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    L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot
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    83 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 juin 2012
    L'Enfer est un hybride entre un film documentaire et un documentaire film. A dire comme ça on ne comprend rien, on regarde le documentaire et on ne comprend pas. On ne comprend pas parce que Clouzot est un génie, et comme Kubrick et son Odyssée, on est face à un film à la fois expérimental et narratif. Le documentaire nous illustre la préparation et la réalisation du film, l'Enfer est l'enfer d'un homme face aux supposées tromperies de sa magnifique femme Romy Schneider, Reggiani fou de jalousie ne la tue pas, il se tue lui même. Le documentaire rassemble certains techniciens (ce qui est en soit parfait) qui nous expliquent cette folie créative, ces innovations, ces tests à la limite du réelle. Ces tests qui vous éblouissent de beauté, et vous émerveillent en vous demandant "Comment est-ce possible ? Pourquoi je n'ai jamais vu telle chose avant ? Comment est ce possible ? Pourquoi ? Pourquoi résume le film Pourquoi, pourquoi Clouzot n'a pas fini le film ? Pourquoi ce chef d'oeuvre n'est jamais sorti sur les écrans ? Comment ce film à pu se faire ? Ce film répond à ses questions, mais il vous inspire en même temps ce qui est extrêmement rare pour un documentaire, devenant exceptionnel à sont tour.
    Toutefois, cet éloge ne serait pas parfait sans une critique, les réalisateurs Medrea et Bromberg croyant bien faire insèrent des répliques filmés (actuels) avec Bérénice Béjot notamment. Ces insertions ne servent à rien mise à part brouiller le spectateur. Faire une telle chose est ce substituer au réalisateur originel Clouzot, faire un contre hommage en quelque sorte. L'Enfer n'est pas finit, il est inachevé pourquoi dessiner un soleil sur un tableau de De Vinci, même s'il avait exprimé l'intention de le faire ?
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    30 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juin 2012
    Si je proclame sans hésitation que L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot est un chef-d'oeuvre, c'est davantage pour le travail de ce dernier sur son oeuvre majeure que pour le documentaire en lui-même. En effet, Serge Bromberg a effectué un boulot d'une grande qualité et nous apprend ainsi tous les détails importants qui constituent la réputation de l'énigmatique film qu'est L'Enfer, par le biais de témoignages fascinants. Une fascination qui se développe minute après minute chez le spectateur, avide d'en savoir toujours un peu plus. À chaque extrait du long-métrage de Clouzot, le cinéphile atteint la volupté, en totale empathie avec l'univers atypique et inédit de cette oeuvre initialement censée bouleverser l'histoire du cinéma. Ainsi L'Enfer frustre énormément par son inaccessibilité et hante longtemps après le visionnage de l'oeuvre de Bromberg. On pense à tout ce qui aurait pu se faire. À ce qu'aurait ressemblait le résultat final. Le documentaire a beau être merveilleusement bien ficelé, on reste malgré tout sur sa faim, hélas insatiable. Cependant, cette heure et demie passée en compagnie de la magnifique Romy Schneider et autres personnages regrettés est à conseiller à n'importe quelle personne un tant soit peu passionnée de cinéma.
    belo28
    belo28

    68 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2012
    Un exemple de documentaire! Simple, concis qui laisse la place aux archives et ne se laisse pas envahir par les voix off! On lui enlève juste une étoile parce que maintenant j'ai encore plus envie de voir ce film qui n'exista jamais!
    Guillaume836076
    Guillaume836076

    81 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mai 2012
    Et oui une flopée d'étoile pour ce documentaire... pour ce film inachevé... Tout passionné du cinéma doit voir ce documentaire exceptionnel sur ce film maudit d'Henri-Georges Clouzot qui en lui donnant le titre "L'Enfer" collait bien à ce qui allait advenir sur le tournage, totale bérézina ! Réflexion sur les affres de la création d'un génie de l'image, au travers de ses propres obsessions et névroses, ce documentaire nous montre que le cinéma est un Art, avant d'être un produit commercial, et fera réfléchir tout cinéaste en herbe fasciné par les techniques et effets spéciaux virtuels utilisés aujourd'hui en leur montrant que le chemin est long, très long avant de pouvoir dire: "regardez j'innove! je révolutionne l'image ! Je suis un génie !"... En exhumant les essais de Clouzot et son travail sur les couleurs, sur le son avec les acteurs de son film, les rushs du tournage en extérieur, Serge Bromberg nous donne à voir que si ce film avait été achevé, il aurait révolutionné l'image, le cinéma mondial dans son ensemble, tout en ayant de puissants détracteurs vu les tabous que Clouzot aurait fait explosé dans sa façon de traiter le sujet: la jalousie paranoïaque et ses obsessions et fantasmes érotiques. Clouzot aurait certainement fait école, aurait atteint l'aura d'un Kubrick. Il faut dire qu’il connaissait bien le sujet : il était atteint de cette névrose obsessionnelle. Des images fortes, obsédantes, des séquences sublimes, certainement les plus belles que j'ai vues chez Clouzot. Je n’ose imaginer- où je me plais à imaginer le résultat final de l’œuvre. Puis les acteurs : un Serge Reggiani, qui malgré le manque de bande son (disparue à jamais), parvient à nous faire ressentir un malaise profond, en restituant rien que par le regard sa folie galopante. Une Romy Schneider au sommet de sa beauté, érotique, obsédante... certainement objet de fantasmes chez Clouzot! Dany Carrel, parfaite en femme libérée, tentatrice fantasmée et honnie par Reggiani… Puis cette séquence où Romy fait du ski nautique sur le lac artificiel, où l’on voit Reggiani au fond du cadre courir sur la berge… Alors pourquoi « L’Enfer » est-il devenu un véritable enfer pour toute l’équipe de tournage, pour les acteurs ? Clouzot était-il dépassé par la liberté qu’on lui laissait où par le sujet du film lui-même ? Les interviews des intervenants ayant participé au tournage nous donne quelques pistes : trop perfectionniste… il devient l’artisan de son propre échec vu le poids de la production mégalo en œuvre… pas de garde-fous… une liberté totale ! Forcément un piège ! Comme son propre génie (on peut parler vraiment de génie, le mot n’est pas trop fort) le poussant irrémédiablement à l’implosion , d’où l’infarctus au bout de trois semaines de tournages… Il y a certainement une part inconsciente d’auto-destruction de l’œuvre en train de se créer par réflexe de survie car Clouzot jouait, en faisant ce film, avec ses propres obsessions… Il ne pouvait donc pas ressortir indemne de l’aventure, elle l’aurait totalement détruite si elle avait atteint son terme, comme elle aurait détruit en partie les acteurs principaux… C’est aussi pour cela que Reggiani, atteint d’une maladie mystérieuse (psychosomatique ?), quitte le tournage brutalement, à bout…
    Revenons sur la forme du documentaire en lui-même qui fait exister le film seul, il y a les interventions filmées de Jacques Gamblin et Bérénice Béjo que je trouve déplacée, c’est le seul bémol car il y a cette séquence muette où Romy va faire des courses en ville, sonorisée par Bromberg, avec la voix de Reggiani, qui nous permet de nous rendre compte concrètement de ce que cela aurait donné, suffisait amplement…
    En voyant ce documentaire, oublions la version de Chabrol avec Béart et Cluzet (superbe dans le rôle de Marcel) qui reste un film très chabrolien et très éloigné de ce que Clouzot voulait faire de ce sujet qui était son obsession personnelle…
    Gn0me
    Gn0me

    10 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mai 2012
    Vraiment très intéressant. Documentaire très bien ficelé mêlant images retrouvées à interviews, dialogues du film lus et autres archives. Passionnant...
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    154 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mai 2012
    Fascinant! Les images enfin dévoilées de «L'Enfer» d'Henri-Georges Clouzot sont d'une beauté incomparable! Et dire que pour la plupart ce ne sont que des essais caméra! Les recherches de Clouzot et de son équipe sur l'aspect visuel et sonore du long métrage démontrent une fois pour toutes l'importance extraordinaire et révolutionnaire qu'aurait eu ce film s'il avait été achevé. Mais la démesure du projet aura finalement montré ses limites : un cinéaste de génie, une équipe de techniciens remarquable, des interprètes d'exception, un budget illimité... ce qui sur le papier aurait pu constituer le chef-d'oeuvre du cinéma français a été un véritable cauchemar, la chute de Clouzot, qui en voulant faire le film de sa vie (il avait effectivement tout pour) s'est perdu dans ses hésitations, son perfectionnisme et peut-être aussi la trop grande liberté dont il disposait. «L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot» est donc là pour nous consoler, recueil consciencieux (un brin scolaire) de bribes frustrantes mais somptueuses d'une oeuvre géniale, à jamais inachevée. Rien que pour contempler la beauté de Romy Schneider, sublime du haut de ses 26 ans d'alors, ce film vaut bien 4 étoiles et le déplacement dans la salle de ciné la plus proche. Malheureusement le documentaire en lui-même est beaucoup moins digne d'éloges : les réalisateurs se « contentent » (loin de moi l'idée de nier le travail fourni) de nous montrer les fameuses images (1h34 de documentaire pour 16h heures de rushes, c'est peu!) avec des commentaires explicatifs de Serge Bromberg et de quelques rescapés de l'équipe de tournage de « L'Enfer ». Le tout reste correct mais un peu superficiel, pour celui qui connaît un minimum Clouzot rien de bien nouveau. Et que dire de l'apparition bancale de Bérénice Béjo et Jacques Gamblin, idée originale mais pas franchement convaincante. Au final on ressort donc émerveillé du visionnage, mais on reste sur sa faim quant à la densité du documentaire... et l'échec de Clouzot! [2/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 680 abonnés 12 411 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2012
    L'histoire de "L'enfer", le projet le plus ambitieux d'Henri-Georges Clouzot, dont le tournage n'ira jamais à son terme, est une totale rèussite! Un rècit passionnant qui mêle interviews enrichissantes et sèquences fortes tournèes en 1964, dont certains plans visuellement fascinants de Romy Schneider, qui joue l'èpouse d'un homme jaloux, Serge Reggiani! De nombreux problèmes ont èmaillè ce tournage pas comme les autres! A commencer par Clouzot et Reggiani qui s'entendaient si mal que ce dernier a claquè la porte! Puis, l'ètat de santè qui s'aggrave pour le cinèaste et, à la suite d'une première crise cardiaque, Clouzot est obligè, d'abandonner le tournage! A savoir que ce documentaire prècieux a reçu le Cèsar dans sa catègorie en 2010! Et ce n'est que justice car ce film maudit reste magnifique, même inachevè! La beautè des images, les couleurs improbables de la folie, le sens du cadrage novateur, l'èclat et la fraîcheur de Romy, sont là pour nous convaincre de ce qu'aurait pu être "L'enfer" abouti à terme: Un chef d’œuvre, tout simplement...
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2012
    Quelles images.. on en ressort bouleversé par cette beauté fulgurante, ce travail sur les couleurs.. et Romy Schneider tellement envoûtante. Vraiment dommage que Clouzot n'ai jamais pu finir se film démesuré. Un très bon documentaire en plus de ça. A voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 10 février 2012
    En 1964, Henri-Georges Clouzot débute un projet énigmatique et insolite, un budget illimité, un film qui devait être un "événement" à sa sortie...

    Serge Bromberg et Ruxandra Medra documentent la genèse maudite et inachevée d'une œuvre perfectionniste ou d'un échec assuré ? devenant le scénario de son drame.

    Des centaines de rushes infernales, les témoins du naufrage, les dialogues reconstitués de L’Enfer d'Henri Georges Clouzot peignent la démesure obsessionnelle du cinéaste ; populaire, diabolique surtout névrosé, se perd dans la fantasmagorie créative illuminé au royaume des limbes.

    Les affres de la jalousie, cette folie orgasmique au désir mimétique de l'objet fantasmé, ici Romy Schneider est soumise aux plaisirs érotico-visuels haut en couleur. Le contraste des images cinétiques et du réelle monochrome étaient supposés fasciner et tourmenter.

    L'échec clipeux de Clouzot est un succès expérimental à l'honneur d'une talentueuse filmographie.
    this is my movies
    this is my movies

    698 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juillet 2016
    Cinéaste méconnu de la nouvelle génération, Clouzot a été un réalisateur qui a compté. Avec ce film, il aurait dû imposer son nom pour toujours dans l'histoire cinématographique. Le passionné S. Bromberg lui redonne vie et nous donne à voir des images qui témoignent d'une furie créatrice jamais vue. Ses essais sur la chromatique, le son, le jeu d'acteur, l'esthétisme, la plongée en apnée au plus près de la folie de son personnage principal auraient à coup sûr imposés aux cinéastes de cette génération un degré d’exigence supplémentaire. Bon, les scènes avec J. Gamblin et B. Béjo arrivent comme un cheveu sur la soupe et certains commentaires des intervenants m'ont paru déplacés (notamment B. Stora) mais cette initiation dans le montage d'un film trop fou pour réussir (budget illimité, galères de tournage insurmontables, mégalomanie du réal et j'en passe) est passionnante pour tout cinéphile qui se respecte et se pose comme un indispensable absolu à voir de toute urgence ! Et tout réalisateur débutant qui tripote avec des logiciels de retouche doit le voir, afin de mesuré le chemin qui lui reste à parcourir pour atteindre une telle perfection. Bluffant. D'autres critiques sur
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 janvier 2012
    Si Clouzot avait fini "L'Enfer", que serait le cinéma d'aujourd'hui ? La question est à se poser, tant les images que nous montre Serge Bromberg sont incroyables. Clouzot serait-il devenu LA référence de tout un tas de réalisateurs ? Bien qu'il fut un des plus grands réalisateurs français, Clouzot est aujourd'hui très respecté mais un peu oublié. Ce documentaire nous permet de nous replonger dans cette incroyable aventure impossible : un tournage sur un lac qu'EDF souhaite vider, un acteur poussé vers la dépression, une équipe complètement perdue, et enfin le réalisateur qui fait un infarctus... Les témoignages et les commentaires sont instructifs, la reconstitution avec Bérénice Béjo et Jacques Gamblin est en revanche inutile (ils semblent totalement livrés à eux-mêmes, sans direction), mais on ne peut que remercier Bromberg de déterrer les images tournées par Clouzot. Les expérimentations visuelles menées par Clouzot en amont du tournage sont exceptionnelles. Dire que "L'Enfer" aurait pu changer le cinéma n'est probablement pas exagéré.
    AMCHI
    AMCHI

    5 783 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2014
    Un documentaire vraiment passionnant qui nous permet de découvrir ce qui aurait sans doute été un grand film, on savoure ces images qui nous captivent malgré l'absence de son et de dialogues mais ce documentaire c'est aussi une intéressante façon d'apprendre la création d'un film.
    Les témoignages sont éclairants par contre c'est dommage que Dany Carrel n'est pas témoignée car c'est une des rares actrices de L'Enfer encore vivante (Schneider, Reggiani, Mario David... ayant tous disparu) et aurait pu apporter des faits sur le tournage. Un beau travail et l'on peut remercier Serge Bromberg d'avoir sorti de l'oubli ces scènes fabuleuses.
    VOSTTL
    VOSTTL

    94 abonnés 1 932 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 décembre 2011
    « L’enfer d'Henri-Georges Clouzot » n’est pas un film, c’est l’équivalent d’un bonus DVD intéressant, instructif comme tout documentaire. Le personnage de Reggiani, Prieur, n’a pas eu le temps de vivre l’enfer, c’est tout simplement son interprète : Reggiani ! Sans compter toute l’équipe technique qui a vécu l’enfer d'Henri-Georges Clouzot. Le titre est on ne peut plus vrai. Le réalisateur a mis en scène « son » enfer et a plongé avec. Cependant, sa folie créatrice a permis de nous livrer des images hypnotiques insolites surfant, ondulant sur le corps sensuel de Romy Schneider. Ce film terminé, aurait-il bravé la censure tant il respirait une sensualité sexuelle et tant les corps suggéraient cette sexualité ? Dommage, cela aurait pu être une curiosité. Pourquoi se compliquer la vie quand on peut faire simple...
    Appeal
    Appeal

    156 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2012
    Il est presque dommage que le format du documentaire ne soit pas plus osé. On voit de nombreuses personnalités, proche du staff de l'enfer où connaisseurs du sujet, livrés leurs infos sur le film. Du classique, efficace et clair certes, mais aucune imagination. Une dissertation réussi, une dissertation cependant. Les scènes rejoués par des acteurs d'aujourd'hui donnent l'impression d'une reconstitution Arte. Bref on prend pas son pied la dessus et on est pas surpris. Cela tranche par contre des images du film avorté d'Henri Georges Clouzot : quelle frustration sérieusement, les images du réalisateur sont simplement fascinantes, d'une esthétique parfaite et toujours aujourd'hui passionnantes, angoissantes. Romy Schneider et Catherine Allégret sont incroyablement belles et sensuelles, les quelques images que l'on voit dégagent une force érotique rare. Quelle frustration donc, car ce film aurait était une révolution, c'est sûr, magnifique également, peut-être à ce que l'on voit l'un des plus grands films français. Une documentaire classique donc, mais son sujet est totalement inédit et réellement passionnant. A voir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 août 2011
    Instructif. Comme quoi, créer n'est pas une mince affaire, et avoir des gardes fous peut s'avérer très utile si on ne veut pas plonger dans la folie… très beaux passages avec Bérénice Béjot et Jacques Gamblin !
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