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nico8-6
14 abonnés
48 critiques
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0,5
Publiée le 16 janvier 2011
Et dire que ce film a reçu les louanges de Tarantino et a été récompensé à Cannes... Mon Dieu !!! Bien qu'il soit très réaliste, on peut noter de nombreux point qui font de ce long métrage le navet de l'année !!! D'une part, J'ai détesté la façon dont Mendoza a filmé... Une mauvaise luminosité, un scénario inexistant... Le montage est à refaire en totalité car 1h40 de film c'est bien trop long !!! D'ailleurs si on fait le compte, le film pourrait quasiment être un court métrage tant il est saturé de scènes plus inutiles les unes que les autres ce qui forcément plonge le spectateur dans un ennui profond...
faut pas aller au cinéma si vous ne savez pas rentrer dans un film et vous empreigner des ambiances, de la vie d'une ville inconnue, de la violence du monde, allez faire du shopping (séance à l'ugc les halles insupportable à cause du public affligéant du dimanche aprem !)...
Bon, c'est un peu lent comme film de mafieux. Attendez vous à un film conçu pour n pas avoir d'histoire concrète. Pas terrible, même si ce n'est pas irregardable. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 2/5
De la violence gratuite à son paroxysme ! Un film dérangeant sur le sort d'une pauvre femme suivi sous le regard d'un jeune homme en quete d'argent! On est effrayé devant autant de vices et autant d'inhumanité qui habitent les protagonistes de ce film ! Un film à la réalisation incertaine , qui donne encore plus un sentiment de dureté et pénombre à ce film ! Un film d'une rare violence...
C'est le film qui m'a le plus marqué de toute ma vie. Peut-être est-ce parce que tous les spectateurs quittaient la salle les uns après les autres. Je fais cette critique au moins 10 ans après l'avoir vu. De mémoire, c'est un film insoutenable, car le personnage que l'on suit, celui auquel on devrait s'identifier, qui sort d'un monde banal, commun, où un bonheur simple est possible, se retrouve obligé de suivre des criminels, devient le témoin des pires atrocités, et n'agit pas. À plusieurs moments, il a la possibilité de faire quelque chose (ne serait-ce que fuir) mais la peur le paralyse. Il est comme nous, c'est-à-dire lâche. Et c'est un vrai supplice pour le spectateur d'assister à une mise en scène d'une lâcheté que l'on reconnaît si bien, puisqu'elle serait la nôtre dans cette situation.
Petit aparté : Je n’avais pas aimé Serbis sans doute parce que la façon de filmer de Brillante Mendoza (caméra portée qui bouge vachement) me sortait complètement du film. Là je me suis rendu compte que ça ne marchait pas le jour mais bien la nuit. Ca tombe bien la majeure partie du film se passe la nuit et même une nuit plus précisément.
Et l’entrée véritable dans film et le processus d’identification avec le personnage démarre sur quelque chose d’absolument gonflé. Donc le personnage principal, plus ou moins bloqué dans une voiture avec des malfrats pour qui il travaille (mais juste comme ça), voit l’enlèvement d’une prostitué par les dits malfrats avec rouage de coups etc… et elle est donc embarquée dans la même voiture. Sauf que là où dans un film « normal », la séquence serait expédiée en 2 minutes Mendoza la fait durer, et durer, beaucoup trop longtemps pour un film, de telle manière qu’elle nous paraît en temps réel. Et là Mendoza commence déjà à tester nos limites de spectateur, est-ce qu’on osera penser à autre chose ? Et ça ne fait que commencer…
Au fur et à mesure de l’avancée du personnage vers le véritable enfer auquel il va assister, la mise en scène se fait de plus en plus subjective et sensuelle, captant des images, des sons. Et il y a un moment où le spectateur se trouve dans une position d’identification extrême avec le personnage lui-même spectateur. Il a le choix de fuir, ce qu’il a l’intention de faire d’ailleurs (sa « tentative » est d’ailleurs remarquablement mise en scène), mais il ne le fait pas. Et embarque le spectateur avec lui. Et Mendoza explose toutes les limites, il montre tout ce qu’on verrait, l’horreur absolue. Et il nous interroge, non pas sur ce qu’on aurait fait à la place du mec, mais ce qu’on fait là sur ce siège de cinéma, est-ce qu’on doit rire (faut vraiment être malade), pleurer, fermer les yeux, est-ce qu’on doit se casser, furieux du vilain tour que nous a joué Mendoza pour mettre un 0 à son film ensuite ? Certains
(…) fonctionnant par paliers, "Kinatay" prend progressivement des allures de descente aux enfers dans la nuit de Manille (…), et l'effet est tel qu'elle provoquera des dommages collatéraux même chez les spectateurs les plus endurcis (…) Un choc.
Personnellement, je n'ai pas trop aimé ce film. Je me suis ennuyée et il m'a donné la nausée^^ Par contre, je reconnais la qualité de la mise en scène. Une ambiance pesante qui traduit l'état interne du personnage. Dommage que ce soit aussi silencieux...
Je suis pourtant plutôt bon public mais là j'ai vraiment perdu ma soirée, heureusement que je suis abonné. Image laide tremblottante et granuleuse, noirs imparfaits. Scénario inexistant, plans interminables. C'est l'unité poussé à l'extrème : une seule action pendant un film qui dure près de 2 heures. Ne peut intéresser que les pseudo intellectuels du cinéma avec un accent circonflexe sur le a.
Ce film innommable n’aurait jamais dû quitter la poubelle dont il a été extrait. Hormis la description bâclée d’une police corrompue jusqu’à la moelle, qui aurait eu sa place dans un de ces magazines d’information qui veulent prouver que c’est mieux chez nous, la réalisation misérable, avec image floue, sautillante – à la manière des frères DARDENNE – évoque irrésistiblement les reportages en « caméra cachée », le nec plus ultra pour traiter les sujets à risques. La séquence gore ne fait que parachever le tout.
Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu un navet pareil. La première partie est d'un ennui terrible, on voit des individus qui roulent dans un van la nuit pendant 30 minutes... super, quel incroyable scénario. Puis dans la seconde partie il y a des scènes de violences horribles, sans véritable raison, ajouté à cela une réalisation qui laisse à désirer et une fin sans queue ni tête, nous avons un film à jeter à la poubelle. Je me demande comment ce film a pu avoir le prix de la mise en scène au festival de Cannes...
Kinatay retrace l'histoire d'un futur policier entrainé dans une histoire de moeurs avec la mafia de manille. Ce film se narre en 24h, j'ai apprécié les rues, le brouhaha d'une ville de manille, une partie de sa culture par un mariage. Quand la nuit tombe, ce jeune policier, pour subvenir à ses besoins, travaille pour la mafia manillaise. Cette mafia récupère une prostituée qui n'a pas suivit les recommendations de celle-ci, et se fait kidnappée et rouée, voire le pire. Je m'arrête à la scène ou cette prostituée se fait embarquée par la mafia et bizarement là ou cela devait monter crescendo...l'ennui, un long ennui dans la scène de la voiture. Tellement qu'on fait attention aux réverbères de l'autoroute. Je comprends car en réalité, cela serait passé exactement comme ceci, mais au cinéma il faut plus de rebondissements. Après les scènes de gores ne m'ont pas plus génées que cela, quelques une sont cependant mal faîtes. Le prix de la mise en scène est exagéré, malgrès la véracité des images car l'ennui domine. Un film à voir sur arte, en guise de somnifère!!!
Bon, franchement je me suis ennuyé (pour ne pas dire endormi) pendant une bonne partie du film. Le réalisateur en fait vraiment trop sur les plans qui traînent en longueur (un phare, un visage, un panneau, un visage, un phare, un dos... pendant 1h, ça saoule), et en plus ça bouge et ça fout mal au coeur. Mais par contre dire que le mec n'a rien a dire et aucun talent c'est un peu gros. Ok le film aurait gangé à être 40mn moins long (genre même moyen métrage). Mais on est bien embarqué dans la vie joyeuse et grouillante de Manille, puis dans le cauchemard sans nom d'un petit jeunot, et surtout d'une pauvre prostituée, bien trop banals. Ca fonctionne et ça fout les jetons quand même... si on ne s'est pas endormi avant.
au secour, fuyez ce film! ne perdez pas votre temps. Ce film a eu un prix à cannes pour sa mise en scene? alors là, je ne connais plus rien au cinéma, c'est incompréhensible! Ce film ne présente aucun intérêt. La seule "palme" que je lui aurais donnée, c'est celle de la lenteur et l'ennui. Pas de dialogue, pas de scénario, pas de qualité photo...rien! Le choix de filmer camera sur l'épaule est acceptable quand c'est bien fait. Mais là on dirait la qualité des films de vacances de l'oncle dédé : ça bouge, c'est mal cadré, c'est flou : il ne faut pas exagérer. conclusion : fuyez ce film sans intérêt.