Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
L’interprétation de Javier Botet apporte beaucoup au potentiel effrayant de la créature.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
[...] la réussite tant dramatique qu’esthétique de ce Moby Dick à l’envers qui, à défaut de nous faire véritablement frissonner, nous tient en haleine près de deux heures durant.
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Revenant aux origines du mythe de Dracula, ce film d'épouvante réalisé par le metteur en scène norvégien de la fable fantastique "The Troll Hunter" (2010) offre des scènes de grande tension. Le soin apporté aux décors et aux costumes assure une immersion constante du spectateur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
En se focalisant sur le sanglant voyage de Dracula entre la Transylvanie et Londres, Le Dernier Voyage du Demeter offre à l’écran une déclinaison maritime, efficace mais un peu trop classique, du premier film Alien.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
S’appuyant sur une ambiance à la fois gothique et poussiéreuse, Le Dernier Voyage du Demeter offre une dose de frisson efficace, mais peut-être trop classique pour se démarquer des illustres modèles, le roman comme le film.
Le Figaro
par C.J.
Dans le chapitre 7 de son Dracula, l'écrivain Bram Stoker mentionnait le journal de bord du capitaine de navire qui avait convoyé, sans le savoir, le vampire de la Bulgarie à l'Angleterre. Un passage jamais mis en scène dans les adaptations cinématographiques jusqu'à ce huis clos classique mais efficace.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Aux manettes de ce huis clos à ciel ouvert, l’électron libre norvégien André Ovredal (The Jane Doe Identity) signe un film d’horreur qui renoue avec l’esprit des classiques du genre, avec sa mise en scène qui s’affranchit des lois de la gravité, sa photographie chiadée et sa brutalité glaçante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J.-F. R.
Si l’on peut regretter quelques signaux trop appuyés en référence aux luttes contemporaines – le héros est un médecin noir, victime des préjugés raciaux du siècle –, reconnaissons au film une manière particulièrement habile de s’attaquer au récit et de le plonger progressivement dans une ambiance oppressante et anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Le réalisateur norvégien André Ovredal parvient à nous tenir en haleine notamment grâce à son acteur principal Javier Botet : l’espagnol mesurant presque 2 m, atteint du syndrome de Marfan qui lui permet une hypersouplesse de certains membres, dont des doigts déjà exagérément longs, il incarne un mémorable prince des vampires.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Si la mise en scène manque de personnalité, le film développe une belle atmosphère et fait monter plutôt intelligemment l’effroi.
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Un rendez-vous manqué entre André Øvredal et un sujet génial qu'il ne parvient pas à traiter comme il se doit. Au-delà d'une ouverture très prometteuse et de magnifiques images du navire arpentant la mer de nuit, le film accumule les déceptions en négligeant aussi bien la mise en scène des scènes d'action que ses (beaucoup trop nombreux) dialogues.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ouest France
par Thierry Cheze
Le résultat traîne en longueur, faute de nervosité dans la mise en scène.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
On accomplit le voyage en compagnie d’affreux marins incarnés par des seconds couteaux du cinéma américain très en forme et parés de leurs meilleures grimaces mystérieuses, mais si l’ambiance est réussie, la tension demeure trop lâche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Nicolas Moreno
Le cinéma est loin d’avoir épuisé ce mythe moderne, mais ici il semble seulement le mobiliser comme prétexte (argument commercial ?) pour en tirer un film d’horreur aussi peu inspiré dans sa mise en scène qu’incarné par son casting…
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
L’interprétation de Javier Botet apporte beaucoup au potentiel effrayant de la créature.
L'Ecran Fantastique
[...] la réussite tant dramatique qu’esthétique de ce Moby Dick à l’envers qui, à défaut de nous faire véritablement frissonner, nous tient en haleine près de deux heures durant.
Télé 2 semaines
Revenant aux origines du mythe de Dracula, ce film d'épouvante réalisé par le metteur en scène norvégien de la fable fantastique "The Troll Hunter" (2010) offre des scènes de grande tension. Le soin apporté aux décors et aux costumes assure une immersion constante du spectateur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
En se focalisant sur le sanglant voyage de Dracula entre la Transylvanie et Londres, Le Dernier Voyage du Demeter offre à l’écran une déclinaison maritime, efficace mais un peu trop classique, du premier film Alien.
Le Dauphiné Libéré
S’appuyant sur une ambiance à la fois gothique et poussiéreuse, Le Dernier Voyage du Demeter offre une dose de frisson efficace, mais peut-être trop classique pour se démarquer des illustres modèles, le roman comme le film.
Le Figaro
Dans le chapitre 7 de son Dracula, l'écrivain Bram Stoker mentionnait le journal de bord du capitaine de navire qui avait convoyé, sans le savoir, le vampire de la Bulgarie à l'Angleterre. Un passage jamais mis en scène dans les adaptations cinématographiques jusqu'à ce huis clos classique mais efficace.
Le Journal du Dimanche
Aux manettes de ce huis clos à ciel ouvert, l’électron libre norvégien André Ovredal (The Jane Doe Identity) signe un film d’horreur qui renoue avec l’esprit des classiques du genre, avec sa mise en scène qui s’affranchit des lois de la gravité, sa photographie chiadée et sa brutalité glaçante.
Le Monde
Si l’on peut regretter quelques signaux trop appuyés en référence aux luttes contemporaines – le héros est un médecin noir, victime des préjugés raciaux du siècle –, reconnaissons au film une manière particulièrement habile de s’attaquer au récit et de le plonger progressivement dans une ambiance oppressante et anxiogène.
Le Parisien
Le réalisateur norvégien André Ovredal parvient à nous tenir en haleine notamment grâce à son acteur principal Javier Botet : l’espagnol mesurant presque 2 m, atteint du syndrome de Marfan qui lui permet une hypersouplesse de certains membres, dont des doigts déjà exagérément longs, il incarne un mémorable prince des vampires.
Les Fiches du Cinéma
Si la mise en scène manque de personnalité, le film développe une belle atmosphère et fait monter plutôt intelligemment l’effroi.
Ecran Large
Un rendez-vous manqué entre André Øvredal et un sujet génial qu'il ne parvient pas à traiter comme il se doit. Au-delà d'une ouverture très prometteuse et de magnifiques images du navire arpentant la mer de nuit, le film accumule les déceptions en négligeant aussi bien la mise en scène des scènes d'action que ses (beaucoup trop nombreux) dialogues.
Ouest France
Le résultat traîne en longueur, faute de nervosité dans la mise en scène.
Télérama
On accomplit le voyage en compagnie d’affreux marins incarnés par des seconds couteaux du cinéma américain très en forme et parés de leurs meilleures grimaces mystérieuses, mais si l’ambiance est réussie, la tension demeure trop lâche.
Première
Le cinéma est loin d’avoir épuisé ce mythe moderne, mais ici il semble seulement le mobiliser comme prétexte (argument commercial ?) pour en tirer un film d’horreur aussi peu inspiré dans sa mise en scène qu’incarné par son casting…