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C'est au prix de ces efforts humanistes que Canine, toujours au bord du précipice (...), ne tombe jamais dans la démonstration, le symbolisme excessif ou le moralisme froid à la Ulrich Seidl ou Lars von Trier. C'est plutot sur les terres de Fassbinder ou Pasolini que s'aventure le cinéma de Yorgos Lanthimos.
la forme adoptée est celle d'une fable presque paisible, d'une allégorie absurde, dont les postulats, relativement invraisemblables, sont développés avec une telle assurance qu'ils finissent par nous convaincre sinon de la réalité, du moins de la justesse de ce que l'on voit. (...) Lanthimos filme tout cela au cordeau, calmement, presque somptueusement (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) une tentative réussie de transposer dans la Grèce contemporaine quelques recettes surréalistes directement héritées de "L'Ange exterminateur" (Bunuel) ou du "Chateau de la pureté (Arturo Ripstein).
La critique complète est disponible sur le site Première
Un premier film étonnamment maîtrisé (...) Lanthimos semble s'être passé en boucle toute l'oeuvre de Michael Haneke, avec un Bunuel de temps en temps, à titre de récréation.
Couronné par le prix Un certain regard au dernier festival de Cannes, ce film grec curieux et dérangeant devrait intriguer les cinéphiles en général et les fans de Haneke en particulier.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Certains songent qu'ils ont tout compris et que "Canine" est une parabole sur le totalitarisme ou le capitalisme. D'autres se disent qu'il n'y a là pas grand-chose à se mettre sous la dent.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Comme toujours, quand un film vise à ce point la désincarnation, il n'est pas seulement un remède contre l'insomnie mais bien aussi un joli condensé de sociologie pour le nuls.
"Canine" baigne dans une étrangeté fascinante qui se double d'un humour glacial. Las ! Faute de donner du sens à tout ça (...), Yorgos Lanthimos finit par tomber dans la provoc gratuite.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Les Inrockuptibles
C'est au prix de ces efforts humanistes que Canine, toujours au bord du précipice (...), ne tombe jamais dans la démonstration, le symbolisme excessif ou le moralisme froid à la Ulrich Seidl ou Lars von Trier. C'est plutot sur les terres de Fassbinder ou Pasolini que s'aventure le cinéma de Yorgos Lanthimos.
Cahiers du Cinéma
Canine confirme une étonnante maîtrise formelle, encore lestée de tics, mais qui laisse entrevoir un cinéaste de premier plan.
Excessif
Ce massacre de bonnes valeurs se révèle d'une cruauté jubilatoire et il est moins question de réalisme que du petit théâtre de l'horreur.
L'Express
www.lexpress.fr
Le Monde
la forme adoptée est celle d'une fable presque paisible, d'une allégorie absurde, dont les postulats, relativement invraisemblables, sont développés avec une telle assurance qu'ils finissent par nous convaincre sinon de la réalité, du moins de la justesse de ce que l'on voit. (...) Lanthimos filme tout cela au cordeau, calmement, presque somptueusement (...).
Première
(...) une tentative réussie de transposer dans la Grèce contemporaine quelques recettes surréalistes directement héritées de "L'Ange exterminateur" (Bunuel) ou du "Chateau de la pureté (Arturo Ripstein).
L'Humanité
Un premier film étonnamment maîtrisé (...) Lanthimos semble s'être passé en boucle toute l'oeuvre de Michael Haneke, avec un Bunuel de temps en temps, à titre de récréation.
Le Figaroscope
Une démonstration dure. Proche du sordide.
Le Journal du Dimanche
Un film dérangeant.
Le Parisien
Couronné par le prix Un certain regard au dernier festival de Cannes, ce film grec curieux et dérangeant devrait intriguer les cinéphiles en général et les fans de Haneke en particulier.
Le Point
Voir le site du Point
Positif
Certains songent qu'ils ont tout compris et que "Canine" est une parabole sur le totalitarisme ou le capitalisme. D'autres se disent qu'il n'y a là pas grand-chose à se mettre sous la dent.
Studio Ciné Live
Voir sur Studio Ciné Live
Chronic'art.com
Comme toujours, quand un film vise à ce point la désincarnation, il n'est pas seulement un remède contre l'insomnie mais bien aussi un joli condensé de sociologie pour le nuls.
TéléCinéObs
"Canine" baigne dans une étrangeté fascinante qui se double d'un humour glacial. Las ! Faute de donner du sens à tout ça (...), Yorgos Lanthimos finit par tomber dans la provoc gratuite.
Télérama
Si les traits d'humour sont bienvenus, le laconisme des dialogues, assez cryptés, n'aide pas à cerner les intentions du réalisateur
Filmsactu
Une arnaque arty qui rappellera le Visitor Q de Takashi Miike : des idées emballées de façon malhonnête.