Avis : Zorro - Page 2

Le talent d'Alain Delon parvient à sauver quelques scènes de ce mauvais film , mais c'est tout .

Oui ça a un peu vieilli aujourd'hui mais Delon fait le job haut la main . Le doublage est épouvantable mais la postsynchronisation en anglais n est pas très réussi non plus . Le duel final justifie à lui seul le visionnage de ce film . Un Bon moment .

Bah... Agréablement surpris par cette énième adaptation du "renard masqué". Un film qui se laisse voir et apprécier. Delon est à l'aise dans son costume et nous dispense de sa fausse arrogance quotidienne et de sa fatigante assurance. Il a l'air de s'amuser tel un gosse avec sa panoplie noire et nous communique son allégresse. Face à lui, un Stanley Baker tout en cruauté et un Moustache tout en rondeur. Dommage que le personnage de Garcia n'est pas eu plus de traitement. Une Octavia Piccolo séduisante pour un scénario néanmoins classique. Trop, peut-être... Pour les Japonais, Delon reste l'archétype du justicier masqué, Zorro le renard. Une musique originale et entraînante entre western spaghetti et comédie à la Bud Spencer/Terence Hill. Un divertissement de bonne facture avec un duel final interminable mais fort bien filmé. Delon voulait faire plaisir à son fils Anthony en endossant le rôle de Zorro. Il nous a aussi fait plaisir en l'interprétant avec entrain ! J'ai préféré cette version à celle de Campbell. A ce propos, Delon devait reprendre le rôle du vieux Zorro dans ce même film, à la place d'Anthony Hopkins. Cela ne s'est pas fait. Dommage...

Un film d'aventures très plaisant que j'ai souvent vu étant plus jeune. Alain Delon incarne fort bien le justicier masqué. Un film d'aventures qui a plutôt bien vieilli.

J'ai toujours apprécié les adaptations TV ou ciné de mon héros de jeunesse. Ce film est l'exception qui confirme la règle. C'est lourd, cabotin, et surtout Delon est absolument insupportable. Comme toujours, c'est le sphinx au visage inexpressif, une espèce d'acteur (mais sans talent) et incroyablement prétentieux. Bref, un vrai cauchemar...

Un des classiques de mon enfance et surement le premier film où j'ai vu Delon. En le revoyant après plus de 10 ans, force est de constater que le charme n'opère plus. En effet, le film n'est ni plus ni moins qu'un spectacle familial destiné aux enfants. En témoigne un scénario simpliste, des gags assez lourdaud et l'interprétation faussement comique de Delon.

Delon apporte sans conteste quelquechose à ce film même s'il est masqué la moitié du temps (c'est peut être pour cette raison qu'il n'agace pas trop...). Ca bouge et c'est entrainant avec un coté "théâtral" qu'on aime ou pas. A voir.

Film de cape et d'épée qui arrive dans une période peu faste sur le genre et qui revisite la légende de Zorro. Alain Delon fait son job dans une histoire nouveau genre mais qui ne démérite pas notamment grâce à un mixte comédie-action assez sympa. Les trop nombreux faux raccords (la dernière estocade du duel final, le chien du gouverneur qui suit et assiste Zorro...) gâche l'ensemble. Ca reste un film d'aventure de base pour après-midi cocconing.

Et "Zorro" arrive toujours, comme on dit, car lorsque les producteurs sont à cours d'imagination, ils ressortent de leurs tiroirs un Zorro encore inèdit au milieu des annèes seventies, bien qu'il ressemble comme un frère à ses prèdècesseurs! Bien avant Antonio Banderas, c'est Alain Delon qui joue les justiciers masquès vêtu de noir qui combat l'injustice sous la houlette du cinèaste italien Duccio Tessari! Malgrè tous leurs efforts, Delon, Stanley Baker, Ottavia Piccolo et Moustache ne parviennent pas à nous faire oublier la version de Rouben Mamoulian avec Tyrone Power! Tournè en Espagne, sous un soleil de plomb, avec une avalanche de cascades et de duel, cette énième version de Zorro nous fait passer tout de même un joli moment de dètente...

Une petite aventure aux allures de série B, qui vaut surtout pour la prestation sans faute d'Alain Delon, trés a l'aise dans son double rôle. Hormis quelques belles scénes, pas grand chose d'autre a se mettre sous la dent. Les fans de la star et du personnage apprécieront tout de méme. Mais depuis le temps, Martin Campbell est passé par la...

Alain Delon est un formidable acteur, et j’arrive encore, à mon âge, à dissocier l’homme de son œuvre. « Zorro » fut certainement une parenthèse dans sa longue carrière d’acteur. Il s’était déjà frotté en 1964 aux films de cape et d’épée avec « La tulipe noire » et il récidive en 1975 avec ce « Zorro ». Rien de nouveau sous le soleil de la Californie, l’histoire est assez classique. Côté « + », beaucoup de scènes d’action et un Alain Delon débridé qui s’amuse comme un petit fou. Côté « - », une histoire qui traîne en longueur et un humour assez moyen symbolisé par un gros toutou baveux assez pénible. Moustache campe un très bon Sergent Garcia dans la lignée du légendaire Henry Calvin. Ottavia Piccolo est délicieuse en « aristocrate du peuple » rebelle. Stanley Baker est un salopard de méchant comme je les aime : cruel, envieux, pervers, sadique… La scène finale de duel est assez spectaculaire. C’est plaisant, mais un peu long et assez inégal.

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Zorro version spaghettis agrémenté d'un duel final d'exception.
Alain Delon s'amuse dans cette version assez fidèle à l'oeuvre originelle. A voir ou revoir avec son âme d'enfant.

Delon en zorro, c'est pas mal. Un film d'aventure avec les ingrédients qui font mouche: action, humour, bon décors, belle senorita,... ainsi c'est un bon divertissement.

Film à l'apparence légère et grotesque mais qui est en réalité une "oeuvre" MAGISTRALE du cinéma populaire; ne connaissant rien sur la bibliographie du personnage, je dirais que l'adaptation qui est faite de l'histoire de Zorro tient simplement du génie!
En effet, le scénario justifie à lui seul le film ; la clef de l'histoire réside dans le stratagème mis en place par deux hommes, une "fine lame" (dont le film nous laisse imaginer les précédentes aventures...) et un serviteur muet, réunis par le destin et l'honneur, afin de mystifier le badguy, le colonel Huerta (Campé par un acteur comme il n'y en a plus...)
Alain Delon est à la fois gouverneur fantoche de la province du Nuevo Aragon et le robin des bois locale; La mise en place de certains éléments narratifs est digne des meilleurs films de sabre, et même le combat final reserve quelques surprises comme certaines esquives de Delon.
La musique est géniale....