on trouvera bien mieux.

Wolwerine is back ! L'emblématique mutant aux griffes d'acier revient dans une nouvelle aventure qui va l'amener dans le Japon contemporain peuplé de Yakuzas, ninjas et samourais. Oui ca parait paradoxal et pourtant ils sont tous au programme. Le film se déroule après les événements de X-Men : L'affrontement final et nous montre un Logan homme des caverne en véritable déchet humain suite à la perte de Jean Grey. Torturé et perdu le côté dépressif de Wolwerine est peu connu et a le mérite d'être intéressant bien que la mise en scène de la culpabilité de la mort de sa bien aimée est très cliché et un peu trop "Ghost". Le scénario parait simple de prime abord mais réserve de nombreuses ramifications dont certaines un peu trop grossières malheureusement et un dénouement final que l'on peut anticiper. Les scènes d'actions ne s’enchaînent pas vraiment et laissent la place à des parties plus calmes pas forcément au dessus du lot mais qui essayent de montrer le côté humain de Mr griffes d'adamantium. Pas forcément réussie ces scènes font actes de transitions entre les moments de bravoures et d'actions qui oscillent entre le bon, le ridicule et le cliché. Le bon et le meilleur est la scène contre le père de Mariko, le ridicule est la scène affreusement longue du train ou l'improbable rencontre la gravité à 500km/h dans des girouettes de cascades absurdes. Le cliché quand à lui appartient à la scène du bar et celle d’enlèvement par les ninjas filmées de manière très conventionnelle et sans génie avec les ombres chinoises et assassinats discrets en veux-tu en voilà. Et je vais passer la description de certaines scènes sans non plus vouloir spoiler. Par dessus le lot le réalisateur a voulu rajouter des effets de style pour ponctuer l'action qui décrédibilisent ces moments de bravoure comme par exemple la moto de Logan qui sort de nulle part, le cigare qu'il sort juste avant une explosion, la mue de la vipère qui ne sert strictement à rien, la danse 360° du samourai en sautant qui le rend plus ridicule que classe. Pourquoi avoir essayé de caser de tels effets surannées et trop kitsch ? Pour la crédibilité on repassera donc surtout que l'on nous explique jamais comment fonctionne le vol des pouvoirs de wolwerine ou l’inhibition de ceux-ci. La technologie c'est beau mais arriver à stopper ou voler l'effet de gènes qui ont mutés et qui font donc parti de l'adn de notre mutant est un exploit qui reste donc inexpliqué par les scénaristes. Une facilité énervante sans explications ou justifications aucunes qui arrive à son summum à la fin quand par une technique limite absurde et pas crédible le grand méchant tente d'absorber les pouvoirs de régénération de Logan. Quelques bonnes idées dans un scénario prévisible, un emballage peu soigné et un manque de crédibilité ne font malheureusement pas de ce nouveau spin off avec Wolwerine un bon film et il rejoint le chapitre Origins dans le bas du panier.

La réalisation est bonne et le héros charismatique, mais l’histoire est faible et le résultat pas tellement plus convaincant que le premier essais en solo. Malheureusement, l’apport de la 3D, des résultats excellent en Asie et un budget modeste en ont fait l’épisode de la saga le plus rentable depuis le second (415 M$ de recettes pour 120 M$ de budget) et un troisième volet solo est déjà en préparation. Pour justifier ce choix en lieu et place d’autres projets potentiellement meilleurs, il vaudrait mieux que le niveau scénaristique soit en nette progression, sans quoi la franchise ne décollera jamais.

Je n'ai jamais aimé les films sur Wolverine, mais je me suis finalement décidé à voir celui-ci. Film inintéressant, avec beaucoup, mais vraiment beaucoup trop de longueurs. L'histoire n'est pas top non plus, et l'histoire de spoiler: la grande armure en adamantium à la fin, alors que dans origin wolverine on dit que l'adamandium est presque devenu introuvable, et inexistant, c'est un peu étonnant. de plus, dans un autre marvel, on voit que l'adamandium simple suffit pour briser l'adamantium (le film avec les balles de revolver en adamantium), hors la, il faut chauffer l'adamantium pour briser la même matière...

en bref, film que je déconseille fortement, sans doute un des moins réussis de marvel.

Adapté d'une des meilleurs saga du mutant griffu, The Wolverine est une aventure sombre, profonde, et davantage personnelle que le premier spin-off centré sur ce même personnage.
James Mongold parvient a redorer le blason de Wolverine. En effet, celui-ci retrouve sa rage d'antan et sa violence, celle-ci ayant lieu généralement hors-champs, mais tout de même bien présente.
Il nous est présenté un film avec un protagoniste plus que torturé par la mort récente de sa bien-aimée, et amené a fuir la société. Il se voit alors a l'insu de son plein gré retirer de son fardeau le plus affligent qui n'est autre que son immortalité, s'engagera alors une traque sanglante qui amènera Woverine a une véritable remise en question. Une intrigue originale ayant lieu dans le pays aux antipodes de notre anti-héros, le Japon. Si Wolverine est la représentation parfaite de la bestialités au sein de l'humain, de la rage et de la vengeance pure, le Japon lui en est l'inverse totale. Environnement propre et sentiment d'une certaine paix omniprésente, James Mongold a la merveilleuse idée de réunir c'est deux opposés. Nous suivons un personnage dépassé, tant par les événements que par l'univers dans lequel il est contraint d'évoluer, un Woverine ici amené a dépasser ses limites. Le film propose au spectateur une vision nouvelle de Wolverine, un personnage menacé par un nouvel ennemi, la mort elle même.
Une intrigue plus que prenante dont nous avons plaisir a suivre chaque péripétie. Des acteurs excellents, une photographie très soignée, une OST dans l'esprit de l’œuvre, tout y est pour proposer au spectateur un excellent moment. Seul réel point négatif du film, le véritable antagoniste manque cruellement de profondeur, méchant visiblement sans grande ambition et qui ne présente aucune motivation.
The Wolverine est donc plus qu'un très bon divertissement, James Mongold réalise une adaptation digne du personnage iconique qu'est Wolverine.

Un film de de super-héros sans grande saveur, malgré une photographie riche et très belle sur certains passages, avec un scénario brouillon, dépourvu d'originalité et une mise en scène qui accumule bon nombre de clichés. Si Hugh Jackman apporte son charisme habituel au personnage de Wolverine, la gestion des acteurs japonais réputés tel que Hiroyuki Sanada est catastrophique, James Mangold cherchant trop à les faire jouer selon les standards américains. Les scènes d'action souffrent également d'une surenchère déplaisante. Loin d'être tout à fait satisfaisant.

Réalisateur réputé de Copland et Walk the Line, James Mangold a été choisi pour être aux commandes de Wolverine : le combat de l'immortel, après que Bryan Singer et Darren Aronofsky aient quitté le navire. Longtemps pensé comme étant une suite à X-men Origins : Wolverine (2009), l'équipe du film a finalement décidé de placer les évènements de Wolverine : le combat de l'immortel après X-men : l'affrontement final (2006), troisième épisode cinématographique consacré aux célèbres mutants. Le réalisateur James Mangold explique : "Les X-men sont dissous, il y a ainsi un énorme sentiment d'isolement pour Wolverine", justifiant ainsi cette nouvelle aventure en solo du personnage. A noter que X-Men Origins: Wolverine (2009) avait été mal accueilli par les fans et la critique, même si ses résultats au box office n'étaient pas alarmants (375 millions de dollars dans le monde pour un budget de 150 millions). Dans ce nouveau film consacré au célèbre mutant, Wolverine se frotte à la pègre japonaise, et plus particulièrement au Samouraï d'argent, l'un de ses adversaires les plus menaçants. Wolverine : le combat de l'immortel tire son inspiration d'un comic-book de Frank Miller et Chris Claremont qui ont alors récupéré Wolverine pour en faire un personnage aux multiples facettes, beaucoup plus travaillé et subtil que dans sa première apparition BD en 1974 dans les numéros de "L'Incroyable Hulk" #180 et #181. Le film reste fragile mais nous donne une bonne adaptation a l’écran, et un film X-Men centres vraiment sur un seul mutant. Malheureusement ce film et aussitôt désintégrés par les événement du prochain film..

Commençons par un petit mot sur le réalisateur James Mangold, ancien étudiant de Milos Forman, un de ses réalisateurs à la carrière éclectique, passant d’un genre à un autre sans aucun problème. Sa biographie cinématographique parle pour lui, il signe en 1997 l’excellent polar Copland, un thriller en 2003 Identity, en 2005 le drame Walk the Line retraçant la vie du chanteur de country Johnny Cash, en 2008, un western 3 h 10 pour Yuma, un remake d’un film réalisé en 1957 par Delmer Daves, en 2010 une comédie Night and Day ou Nuit et Jour …De toute évidence un réalisateur caméléon, capable de réaliser d’excellents films. Il a prit le relais suite à la défection de Romanek en 2011, le genre Supers héros est une première pour lui, ce qui peut expliquer que son Wolverine : le combat de l’immortel est un échec en demi-teinte.

Rien de très solide du côté du scénario. Un film pas mauvais mais pas extraordinaire non plus! A voir quand on s'ennui ou quand on est un fan de super héro.

Wolverine le combat de l'immortel n'est pas spécialement mon genre de film mais j'ai toujours apprécié la série X men. L'histoire est toujours aussi bien construite avec de bon effets spéciaux et du suspense jusqu'au bout. Hugh jack man est toujours aussi sexy dominateur! ! Je trouve cependant que ce volet n'a pas grand intérêt sur l'histoire des X men. J'ai passé un bon moment.