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    Le Grand sommeil
    Note moyenne
    3,9
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    118 critiques spectateurs

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    Romain Z
    Romain Z

    13 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2021
    Nouveau numéro des duettistes/Tourtereaux , un peu artificiel à mon gout. Reste que Hawks s'approprie les codes du film noir de manière assez bluffante puisqu'il parvient à faire de son film ça et là , une comédie incroyablement dévergondée. A ce titre la galerie de seconds rôles féminins est assez éloquente et représentative de la femme "hawksienne" affranchie et déterminée.
    Run
    Run

    3 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mars 2021
    Humphrey Bogart fascinant comme toujours. Il illumine chaque scène de son charisme de détective privé. L'enquête est agréable à suivre mais pas son sujet (Un chantage qui se complexifie). De jolies femmes à travers le film. De belles images N&B, particulièrement la scène sous la pluie à la campagne et celle sur le port. Dommage que l'intrigue ne soit pas intéressante. L'exécution est réussie mais le sujet m'ennuie profondément. C'est peut-être ça, le grand sommeil.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2021
    Mis en scène par Howard Hawks, un grand classique du film noir, à l'ambiance sombre, avec ses personnages énigmatiques et le couple mythique Bogart/Bacall, mais desservi par une intrigue confuse et peu captivante.
    bobmorane63
    bobmorane63

    187 abonnés 1 961 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2021
    Le cinéaste Howard Hawks a touché durant sa carrière à plusieurs genres et le film noir lui va bien !! Résumer "Le grand sommeil" serait chose peu possible, je pense qu'un deuxième visionnage serait recommandé à cela car le scénario de ce long métrage est très complexe dans le déroulement des intrigues, il y en a beaucoup et je me suis perdu quelques fois. Ceci dit, j'ai bien aimé la mise en scène d'Howard Hawks qui retranscrit bien l'atmosphère du genre polar à l'ancienne qui vieillit bien mème si ça date de 1946. Il est aidé par la musique captivante de Max Steiner. Ce film est doté aussi d'un excellent casting comme Humphrey Bogart remarquable en détective privé qui a d'abord une petite enquète sur deux soeurs d'un riche homme qui va prendre une ampleur plus énorme par la suite avec Lauren Bacall à ses cotés énigmatique et charmante, la jeune Dorothy Malone, plus de très bons seconds roles. Une oeuvre riche en rebondissements qui faut bien suivre.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 1 995 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2020
    Alors oui tous les codes du film noir sont bien présents des impers ruisselant de pluie aux mystérieuses femmes fatales en passant par le cynique détective taiseux et l'ambiance un peu poisseuse mais les multiples rebondissements finissent par ennuyer, d'autant que des éléments clés du livre ont été tus pour complaire au code Hays (les motivations d'un associé homosexuel et les implications pornographiques d'une nymphomane) ce qui opacifie l'intrigue que même le scénariste et l'auteur lui-même ne sont pas sûrs d'avoir parfaitement saisie... Ajoutez à cela un service minimum de la part de Lauren Bacall dont le couple formé avec Humphrey Bogart ressemble trop à celui du Port de l'Angoisse et la lassitude exprimée par cette note vous sera compréhensible!
    Max Rss
    Max Rss

    197 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2020
    Avec ce film, j'ai une relation bien particulière. Comme tout le monde, j'ai toujours trouvé que le scénario était d'une immense complexité, les personnages, les intérêts des uns et des autres se mélangeant dans un véritable salmigondis. Le sac de noeuds étant tel qu'il faudrait avoir un répertoire près de soi et prendre des notes pour ne pas perdre le fil. Hawks lui-même a un jour reconnu qu'il n'avait jamais compris l'histoire du film. Tout comme William Faulkner, l'un des scénaristes. Et, visiblement, même Raymond Chandler, pourtant auteur du livre éponyme, n'était pas tout à fait sûr de son fait. Voyez-vous, si on est du genre à tenir impérativement au scénario (à sa lisibilité), alors, "Le grand sommeil" est un véritable enfer. Moi ? Malgré cette histoire tortueuse à souhait, c'est la quatrième fois que je reviens vers ce film. Qu'est-ce qui m'attire ? L'atmosphère les mecs, l'atmosphère, tout simplement ! De la première à la dernière minute, ça ne débranche pas une seconde. Rien que lorsque Marlowe et le Général discutent dans la serre, on peut aisément sentir la chaleur qui les accable. Et tout le long c'est comme ça. Si bien qu'on a toujours l'impression de coller aux basques de Marlowe. Et ça, ça n'est valable que si il y a une bonne mise en scène, ce qui est, vous l'avez compris, tout à fait le cas. Le film ne s'embarrasse pas de bavardages inutiles (comme c'était le cas dans "Le port de l'angoisse"), c'est du direct, on ne perd pas de temps. Du coup, pas le moindre soupçon d'ennui. On aurait pu le craindre lors des échanges entre Bogart et Bacall, mais ça n'arrive jamais tant leurs dialogues regorgent de sous-entendus scabreux ayant réussi à échapper à la censure appliquée par le Code Hayes. Et tiens, vu que l'on parle de Bogart, il est, il faut le dire, l'autre atout fort du film. On connaît son jeu sur le bout des doigts, mais il ne l'a jamais aussi bien joué que dans ce film. Tout comme il n'a jamais été aussi imposant et tout comme il n'a jamais été aussi classe. On aurait pu lui faire dire n'importe quelle gauloiserie qu'il en serait sorti complètement immaculé. Alors, "Le grand sommeil", meilleur film noir de tous les temps ? Si l'on s'en tient strictement au plan scénaristique, il est évident que non, mais en terme d'atmosphère, il est assurément dans les premières places du panier.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 janvier 2020
    Les dialogues sont des perles de bout en bout et les acteurs leur font honneur. J’ai beaucoup aimé la première demi-heure, qui pose l’atmosphère et installe cet univers complètement irréaliste où chaque indice prend la forme d’une jolie fille que la classe de Bogart fait instantanément baver d’envie. Il y a une vraie classe qui se dégage du film et de sa façon d’embrasser avec désinvolture les clichés du genre. Reste que les scénarios de film noir m’ennuient toujours. Ici, la 2e heure est une longue suite de scènes d’action répétitives, entre coups de feu et coups de téléphone, et j’ai fini par me désintéresser complètement de l’intrigue policière.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Autant l'avouer tout de go : "Le Grand Sommeil" est incompréhensible. L'intrigue est sans doute bien ficelée mais on peine tant à la comprendre que l'on finit par se laisser porter par ce film sans en suivre réellement l'histoire, peut-être est-ce le but d'Howard Hawks ? L'essentiel n'est donc pas là. Ce film noir reste agréable pour ses sous-entendus grivois échangés par Bogart et Lauren Bacall, couple mythique sur l'écran comme à la ville. Mais son charme indéniable ne suffit pas à faire oublier son scénario obscure écrit par William Faulkner, qui laisse le spectateur désorienté, voire légèrement frustré. De plus, sa réalisation se révêle être moins esthétique que d'autres classiques du genre, comme "Assurance sur la mort".
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    Ti Nou
    Ti Nou

    491 abonnés 3 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2018
    On retrouve dans "Le grand sommeil" tous les éléments du polar : l’intrigue à tiroir riche en rebondissements, les personnages sombres et torturés en plein doute, les décors embrumés... Un grand classique du genre porté par un Humphrey Bogart ténébreux à souhait.
    Eselce
    Eselce

    1 386 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2018
    Pas mauvais, surtout concernant le duo Bogart / Bacall lorsqu'on sait qu'ils sont mariés dans la vie. L'enquête est bonne, le scénario travaillé avec beaucoup de mise en scène suggestive. Pas mal, sans doute un peu long et poussé par le zèle du détective.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    588 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2017
    A plus d’un titre ce film est intéressant. En 1960 il fallait le voir et faire semblant de tout comprendre au risque de passer pour ne rien connaître du grand cinéma. Aujourd’hui, Il demeure important pour sa place dans l’histoire du film noir. Sur la mort qui plane (le grand sommeil) et son absence d’attachement à tout personnage. Pour le jeu des acteurs et la qualité de la mise en scène dans les différentes séquences qui le parsèment (à ce petit jeu ma préférence va à celle de la libraire). Pour son érotisme intellectuel particulièrement vif (chaque femme rencontrée souhaite revoir Marlowe en privé pour une heure) et sa pudeur visuelle. Seulement voilà, le grand cinéma c’est bien autre chose et ce n’est pas Hawks qui aurait dit le contraire. Avec du talent, un réalisateur peut tout faire mais il n’a pas le droit de se moquer des spectateurs à ce point. La fascinante beauté de Lauren Bacall (jamais elle ne sera image féminine plus parfaite) n’excuse pas l’embrouillamini de cette histoire qui n’est en aucun cas un scénario et si on n'est pas cinéphile indéfectible, on ne peut y trouver d'attrait.
    Estonius
    Estonius

    3 315 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 octobre 2016
    Un film réussi doit être compréhensible (il n'est nul nécessaire de tout comprendre de suite, mais à la fin tout doit devenir clair). Il doit aussi être compréhensible de par sa simple vision : c’est-à-dire sans être obligé de le revoir x fois, de prendre des notes, de lire les ouvrages spécialisés ou le roman qui l'a inspiré. Or nous avons ici un scénario confus et il l'est dès le départ quand le vieux commence à parler à Bogart de "Pierre, Paul Jacques" sans que l'on sache exactement qui ils sont et ce qu'ils manigancent. Présenter trop de personnages en même temps est une faute de narration classique, Hawk tombe en plein dedans, il réitère la même faute dans une interminable scène de blabla où il est encore question de "Pierre, Paul Jacques" (pas forcément les mêmes). La légende de ce film repose sur son affiche, le couple Bogart Bacall étant là pour attirer les foules, les foules sont venues, ensuite les critiques ont encensé Hawks… Pourtant si la direction d'acteurs est très bonne, si Bogart (qui fait du Bogart) est bon, Bacall nous fait du service minimum et osons le dire n'est même pas particulièrement sexy. Martha Vickers est bien plus sensuelle et Dorothy Malone est bien plus glamour. L'action à laquelle (au risque de nous répéter) on ne comprend rien (quel est l'objet du chantage ?) va de rebondissement en rebondissement avec ses faux traîtres et ses vrais traîtres et quand c'est fini ça recommence… A force c'en est lassant. Il faudra un jour admettre qu'Hawks fut un réalisateur moyen, ses derniers films sont catastrophiques, ses seuls réussites étant l'impossible Monsieur Bébé et Scarface (lequel doit essentiellement à Howard Hugues)
    Napoléon
    Napoléon

    140 abonnés 1 563 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juillet 2016
    Une histoire bien menée qui captive rapidement, mais qui par la suite, devient soit malheureusement soit intelligemment extrêmement complexe ou incompréhensible. Après la scène finale est bien gérée.
    dougray
    dougray

    237 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 janvier 2016
    Adaptation du roman de Raymond Chandler, "Le Grand Sommeil" doit sa renommée à la figure archétypale du détective privé qu’il a su imposer (cool, pugnace, inébranlable, chapeau vissé sur la tête, cigarette clouée à la bouche, regard distant sur le monde qui l’entoure…) et à la prestation de sa star Humphrey Bogart. Véritable incarnation de la classe à l’ancienne, l’acteur, qui avait ébloui le public dans "Casablanca", parvient, une nouvelle fois, à transcender son personnage, grâce à une prestation tout en cynisme désabusé et à des tics de jeu payants (son toucher d’oreille comme gimmick tellement cool). Il est, sans surprise, l’attraction principale du film, dont il est pratiquement de tous les plans et peut compter sur des dialogues très réussis qui nourrissent ce personnage qui rien ne semble atteindre. Il doit, pourtant, faire face à un adversaire de choix en la personne de l’intrigante Lauren Bacall qui campe une jeune fille de bonne famille au comportement troublant dont le héros ne manquera pas de s’éprendre. Loin de se laisser marcher dessus par l’aura de Bogart, l’actrice fait montre de tout son talent et de son incroyable présence hypnotique. A ce titre, les scènes romantiques du film (qui sont des passages obligés de ce genre de production et qui ont, la plupart du temps, très mal vieillis avec leurs dialogues niais et leur musique grandiloquente) sont moins kitsch que d’habitude, ce qui s’expliquent par le caractère des deux personnages qui s’affrontent à coups de répliques tranchantes, bien plus originales qu’une promesse d’amour enflammée. Face à une telle affiche, le reste du casting marque, forcément, moins les esprits même s’il n’a pas à rougir (John Ridgely en méchant manipulateur, Martha Vickers en sœur dépravée, Dorothy Malone en libraire open, Charles Waldron en vieux patriarche inquiet…). Pour autant, La Grand sommeil m’a un peu laissé sur ma faim… Et la faute en incombe à la structure du scénario ou, plutôt, à sa complexité un peu artificielle au vu de l’intrigue traitée. Il s’agit, en effet, d’une enquête de détective somme toute banale, magnifiée par l’interprétation de ses acteurs et les motivations de ses personnages. Or, le scénario multiplie les intervenants et les sous-intrigues spoiler: (le chantage contre Carmen et la découverte de sa vie dissolue, la mort mystérieuse du maître chanteur, le lien unissant Vivian et Eddie Mars, le rôle du chauffeur ou de la femme d’Eddie Mars…)
    , ne se montre pas forcément clair sur les tenants et les aboutissants de l’intrigue et perd, accessoirement, des personnages en cours de route (à commencer par la libraire ou le Général Sternwood, qui semblaient plein de promesses et qui n’ont droit qu’à une ou deux scènes). Le choix de scinder le film en deux spoiler: (l’enquête sur Carmen puis sur Vivian)
    n’aide, d’ailleurs, pas forcément à éclaircir les choses… Il semblerait que le film ait souffert de certaines coupes exigées par la Code Hays… ce qui expliquerait, effectivement, ce manque de clarté générale et l’étonnante chasteté formelle qui tranche avec certaines évocations spoiler: (le personnage de Carmen qui s’adonne à la pornographie amateur, en plus d’être nymphomane et toxico, les allusions très chargées entre Marlowe et Vivian qui ne s’échangent pourtant que deux baisers assez brefs, les deux hommes de main de Mars qui seraient plus que des collègues…).
    C’est ce qui m’a empêché d’être totalement emballé par le film qui recèle pourtant de très bons moments (telle que l’incroyable scène de la véranda ou Marlowe sue à grosses gouttes) et s’autorise même des moments assez drôles (voir les répliques de Marlowe, roi de la cool attitude). Quant à al réalisation d’Howard Hawks, elle est d’une grande élégance, ce qui n’est pas vraiment une surprise. "Le Grand Sommeil" est, donc, un film à voir comme l’une des pierres fondatrices d’un genre à part entière (le film de détective des années 50) qui trouve écho aujourd’hui encore… pour peu qu’on accepte de ne pas tout comprendre au scénario.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Je tiens à souligner que comme une grande partie des gens qui ont vu le film (sans lire le livre), je n'ai quasiment rien compris. A des moments j'avais l'impression de comprendre, du moins le petit bout de film que je regardais, mais au final je n'ai pas capté grand chose (du fait qu'il y a beaucoup trop de personnages et que ça va souvent trop vite). Alors il serait légitime de se demander pourquoi ma note est si élevée. Eh bien il y a dans ce film une ambiance vraiment prenante, malgré le fait que ce soit incompréhensible, ce qui est assez paradoxal. J'avais envie de suivre ce détective classe et cynique, j'avais envie d'être plongé dans cet univers sombre, et le film m'a donné ce que je voulais. Les acteurs sont tous très bons, on retiendra surtout le duo Bogart/Bacall. Les dialogues sont également très bien écrits (et, marrant, bourrés de sous-entendus sexuels)... C'est vraiment prenant et jamais ennuyeux, malgré le fouillis qu'est l'intrigue.
    Un film noir somme toute efficace, je conseillerais à ceux qui veulent le voir de ne pas chercher à le comprendre.
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