Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Ghighi19
70 abonnés
1 888 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 15 décembre 2023
Dans la série nanar en voilà un qui n est pas si raté. Bon il y a Bernard Menez qui fait bien ce qu'il peut mais quel plaisir de voir Christopher Lee jouer une nouvelle fois un vampire . Le vrai souci vient que c est une comédie...pas drôle et sans doute assez longue ...trop même. A la fois on peut prendre un certain plaisir à le revoir .
Comment Édouard Molinaro à qui l'on doit les cultissimes Oscar et Hibernatus à-t-il pu réaliser une telle daube (qu'il reniera d'ailleurs). Dans ce film débile a souhait, Menez qui n'a jamais été très bon a part chez Lautner, est pitoyable. Et l'on croit rêver quand on voit Christopher Lee au casting de ce navet monumental. D'après Wiki c'est la toute dernière fois que Christopher Lee incarne un rôle de vampire au cinéma et on ne peut que le comprendre quand on a vu ce truc...Chose incroyable, Molinaro a réussi une parodie qui est pire que Le Bal des vampires. À sauver: les décors, la très belle musique de Cosma et bizarrement la réalisation, car c'est très bien filmé, donc 1,5 étoile. Mais comme je dis toujours, il en faut pour tous les gouts...:)
On a envie d'être indulgent avec ce film parce qu'il y a Christopher Lee avec sa classe dans un rôle quelque peu décalé, et puis il y a le joli minois de Marie-Hélène Breillat. Pourtant, force est de constater que ce n'est pas bon, malgré une amorce dans une ambiance très "Hammer", le film ne décolle jamais, ça se traîne et les gags d'une lourdeur pachydermique ne fonctionnent jamais. Sans doute est-ce la faute du scénario issu d'un roman de Claude Koltz, auteur surestimé à la mode à l'époque et aujourd'hui retombé dans l'oubli.
Christopher Lee, le plus somptueux et raffiné des Dracula (après Béla Lugosi pour certains évidemment), se retrouve avec le pire des boulets constamment accroché à sa cheville : son fils (interprété par Menez). Loin d'être aussi talentueux que son père dans l'art d'hypnotiser et vider de leur sang ses victimes , il enchaîne les gaffes, parfois hilarantes comme l'attaque de la grand-mère qui se termine en aide à porter son sac, et s'entiche même plutôt des humains. Les rôles sont faits sur mesure mais hélas les gags sont trop rares et le fait de casser l'image de Dracula pour en faire un papa-poule est originale mais peut déplaire si l'on adore les classiques. Les thèmes musicaux sont passables et vite oubliés. La fin, plus que prévisible, est tout de même assez drôle et tragique à la fois. Un bon mélange mais trop inégal pour en faire un très bon film. À voir par curiosité ou pour la légèreté.
Dracula père et fils n'est pas si mauvais que ça, je m'attendais plus ou moins à un nanar et si l'ensemble se regarde sans véritable enthousiasme ça se regarde aussi sans jamais s'ennuyer. Le meilleur du film c'est sans doute l'ouverture qui à ma surprise est très proche dans son style d'un film de la Hammer puis ensuite ça vire à la parodie et ça se gâte parfois, mine de rien ce Dracula père et fils critique un peu le système d'immigration de la France mais ça reste avant tout une comédie avec quelques situations amusantes d'autres limitées. Christopher Lee est toujours impeccable, la fin n'est pas celle que je m'attendais, une curiosité à voir cependant je peux comprendre que Dracula père et fils soit devenu un film oublié.
14 054 abonnés
12 481 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 18 février 2016
L'immense Christopher Lee et le benêt Bernard Menez chez Edouard Molinaro ? Non, ce n'est pas un rêve! Mais plutôt une parodie des films de Dracula totalement farfelue qu'il faut voir au 36e degrè! D'ailleurs le titre et le casting sont suffisamment èloquents pour comprendre que cette comèdie ne casse pas beaucoup de dents au prince des tènèbres! Dans les seventies (nous sommes ici en 1976), le mythe vampirique, bousculè dans ses derniers retranchements, en prend un sèrieux coup et les rèalisateurs ne savent plus trop quoi faire pour redorer son blason! Être fascinant et terrifiant à la fois, le vampire chez Molinaro ne s'oublie pas aussi facilement! Dotè de gags dèlirants (la poupèe gonflable, la scène de la boucherie...), "Dracula père et fils" fait pourtant dans le navet en tentant sans grand succès d'accommoder le mythe Dracula à la sauce humoristique! C'est anecdotique mais Christopher Lee s'opposa même à la Gaumont pour que le film de Molinaro ne porte pas le nom de Dracula dans son titre! Figuration de Gèrard Jugnot, Raymond Bussières, Marthe Villalonga, Jean-François Dèrec...et musique de Vladimir Cosma...
Le réalisateur de l'Emmerdeur réinvente le mythe du vampire. Christopher Lee interprète pour la dernière fois son rôle d'immortel. Gérard Jungot joue un rôle secondaire très marrant. Le tournage s'est déroulé en France. Bernard Menez est hilarant dans ce pastiche parodiant la maison Hammer .
Petit film vraiment pas intéressant pour un sou. Difficile à comprendre pourquoi et comment le grand Christopher Lee c’est fait embarquer dans cette aventure? Le film se veut parodique et comique mais ne parvient pas à nous faire esquisser le moindre début de rictus. La trame scénaristique est très limitée et l’ennui prend très rapidement le pas sur la curiosité du début. Côté réalisation et technique, le constat est encore plus médiocre puisque la mise en image est très moyenne et sans aucune imagination, le réalisateur semble faire le strict minimum. L’image est de plus très moche (mal vieillie?) et l’utilisation de filtre pour simuler les scènes de nuit (c.-à-d. quasi la totalité du film) est du plus moche effet. On passe aussi notre chemin au niveau de la performance des acteurs, Bernard Menez en tête, et des maquillages corrects mais pas extraordinaires. En clair, pas un nanard, car le film se prend trop au sérieux pour être involontairement comique, mais un film chiant sans aucun intérêt. Un film donc dispensable que je vous conseil d’éviter.
Dracula père et fils n’est pas une très grande réussite. Derrière la caméra on retrouve Edouard Molinaro qui ne fait pas beaucoup d’effort du côté de la mise en scène. Le scénario ne m’a pas du tout plu, je ne vois pas Dracula comme ça. J’ajoute que le film est assez ennuyeux et que malgré la belle distribution avec notamment à l’affiche du film Christopher Lee, Bernard Ménez ou encore Raymond Bussières le film est un échec, 06 / 20.
Débutant avec quelques trouvailles amusantes, notamment des vampires bien établis dans leur chateau chassés par la révolution communiste, "Dracula, père et fils" se révèle bien vite fade dès que l'on se centre sur Bernard Menez, et ce malgré la présence de Christopher Lee tournant en dérision son personnage joué et rejoué de Dracula. En somme, un semi-navet dont l'oublié de marquera pas grand monde.
Cette comédie de la fin des années 1970 ne joue hélas pas dans la finesse. En effet les gags sont convenus, répétitifs et assez lourds. Par conséquent, ce film sur l'éternel Dracula voulant lui inventer une histoire saugrenue "Dracula! Père, Fils !" se révèle être un véritable navet.