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26 critiques presse
Excessif
par Julien Jouanneau
"La Fille du Puisatier" porte le même ADN que les réussites d'Yves Robert, "La Gloire de mon père" et "Le Château de ma mère": simple, beau, chaud, ça coule comme l'eau des collines, c'est Pagnol.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Daniel Auteuil est magnifiquement pauvre et fier, archaïque, rocailleux et pourtant vibrant de tendresse. Tous les acteurs qu'il a réunis parlent naturellement le langage des sentiments. Simple et pur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
Comme jeune réalisateur, Auteuil signe un premier film prometteur. Chaleureux aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Sa première mise en scène fleure donc le respect comme la farigoulette. Il a mis l'accent sur le destin des personnages, leur fragilité, leur magnétisme, redécouvert l'innocence en la charmante personne d'Astrid Bergès-Frisbey.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un bon film, plein d'idées de cinéma, servi par des comédiens (presque) tous excellents (bravo à la jeune Emilie Cazeneuve, dans le rôle d'Amanda), dirigés avec soin par un débutant rigoureux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Alain Spira
Daniel Auteuil (...) se montre digne du grand Marcel et de Claude Berri. Son film, magnifique d'humanité, lui permet d'accéder à l'un de ses plus beaux rôles.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Daniel Auteuil s'attaque avec bonheur au remake de l'oeuvre de Pagnol. (...) lui-même, si bouleversant et si affûté dans le rôle du puisatier qu'il réussit à nous faire oublier l'interprétation de Raimu. Et puis, il y a la lumière de Jean-François Robin, brûlante, magnifique. Partie prenante du récit, elle rend toute la saveur et l'intemporalité de la Provence de Pagnol.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Brazil
par Johan Girard
Si la toile du fond est dramatique, "La fille du puisatier" déborde d'humour. Souvent caustique. Derrière une apparente douceur se cachent ainsi des textes féroces.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Elle
par Françoise Delbecq
Il (Auteuil) est grandiose dans les non-dits. En revanche on s'étonnera d'une facture aussi classique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
(...) Ce premier long-métrage de Daniel Auteuil s'attache à une restitution du verbe, du dialogue, de la poésie. (...) Mais cela n'aurait pas suffi si le réalisateur débutant n'était pas, avant tout, un interprète formidable.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Un récit à la force intemporelle, mis en scène par un amoureux de Pagnol.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) Scénario et dialogues de Pagnol offrent un matériau mélodramatique d'une efficacité à toute épreuve. Telle est la puissance émotive de ce récit, qu'il faudrait être un rien sagouin pour perdre en route. Ce n'est heureusement pas le cas, ce qui fait de ce film une honnête récréation. Sa moindre réussite réside, bien entendu, dans l'existence d'un original qui lui reste supérieur dans tous les compartiments de jeu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par La Rédaction
Daniel Auteuil (...) est à la fois devant la caméra (avec Kad Merad) et derrière (for ze first time). Un désir de cinéma pas précisément avant-gardiste comme on pourra le constater.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Rania Hoballah
Si le film déborde de sincérité, cette histoire d'amour impossible (...) est trop convenue pour nous emballer réellement.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
On sent bien que Daniel Auteuil a mis tout le sien dans une entreprise qu'il porte avec des bras généreux et sincères... Mais cette application méticuleuse a le regard porté vers le musée Grévin, quand on attendait une approche plus contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
L'émotion et la sincérité de son film, porté par le verbe de l'écrivain, compensent quelques maladresses.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
20 Minutes
par Caroline Vié
Un remake trop académique (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Aucune tâche de relecture originale au milieu de toutes ces prouesses artisanales : il suffit d'avoir feuilleté le grand Pagnol pour deviner d'emblée où mène chaque sentier, et regretter de voir toutes ces belles terres rebattues à l'envi.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Il faut attendre la fin du film pour que la langue de Pagnol et la conviction de Daniel Auteuil (qui se filme en gros plans) suscitent l'émotion. L'acteur y regagne alors les lauriers que le cinéaste est encore loin de mériter.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Olivier de Bruyn
(...) le film, jamais indigne mais jamais stimulant, ne suscite qu'une indifférence polie.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Philippe Jambet
C'est Disneyland-en-Provence, animé par des comédiens désincarnés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Joachil Lepastier
Comme chez Berri, les acteurs doivent montrer qu'ils jouent " avé l'assent ", la caméra doit montrer qu'elle tourne et les lieux qu'ils décorent.
Critikat.com
par Julia Allouache
Daniel Auteuil nous offre une adaptation de bon élève, un remake moribond et donc bien inutile.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Cécile Mury
Pour sa première mise en scène, Daniel Auteuil entasse les clichés comme des brins de lavande dans un sachet fleuri.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
"La Fille du Puisatier" porte le même ADN que les réussites d'Yves Robert, "La Gloire de mon père" et "Le Château de ma mère": simple, beau, chaud, ça coule comme l'eau des collines, c'est Pagnol.
Le Figaroscope
Daniel Auteuil est magnifiquement pauvre et fier, archaïque, rocailleux et pourtant vibrant de tendresse. Tous les acteurs qu'il a réunis parlent naturellement le langage des sentiments. Simple et pur.
Le Journal du Dimanche
Comme jeune réalisateur, Auteuil signe un premier film prometteur. Chaleureux aussi.
Le Parisien
Sa première mise en scène fleure donc le respect comme la farigoulette. Il a mis l'accent sur le destin des personnages, leur fragilité, leur magnétisme, redécouvert l'innocence en la charmante personne d'Astrid Bergès-Frisbey.
Les Inrockuptibles
Un bon film, plein d'idées de cinéma, servi par des comédiens (presque) tous excellents (bravo à la jeune Emilie Cazeneuve, dans le rôle d'Amanda), dirigés avec soin par un débutant rigoureux.
Paris Match
Daniel Auteuil (...) se montre digne du grand Marcel et de Claude Berri. Son film, magnifique d'humanité, lui permet d'accéder à l'un de ses plus beaux rôles.
TéléCinéObs
Daniel Auteuil s'attaque avec bonheur au remake de l'oeuvre de Pagnol. (...) lui-même, si bouleversant et si affûté dans le rôle du puisatier qu'il réussit à nous faire oublier l'interprétation de Raimu. Et puis, il y a la lumière de Jean-François Robin, brûlante, magnifique. Partie prenante du récit, elle rend toute la saveur et l'intemporalité de la Provence de Pagnol.
Brazil
Si la toile du fond est dramatique, "La fille du puisatier" déborde d'humour. Souvent caustique. Derrière une apparente douceur se cachent ainsi des textes féroces.
Elle
Il (Auteuil) est grandiose dans les non-dits. En revanche on s'étonnera d'une facture aussi classique.
L'Express
(...) Ce premier long-métrage de Daniel Auteuil s'attache à une restitution du verbe, du dialogue, de la poésie. (...) Mais cela n'aurait pas suffi si le réalisateur débutant n'était pas, avant tout, un interprète formidable.
La Croix
Un récit à la force intemporelle, mis en scène par un amoureux de Pagnol.
Le Monde
(...) Scénario et dialogues de Pagnol offrent un matériau mélodramatique d'une efficacité à toute épreuve. Telle est la puissance émotive de ce récit, qu'il faudrait être un rien sagouin pour perdre en route. Ce n'est heureusement pas le cas, ce qui fait de ce film une honnête récréation. Sa moindre réussite réside, bien entendu, dans l'existence d'un original qui lui reste supérieur dans tous les compartiments de jeu.
Le Point
Voir la critique sur lepoint.fr
Libération
Daniel Auteuil (...) est à la fois devant la caméra (avec Kad Merad) et derrière (for ze first time). Un désir de cinéma pas précisément avant-gardiste comme on pourra le constater.
Metro
Si le film déborde de sincérité, cette histoire d'amour impossible (...) est trop convenue pour nous emballer réellement.
Ouest France
On sent bien que Daniel Auteuil a mis tout le sien dans une entreprise qu'il porte avec des bras généreux et sincères... Mais cette application méticuleuse a le regard porté vers le musée Grévin, quand on attendait une approche plus contemporaine.
Télé 7 Jours
L'émotion et la sincérité de son film, porté par le verbe de l'écrivain, compensent quelques maladresses.
20 Minutes
Un remake trop académique (...).
Chronic'art.com
Aucune tâche de relecture originale au milieu de toutes ces prouesses artisanales : il suffit d'avoir feuilleté le grand Pagnol pour deviner d'emblée où mène chaque sentier, et regretter de voir toutes ces belles terres rebattues à l'envi.
L'Obs
Il faut attendre la fin du film pour que la langue de Pagnol et la conviction de Daniel Auteuil (qui se filme en gros plans) suscitent l'émotion. L'acteur y regagne alors les lauriers que le cinéaste est encore loin de mériter.
Positif
(...) le film, jamais indigne mais jamais stimulant, ne suscite qu'une indifférence polie.
Première
C'est Disneyland-en-Provence, animé par des comédiens désincarnés.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Comme chez Berri, les acteurs doivent montrer qu'ils jouent " avé l'assent ", la caméra doit montrer qu'elle tourne et les lieux qu'ils décorent.
Critikat.com
Daniel Auteuil nous offre une adaptation de bon élève, un remake moribond et donc bien inutile.
Télérama
Pour sa première mise en scène, Daniel Auteuil entasse les clichés comme des brins de lavande dans un sachet fleuri.