Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Le film fait s'entrelacer deux récits d'une manière magnifique, trouvant dans les souvenirs d'institutrice de Suzette l'oxygène nécessaire aux plongées répétées dans les eaux noires du secret de famille.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Gondry revient sur une histoire familiale parfois douloureuse, à la fois banale et magnifique. Lettre d'amour autant qu'autobiographie en creux d'un cinéaste épris de son art, L'Epine dans le coeur est le plus beau film de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
A travers sa tante, c'est de lui que le cinéaste parle : du terreau qui a formé son esprit d'inventeur de formes, et qui continue de le nourrir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Excessif
par La Rédaction
Le style de Michel Gondry s'installe au fur et à mesure. Pour le bonheur de ses fans.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
(...) un documentaire intimiste et émouvant (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Marie Sauvion
Film modeste et émouvant, "L'Epine dans le coeur" parle à la fois de Suzette, de sa carrière, des relations difficiles qu'elle entretient avec son fils (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
voir Le Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Comme à son habitude, le réalisateur fonce tête baissée dans la matière, donne à son documentaire (...) des allures de bric-à-brac en perpétuelle réinvention (...), et le véritable projet gondrien : retrouver dans l'art et le collectif la capacité enfantine à enchanter le réel avec trois fois rien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par La rédaction
Malgré des longueurs, le touchant témoignage de cette femme forte, moderne et fragile à la fois met au jour les usages d'antan, les émotions tues, le sens du devoir et la bonne humeur des Cévenois. Le réalisateur (...) insuffle au film un petit air de l'émission belge "Strip-tease".
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Adrien Gombeaud
La vie de Jean-Yves [Gondry] s'écoule, heureuse ou triste, bercée par son train électrique (...) Cette souffrance fait la beauté d'un film qui met parfois mal à l'aise.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
C'est dans sa nature fluctuante, ses airs de work in progress que réside la beauté singulière de ce film, tantôt biographie d'une femme du siècle dernier au rugueux tempérament cévenol, tantôt peinture de la France rurale, tantôt portrait en creux de Gondry lui-même, tantôt expérience collective questionnant (...) le rôle de l'individu au sein de la communauté et celui du cinéma comme vecteur de lien social.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Libération
par Olivier Séguret
Ce petit film troublant est conçu comme un rewind (...) La force du film tient à une sorte de double secret. On a d'abord le sentiment que Gondry se repasse lui-même les images de son enfance et de son admiration pour sa tante afin d'y trouver ce qu'il a confusément perçu depuis toujours comme une faille. C'est le côté Blow Up du film : le grossissement progressif d'une anomalie (mentale, psychique, affective) que les premières images ne laissaient pas remarquer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Michel Gondry parvient avec délicatesse et subtilité à tirer les enseignements qui touchent l'universalité des familles.
Première
par Christophe Narbonne
(...)L'épine dans le coeur, tout en dessinant le tableau d'une France rurale et laïque en voie de disparition, s'apparente aux films faussement bricolés dont Gondry a le secret.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Juliette Bénabent
Moins naturaliste qu'un Nicolas Philibert avec Etre et avoir, Michel Gondry déploie son habituel sens de la poésie (...) dans cet hommage quasi filial à une femme et à son métier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Patrice Blouin
On pense au beau film que Sandrine Bonnaire consacrait, il y a deux ans, à sa soeur, Elle s'appelle Sabine. Mais, hélas (...) Gondry rétrograde progressivement vers les terres plus convenues d'Être et Avoir.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
(...) on est ému par sa pudeur ou amusé par ses colères. Mais le propos se révèle un peu répétitif.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Chronic'art.com
Le film fait s'entrelacer deux récits d'une manière magnifique, trouvant dans les souvenirs d'institutrice de Suzette l'oxygène nécessaire aux plongées répétées dans les eaux noires du secret de famille.
Critikat.com
Gondry revient sur une histoire familiale parfois douloureuse, à la fois banale et magnifique. Lettre d'amour autant qu'autobiographie en creux d'un cinéaste épris de son art, L'Epine dans le coeur est le plus beau film de son auteur.
Le Monde
A travers sa tante, c'est de lui que le cinéaste parle : du terreau qui a formé son esprit d'inventeur de formes, et qui continue de le nourrir.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Excessif
Le style de Michel Gondry s'installe au fur et à mesure. Pour le bonheur de ses fans.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
Le Figaroscope
(...) un documentaire intimiste et émouvant (...).
Le Parisien
Film modeste et émouvant, "L'Epine dans le coeur" parle à la fois de Suzette, de sa carrière, des relations difficiles qu'elle entretient avec son fils (...).
Le Point
voir Le Point.fr
Les Inrockuptibles
Comme à son habitude, le réalisateur fonce tête baissée dans la matière, donne à son documentaire (...) des allures de bric-à-brac en perpétuelle réinvention (...), et le véritable projet gondrien : retrouver dans l'art et le collectif la capacité enfantine à enchanter le réel avec trois fois rien.
Metro
Malgré des longueurs, le touchant témoignage de cette femme forte, moderne et fragile à la fois met au jour les usages d'antan, les émotions tues, le sens du devoir et la bonne humeur des Cévenois. Le réalisateur (...) insuffle au film un petit air de l'émission belge "Strip-tease".
Positif
La vie de Jean-Yves [Gondry] s'écoule, heureuse ou triste, bercée par son train électrique (...) Cette souffrance fait la beauté d'un film qui met parfois mal à l'aise.
TéléCinéObs
C'est dans sa nature fluctuante, ses airs de work in progress que réside la beauté singulière de ce film, tantôt biographie d'une femme du siècle dernier au rugueux tempérament cévenol, tantôt peinture de la France rurale, tantôt portrait en creux de Gondry lui-même, tantôt expérience collective questionnant (...) le rôle de l'individu au sein de la communauté et celui du cinéma comme vecteur de lien social.
Libération
Ce petit film troublant est conçu comme un rewind (...) La force du film tient à une sorte de double secret. On a d'abord le sentiment que Gondry se repasse lui-même les images de son enfance et de son admiration pour sa tante afin d'y trouver ce qu'il a confusément perçu depuis toujours comme une faille. C'est le côté Blow Up du film : le grossissement progressif d'une anomalie (mentale, psychique, affective) que les premières images ne laissaient pas remarquer.
Ouest France
Michel Gondry parvient avec délicatesse et subtilité à tirer les enseignements qui touchent l'universalité des familles.
Première
(...)L'épine dans le coeur, tout en dessinant le tableau d'une France rurale et laïque en voie de disparition, s'apparente aux films faussement bricolés dont Gondry a le secret.
Télérama
Moins naturaliste qu'un Nicolas Philibert avec Etre et avoir, Michel Gondry déploie son habituel sens de la poésie (...) dans cet hommage quasi filial à une femme et à son métier.
Cahiers du Cinéma
On pense au beau film que Sandrine Bonnaire consacrait, il y a deux ans, à sa soeur, Elle s'appelle Sabine. Mais, hélas (...) Gondry rétrograde progressivement vers les terres plus convenues d'Être et Avoir.
Le Journal du Dimanche
(...) on est ému par sa pudeur ou amusé par ses colères. Mais le propos se révèle un peu répétitif.