Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Critikat.com
par Arnaud Hée
Les femmes de ses amis sont peut-être les siennes, ou celles de son personnage ; la seule certitude, de taille, est qu'avec Hong Sang-soo, on dispose d'un compagnon de cinéma des plus fidèles et précieux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
On a parfois comparé le cinéma d'Hong Sang-soo à celui d'Eric Rohmer. (...) Tout autant que chez l'auteur des Nuits de la pleine lune, Hong Sang-soo traque la capacité de ses personnages à vivre de significations imaginaires, à noyer sous les mots la vérité des sentiments et des pulsions, à parler le réel pour mieux le perdre par une sorte de fatalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Le "si tu savais tout" qui ouvre le film semble alors se prolonger et se conclure par un ironique "tu ne saurais rien", tel un serpent qui se mord la queue, car le doute règne en maître sur ce conte métaphysique et trivial d'une lucidité moite et hallucinée effroyablement hilarante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Les Femmes de mes amis est le film d'un cinéaste dans la parfaite maîtrise de ses moyens, suffisamment sûr de lui pour jouer sa partition l'air de ne pas y toucher, sans effets de manche, discrètement acide sans jamais manquer d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Positif
par Hubert Niogret
Passant ainsi d'une variante presque musicale dans un univers reconnu (...) à son contre-pied pour surprendre le spectateur, l'auteur nous emmène par la main dans un de ses récits très personnels, dans une oeuvre inépuisable (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
On a souvent évoqué Bresson ou Ozu à propos du réalisateur coréen de La femme est l'avenir de l'homme. On le rapprochera plutôt ici du Pascal Bonitzer de Rien sur Robert: mêmes dérapages absurdes, même acidité dans le comique, même passivité d'un héros soumis à des événements sur lesquels il n'a aucune prise. Si le film s'étire un peu, il réjouit aussi.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Le cinéaste coréen a le sens de l'autodérision. (...) C'est assez rare de voir un cinéaste du rang d'Hong Sang-soo se risquer à un tel sabotage ironique.(...) Pathétique ? Non, juste euphorisant, distillé comme l'eau-de-vie, avec une pointe d'amertume.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le film s'arrête à mi-chemin de ce travail d'alchimie (...) il y manque ici et là ce second geste du repentir qui parachèverait cette mutation.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Excessif
par La Rédaction
Les Femmes de mes Amis séduira les plus fervents inconditionnels de l'humour si particulier du cinéaste. Néanmoins, par sa longueur, le ténu de ses situations et sa relative austérité générale, les moins avertis devraient reculer devant ce film qui rappelle à chaque plan la pleine singularité de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Filmsactu
par Caroline Leroy
Hong ne signe peut-être pas là son film le plus réussi mais nous offre néanmoins une oeuvre très cohérente qui au-delà des nombreuses scènes savoureuses qu'elle propose, s'avère être plus entêtante qu'elle n'en a l'air.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le film pourtant réfute le vaudeville et tisse, mine de rien, sa douce mélancolie.
Le Figaroscope
par La rédaction
Avec une ironie amusée, le coréen Hong Sang-soo montre l'envers du décor des festivals et démythifie le rôle de l'artiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Eric Loret
L'inertie, filmée de l'intérieur, ne manque pas de joyeusetés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Un propos plein d'autodérision (...) Cet état d'esprit ne suffit pas, à la longue, à nourrir un scénario qui tente de masquer sa transparence dans des bavardages interminables et répétitifs.
Première
par Alex Masson
La première partie du film peut séduire, jusqu'à ce que Sangsoo se mette en boucle, pour pérorer ad libitum sur la difficulté des êtres à communiquer entre eux.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Julien Welter
voir www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si la satire drôle et cynique peut au départ amuser, le film tourne vite aux interrogations nombrilistes sans intérêt (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Critikat.com
Les femmes de ses amis sont peut-être les siennes, ou celles de son personnage ; la seule certitude, de taille, est qu'avec Hong Sang-soo, on dispose d'un compagnon de cinéma des plus fidèles et précieux.
Le Monde
On a parfois comparé le cinéma d'Hong Sang-soo à celui d'Eric Rohmer. (...) Tout autant que chez l'auteur des Nuits de la pleine lune, Hong Sang-soo traque la capacité de ses personnages à vivre de significations imaginaires, à noyer sous les mots la vérité des sentiments et des pulsions, à parler le réel pour mieux le perdre par une sorte de fatalité.
Les Inrockuptibles
Le "si tu savais tout" qui ouvre le film semble alors se prolonger et se conclure par un ironique "tu ne saurais rien", tel un serpent qui se mord la queue, car le doute règne en maître sur ce conte métaphysique et trivial d'une lucidité moite et hallucinée effroyablement hilarante.
Chronic'art.com
Les Femmes de mes amis est le film d'un cinéaste dans la parfaite maîtrise de ses moyens, suffisamment sûr de lui pour jouer sa partition l'air de ne pas y toucher, sans effets de manche, discrètement acide sans jamais manquer d'humanité.
Positif
Passant ainsi d'une variante presque musicale dans un univers reconnu (...) à son contre-pied pour surprendre le spectateur, l'auteur nous emmène par la main dans un de ses récits très personnels, dans une oeuvre inépuisable (...).
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
On a souvent évoqué Bresson ou Ozu à propos du réalisateur coréen de La femme est l'avenir de l'homme. On le rapprochera plutôt ici du Pascal Bonitzer de Rien sur Robert: mêmes dérapages absurdes, même acidité dans le comique, même passivité d'un héros soumis à des événements sur lesquels il n'a aucune prise. Si le film s'étire un peu, il réjouit aussi.
Télérama
Le cinéaste coréen a le sens de l'autodérision. (...) C'est assez rare de voir un cinéaste du rang d'Hong Sang-soo se risquer à un tel sabotage ironique.(...) Pathétique ? Non, juste euphorisant, distillé comme l'eau-de-vie, avec une pointe d'amertume.
Cahiers du Cinéma
Le film s'arrête à mi-chemin de ce travail d'alchimie (...) il y manque ici et là ce second geste du repentir qui parachèverait cette mutation.
Excessif
Les Femmes de mes Amis séduira les plus fervents inconditionnels de l'humour si particulier du cinéaste. Néanmoins, par sa longueur, le ténu de ses situations et sa relative austérité générale, les moins avertis devraient reculer devant ce film qui rappelle à chaque plan la pleine singularité de son auteur.
Filmsactu
Hong ne signe peut-être pas là son film le plus réussi mais nous offre néanmoins une oeuvre très cohérente qui au-delà des nombreuses scènes savoureuses qu'elle propose, s'avère être plus entêtante qu'elle n'en a l'air.
L'Humanité
Le film pourtant réfute le vaudeville et tisse, mine de rien, sa douce mélancolie.
Le Figaroscope
Avec une ironie amusée, le coréen Hong Sang-soo montre l'envers du décor des festivals et démythifie le rôle de l'artiste.
Libération
L'inertie, filmée de l'intérieur, ne manque pas de joyeusetés.
Ouest France
Un propos plein d'autodérision (...) Cet état d'esprit ne suffit pas, à la longue, à nourrir un scénario qui tente de masquer sa transparence dans des bavardages interminables et répétitifs.
Première
La première partie du film peut séduire, jusqu'à ce que Sangsoo se mette en boucle, pour pérorer ad libitum sur la difficulté des êtres à communiquer entre eux.
L'Express
voir www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Si la satire drôle et cynique peut au départ amuser, le film tourne vite aux interrogations nombrilistes sans intérêt (...).