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    Le Grand sommeil
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    118 critiques spectateurs

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    yayo
    yayo

    62 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2014
    Je le reverrai pour voir si j'ai loupé quelque chose, mais étant un grand amateur de film noirs, j'ai été un peu déçu par ce film. Je dirais que c'est l'histoire qui ne m'a pas emballé plus que ça. Les acteurs sont bons tout comme la mise en scène, mais il a manqué la petite étincelle. Voilà ! Cela arrive de ne pas aimer un classique !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2013
    Que nous dit l’intrigue ? Après la disparition de son chauffeur, le général Sternwood charge le détective privé Philip Marlowe de le débarrasser d’un individu douteux nommé Geiger qui fait chanter sa fille Carmen, une nymphomane portée sur les paradis artificiels. Marlowe, qui a fait la connaissance de Vivian, la sœur de Carmen, découvre après une filature le cadavre de Geiger dans une maison isolée, et Carmen inconsciente. Qui a tué Geiger, pourquoi ? Quels sont ses liens avec le chauffeur et les sœurs Sternwood ? Vous n’avez pas compris l’enjeu policier du film ? Ce n’est pas très grave, car le dénouement n’est pas non plus clair comme de l’eau de roche.
    « Le grand sommeil » incarne la naissance du film noir et est la grande référence du genre pour les cinéphiles. En effet, il est l’un des premiers films à avoir posé les archétypes de l’esthétique et des thématiques du genre. Après quelques lectures sur ce film pour mieux comprendre son importance dans l’histoire du septième art ; voilà une synthèse de ce que j’ai en retenir.
    Le film noir montre une frontière floue entre le bien et le mal, c’est notamment ce qui le différencie des films policiers ou de gangster. Ainsi le genre film noir contredit la logique narrative classique. Comme dans « Le faucon Maltais », l’intrigue progresse sur le principe du meurtre imprévisible et du meurtrier inconnu. Les enchaînements présentent des discontinuités, des zones d’ombres qui participent à rendre la compréhension de l’histoire plus difficile. En fait, le film noir accorde autant d’importance, voir privilégie, la description psychologique des personnages à la résolution des meurtres. Ce qui explique que l’intrigue soit confuse, quant à savoir qui est coupable de quoi, entre les mensonges et les non-dits…Le nombre de personnages impliqués aussi augmente au fur et à mesure du film dans des intrigues gigognes. A ce propos une anecdote sur ce film aide à éclairer la complexité du récit : la légende veut que Bogart ait un jour demandé à Hawks qui était l’assassin, le cinéaste ne put lui répondre, ce dernier demanda au scénariste et à Chandler (écrivain du roman dont est inspiré le film) mais aucun ne pu lui répondre. Il faudra attendre 55ans plus tard pour voir apparaitre un tel ovni sur nous écrans, le Mulholland Drive de Lynch, un autre chef d’œuvre. Donc ce qui compte en fait dans ce film c’est l’atmosphère, le climat délétère, l’épaisseur romanesque des personnages, autour d’une sombre histoire de décadence familiale. Le titre incarne aussi l’atmosphère : tout le film se déroule la nuit, une nuit sans fin dans laquelle le spectateur perd ses repères temporels.
    Juste une analyse de l’entame du film : la rencontre avec ood est en apparence la plus conventionnelle. Elle a surtout un rôle fonctionnel, et sert à lancer l’intrigue. Pourtant, on ne reverra pas le vieil homme dans une autre scène. C’est aussi une audace du film noir que de nous présenter un personnage comme fondamental pour l’oublier complètement ensuite.
    Ensuite, les dialogues sont très écrits et révèle une maîtrise de Marlowe qui dose toujours ce qu’il dit, pour savoir juste ce qu’il faut, sans trop en révéler. Quelques joutes verbales toute en retenue marquent aussi la qualité des interprètes tous issus du théâtre.
    Et puis il y a Marlowe : imperméable, chapeau, cigarette… Image d’Epinal du détective créée par Humphrey Bogard lui-même. Il est le détective de polar de cette époque, il suffit de voir le nombre de très grand film dont il fût l’interprète dans les année 40 avec ce même rôle : La Grande Evasion, Le Faucon Maltais, Casablanca, Le Port De L’Angoisse, Le Trésor De La Sierra Madre, Key Largo, Le Violent, L’Odyssée De L’African Queen, La Comtesse Aux Pieds Nus, … Il rencontra celle qui deviendra sa femme dans « Port de l’angoisse »… Les producteurs reconduiront le même couple, il fût donc associé à nouveau à la bombe de l’époque : Lauren Bacall. Cette dernière est une des femmes fatales du film. La femme fatale est un personnage subversif, perçu à travers le regard masculin, elle est maléfique et perverse. Le crime est associé à sa volonté d’indépendance. Déjà dans les vingt premières minutes, il en croise cinq, les deux sœurs, la bibliothécaire et les deux libraires. Reparlons là de la rencontre avec la seconde libraire. A l’époque le sport national est de contourner le code Hays, renforcé en 1934. Ce code, mis en place par le sénateur du même nom, institue des règles destinés à suivre la morale américaine et les bonnes mœurs. Ainsi, le sexe et la violence sont interdits. Les couples dorment dans des lits séparés, les baisers doivent être courts…La scène avec la libraire était donc assez osée même si elle nous parait peu explicite de nos jours. Howard Hawks usa aussi de tout son talent dans la scène avec la seconde libraire : plus maligne que la première d’abord montrée comme l’intellectuelle, elle devient l’emblème de la femme glamour lorsqu’elle détache ses cheveux et retire ses lunettes. L’érotisme est très suggestif dans cette scène, via les dialogues et attitudes des personnages mais aussi dans la mise en scène de Hawks. Elle tire le rideau et l’attire vers le fond de la boutique. Une ellipse, traduite par la météo et le fondu enchaîné, nous signifie qu’ils ont passé un certain temps ensemble. Mais l’exemple le plus flagrant est sans doute la scène au restaurant, au milieu du film, où Bogart et Bacall utilisent la métaphore hippique pour faire allusion à l’acte sexuel, dans une conversation amoureuse qui en devient presque indécente pour l’époque.
    Voilà quelques arguments et axes de lecture pour donner envie de voir un film référence alambiqué au possible. J’aime le parallèle avec « Mulholland drive » : film dont on a rien compris au final, mais dans lequel on ne s’ennuie pas et dont on sort conquis… Car l’intrigue nous tient en haleine même si elle n’est pas le film.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    134 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2013
    Outre son couple mythique Lauren Bacall / Humphrey Bogart, Le Grand Sommeil tire ses lettres de noblesse d'innombrables interrogations soulevées par une intrigue compliquée - incompréhensible diront certains - qui naquit dans l'esprit torturé de l'immense Raymond Chandler.

    C'est pourquoi me vient l'idée saugrenue et maso d'en démêler le fil souterrain, la succession des noeuds psychanalytiques d'une narration pas si abstraite, où l'improvisation n'est pas, loin s'en faut, l'ingrédient essentiel du résultat obtenu.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 octobre 2012
    Ce qui fait la force de ce film, outre le duo Bacall/Bogart, c'est son intrigue hyper complexe ; la recherche d'un maître chanteur, dans un milieu de truands trempant dans des magouilles et affaires louches qui rend crédible le travail d'investigation de Bogart. Immédiatement, on sait que le peu d'infos va poussé le flic dans une affaire pas comme les autres.
    On est loin des pales copies du genre policier "un corps=un meurtre=un truand à faire tomber".
    Le genre, "film noir" est très bien exploité ; le flic séducteur, désabusé et cynique et la femme fatale aux multiples facettes dans une intrigue où aucun élément sur la route des personnages ne semble lié au suivant, et pourtant ... C'est ce qui fait la réussite du flm ; ils ignorent où ils mettent les pieds, et l'ambiance oppressante s’installe.
    Sa complexité en fait aussi un point détesté par de nombreux cinéphiles. Pourtant, on est loin du trop classique flic qui n'a qu'à se baisser pour trouver une indice, ou bien interroger une prostituée/un indic pour avoir une info. Ici, Bogart joue contre la montre et n'a pas le temps de se poser pour démêler le vrai du faux.
    La mise en scène ne peut qu'être appréciée ; les mouvements de caméra, jeux des acteurs. Le tout est très efficace, un chef-d'oeuvre !
    Alexarod
    Alexarod

    276 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 février 2014
    Encore un film où Humphrey joue un détective, certes mais ça lui colle à la peau, il peut faire autre chose mais ce sont ces rôles qui lui conviennent le mieux, pourquoi s’en priver ? Par contre on se retrouve là avec un « faucon maltais » de moins bonne facture. En effet, c’est plus compliqué, il y a plus de dialogues, plus de personnages, on se perd encore plus vite et l’intrigue a encore plus de mal à s’installer.
    Par contre le casting y est meilleur, Lauren Bacall s’en tirant mieux que Mary Astor, même si son personnage n’est pas vraiment une réussite (elle tombe dans les bras du détective on ne sait comment, puis elle fait parfois tapisserie). Humphrey restant bon, autour de lui c’est plus clairsemé niveau acting. L’histoire est simple, pas facile à comprendre mais peu recherchée, comme la trame. L’image et le noir et blanc sont toujours bien traités mais les jeux de lumières sont absents, ou mal fait puisque ça devient nébuleux par moments. Rien de spécial à signaler concernant la musique ou la qualité des dialogues (hormis les sous entendus sexuels à un moment). Quant au rythme il est trop cassé par les interminables discours, cela n’aide pas à accrocher. Si on rajoute pas mal de longueurs on peut vite s’ennuyer, mais les amateurs de films noirs s’y retrouveront car tous les codes y sont. Je me demande quand même si le livre ne serait pas meilleur que l’adaptation ciné, déjà…
    Akamaru
    Akamaru

    3 088 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 août 2012
    2 ans après "Le port de l'angoisse",le trio Hawks/Bogart/Bacall se retrouvait pour un nouveau film noir tout aussi mythique."Le grand sommeil"(1946)est donc une adaptation d'un roman noir de Raymond Chandler,mettant en scène le fameux détective privé,Philip Marlowe,aussi cynique et désabusé,que séducteur et vif.Humphrey Bogart est évidemment parfait dans ce rôle là.Il est impressionnant de calme et de charisme.Son alchimie à l'écran avec Lauren Bacall(son épouse à la ville)est un tel point fort,que le film fut remonté spécifiquement à cet effet.Revers de la médaille:l'intrigue déjà extrêmement embrouillée,s'en retouve incompréhensible.Tout juste a t-on le loisir de comprendre que cela concerne la corruption du Los Angeles des années 40,entre truands,nymphettes et policiers.Howard Hawks préfère mettre l'accent sur les archétypes du genre,tout en oubliant volontairement la voix-off ou les flash-backs.Le temps passe très vite,tant on suit Bogart,son enquête,ses rencontres et ses malheurs avec jubilation.Bacall,20 ans,était d'un aplomb rare avec ses yeux perçants et sa voix grave.Un sommet du genre évidemment.
    Julien D
    Julien D

    1 195 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2014
    Même si, du propre aveu de son réalisateur, l’intrigue issu du roman et les coupes que dut lui faire faire le code Hayes rendent Le grand sommeil terriblement difficile à entièrement comprendre, avec ses questions laissées sans réponses et ses fausses pistes qui se multiplient, il n’en reste pas moins un classique incontournable du film noir des années 40-50 qui accumule les archétypes et les codes du genre. Première d’une longue série d’adaptations des romans de Raymond Chandler, ce film culte marque surtout la seconde collaboration entre le duo Bogart-Bacall et le réalisateur Howard Hawkes dans laquelle le célèbre réalisateur fera tout pour créer un parfait équilibre entre une ambiance générale très sombre et oppressante et une très forte intensité sensuelle entre les deux acteurs dans leurs échanges verbaux et notamment lors d’une métaphore aux courses de chevaux qui passa entre les filets de la censure. En plus d’avoir offert aux deux acteurs des rôles qui marqueront leur carrière, ce polar noir impose tous les personnages clichés d’un genre aux prémices de son âge d’or.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 juillet 2012
    Ensemble très intéressant et très abouti. "Le grand sommeil" fait certainement parti des meilleurs films noirs de tous les temps, autant pour son scénario complètement fou et décousu (mais décousu n'est ici pas à comprendre comme un défaut) et sa mise en scène de grande qualité. Le titre déjà résume bien le film mais également le genre du film noir : le grand sommeil ce qui pourrait s'apparenter à la mort dans un premier temps. Mais également à l'ignorance contre laquelle Bogart va combattre, en évitant tous les rouages de la société : argent, femmes, alcool... Au cours de l'oeuvre, c'est contre ce grand sommeil que Bogart va combattre pour qu'enfin survienne la vérité, le réveil... Voilà ce qui pourrait offrir déjà quelques perspectives d'analyse. C'est dans cela que réside toute la beauté réfléxitive des films noirs, et Hawks a parfaitement compris : la recherche de la vérité contre le mensonge, les préjugés... Le combat pour le triomphe de la vérité. Ainsi tout le film se construit autour de ce combat : celui ci commence de manière très mystérieuse avec des plans qui me semblent beaucoup plus typiques de la puissance du faux que de l'image action. Un travelling accompagne Bogart, et celui ci plonge ainsi au coeur du grand sommeil d'une manière très imagée : la transpiration, l'alcool... Concernant la mise en scène, on ne peut qu'apprécier son esthétisme et son efficacité. Esthétisme dans le mouvement (très beaux mouvements de caméra, découpage précis et original) mais également dans les plans qui sont tous très bien construits et élaborés. On appéciera également la performance des acteurs, notamment de Bogart parfaitement dirigé par Hawks, qui se lache tout en restant extrêmement concentré. Mais également de certains acteurs moins importants dans le film, comme celui qui interprète Jones. Il marque dans les quelques scènes où il apparait. Ou encore celui qui interprète Canino... Excellente performance globale donc. La musique, de qualité correcte avouons le, est cependant très bien utilisée. Au final, le grand sommeil est un grand film pour de nombreuses raisons. Il pourra être apprécié par le public cinéphile pour sa valeur artistique et son intêret réflexitif ;mais également par un public plus vaste, parcequ'il faut tout de même le dire : impossible de s'ennuyer plus d'une seconde!
    matt240490
    matt240490

    83 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    Le Grand Sommeil, du "grand" Howard Hawks, est un policier comme on en fait que trop rarement de nos jours. Et pour cause, le scénario, le jeu d'acteur et la mise en scène sont solides, bien qu'il faille s'accrocher un peu pour ne pas perdre le fil dans ce labyrinthe de noms et de lieux. Ainsi, c'est un compagnie de Humphrey Bogart et de Lauren Bacall que le spectateur suit les péripéties de cette enquête, déjà fort choquante pour l'époque, où chaque détail compte. C'est alors subjugué par le show que l'on ressort du métrage, rarement ralenti par quelques temps morts, et où les soubresauts musicaux prennent toute l'importance qui leur est due. Proche d'un Hitchcock, le métrage n'aura jamais aussi bien porté son manteau fait de noir et de blanc.
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    30 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2012
    The Big Sleep a tout pour être (et est d'ailleurs) considéré comme un chef d'oeuvre absolu du film noir pour beaucoup de monde. Il faut dire que celui-ci semble avoir été fait sur mesure pour obtenir ce titre, en particulier avec la présence de Humphrey Bogart au casting, le détective en imperméable par excellence dans le hollywood des années 40 ainsi que Lauren Bacall, la femme fatale que tout bon film noir se doit d'avoir pour rentrer dans les normes. Cependant, le film n'est qu'une succession de péripéties plutôt compliquées à suivre (d'ailleurs, beaucoup de noms qui se ressemblent, ça porte à confusion des fois). En résulte des longueurs assez nombreuses. L'intrigue de base, de son côté, est loin d'être mauvaise. Elle est même plutôt bonne. Mais rien à faire, impossible d'être aussi pris dedans que dans Le Faucon maltais (qui, lui, est un véritable chef-d'oeuvre du film noir) où Bogart n'en était que plus brillant.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    68 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2011
    L'adaptation de Hawks souffre malheureusement d'un scénario alambiqué qui ne prend pas son temps. La foison de personnages et les rebondissements (trop) multiples de l'intrigue sont autant de défauts largement compensés par le plaisir de découvrir le duo mythique Bacall/Bogart. La réalisation classique laisse la place aux deux acteurs et à une noirceur non dénuée d'humour servie par des dialogues savoureux.
    Buzz063
    Buzz063

    75 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 octobre 2011
    Classique du film noir et second rôle mythique pour Bogart en Philippe Marlowe, privé ayant toujours un coup d’avance sur ses adversaires et prototype du héros cool et charmeur. Il forme un couple d’anthologie avec Lauren Bacall. Sur certains points, le film de Hawks se rapproche du Faucon Maltais sorti l’année d’avant. Le réalisateur privilégie d’abord les personnages et son atmosphère au détriment de l’histoire qui elle ne tient pas debout. Cela dit, les incohérences du récit passent vite au second plan grâce au savoir-faire du metteur en scène.
    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2012
    Excellent Hawks avec le couple mythique Bogart/Bacall sur un bon scénario aidé de Faulkner. On prend plaisir à visionner ce grand classique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 juin 2011
    Quelle complexité ! C'est ce qui ressort instinctivement du visionnage de ce classique d'Howard Hawks. Car malgré un duo d'acteur devenu culte (Bogart/Bacall), The Big Sleep déçoit fortement par un scénario à l'aspect tellement complexe qu'il en est incompréhensible. Reste les images et la mise en scène du cinéaste, tous deux impeccables.
    bsalvert
    bsalvert

    405 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 mai 2011
    Pour les amateurs de Humphrey Bogart, ce film est surement génial. Mais pour les autres dont je fais parti, il est inutile d'essayer de rentrer dedans.
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