Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Excessif
par Romain Le Vern
Un premier film qui enregistre impassiblement l'horreur et le malaise. Très fort.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette première oeuvre étouffante, inspirée de faits réels, prend son sujet à bras-le-corps sans voyeurisme. Entre des images d'une froideur clinique digne de Michael Haneke et des cadrages serrés proches de Gus Van Sant, le réalisateur a trouvé sa propre identité pour restituer ce traumatisme.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Stéphane Caillet
Franco filme avec une belle retenue les rapports complexes et symbiotiques qui lient deux individus touchés par un fait innommable, en cherchant plus particulièrement à disserter sur l'adolescence et ses frustrations.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Autant de tourments, complexes et tabous, que Michel Franco affronte avec une saine distance, sans hystérie ni trémolos, mais avec une lucidité rare.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Stéphanie Lamone
Pour son premier film, le mexicain Michel Franco frappe très fort. Sans jamais être crapuleux, il n'élude cependant rien...
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
voir le site
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Samuel Douhaire
L'énergie radieuse de Marimar Vega (...) et la sobriété de Dario Yazbek Bernal (...) contribuent à la réussite de ce film aussi dépouillé que vibrant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Jean Roy
Petit budget et grand sujet pour un premier long métrage mexicain dont on ne sort pas indemne tant la brutalité de ce qu'il raconte est traumatisante.
Libération
par La rédaction
Images glacées à la Haneke, cruauté et moralisme plus ou moins mal réglé pour ce premier long-métrage présenté l'an dernier à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On se demande pourquoi le cinéma mexicain ne parvient pas à construire des drames nuancés sans confondre les rubriques société et psychologie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Excessif
Un premier film qui enregistre impassiblement l'horreur et le malaise. Très fort.
20 Minutes
Cette première oeuvre étouffante, inspirée de faits réels, prend son sujet à bras-le-corps sans voyeurisme. Entre des images d'une froideur clinique digne de Michael Haneke et des cadrages serrés proches de Gus Van Sant, le réalisateur a trouvé sa propre identité pour restituer ce traumatisme.
Critikat.com
Franco filme avec une belle retenue les rapports complexes et symbiotiques qui lient deux individus touchés par un fait innommable, en cherchant plus particulièrement à disserter sur l'adolescence et ses frustrations.
Le Monde
Autant de tourments, complexes et tabous, que Michel Franco affronte avec une saine distance, sans hystérie ni trémolos, mais avec une lucidité rare.
Première
Pour son premier film, le mexicain Michel Franco frappe très fort. Sans jamais être crapuleux, il n'élude cependant rien...
Studio Ciné Live
voir le site
Télérama
L'énergie radieuse de Marimar Vega (...) et la sobriété de Dario Yazbek Bernal (...) contribuent à la réussite de ce film aussi dépouillé que vibrant.
L'Humanité
Petit budget et grand sujet pour un premier long métrage mexicain dont on ne sort pas indemne tant la brutalité de ce qu'il raconte est traumatisante.
Libération
Images glacées à la Haneke, cruauté et moralisme plus ou moins mal réglé pour ce premier long-métrage présenté l'an dernier à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes.
Les Inrockuptibles
On se demande pourquoi le cinéma mexicain ne parvient pas à construire des drames nuancés sans confondre les rubriques société et psychologie.