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    Kinatay
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    2,1
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    53 critiques spectateurs

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    jfharo
    jfharo

    55 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 novembre 2009
    Pénible du début à la fin , sans aucun espoir de talent ????.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 décembre 2009
    Bon, OK, Kinatay est lent mais on peut supposer que c'est voulu afin de faire vivre au spectateur un éspèce de temps réel dans le lent cauchemar dans lequel bascule le jeune marié candide.
    C'est louable, mais je pense que dans le genre "Irréversible" de Noé avait fait bien mieux, bien plus riche, tout aussi prenant aux tripes, et mieux réalisé. Et se payait le luxe de le faire dans le sens inverse, ce qui donnait un bien plus gros impact au film.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 201 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 décembre 2009
    Après Serbis (2008), Brillante Mendoza refait parler de lui avec une nouvelle oeuvre singulière et assez dérangeante. Primé à Cannes d'un Prix de la Mise en Scène (est-ce une blague ?), Kinatay (2009), c'est 110 minutes consacrés à un road-movie contemplatif où longs plans-séquences interminables filmés de nuit (et donc, peu éclairés) nous empêchant d'y voir quoi que ce soit ! Ajoutez à cela, le peu de dialogue, où l’on s'ennui ferme, surtout lors de la séquence de la camionnette où durant 30 minutes, on subit le calme et l'ennui vécut par les acteurs ("le calme avant la tempête" prend alors tout son sens), car juste après ce passage à vide, le film prend une toute autre tournure et vire au cauchemar , voir même au carnage (viol, meurtre et démembrement à la machette). Bref, beaucoup de bruit pour rien (le film avait choqué à Cannes), car ici, c'est le calme plat !
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 novembre 2009
    Mendoza filme en temps réel une sinistre expédition, situant le road movie dans un univers glauque, sans complaisance et en évitant le voyeurisme. Reste que le film donne beaucoup trop dans l’exercice de style minimaliste et que Mendoza peine à insuffler un véritable souffle à ce non thriller.
    oranous
    oranous

    141 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 novembre 2009
    "Kinatay" a été récompensé a Cannes. Soit ! Mais quelle drôle d'idée ! Ce film est particulièrement chiant. Dans le sens où la plupart des scènes sont complètement inutiles. Ce film est d'une lenteur accablante. Il y a très peu de dialogues et souvent, ils tombent un peu comme un cheveux sur la soupe sans que le spectateur comprenne pourquoi le personnage dit cela à ce moment précis.
    C'est vraiment se moquer du monde de réaliser un tel film. Il ne se passe rien pendant au moins 45 minutes. Toute la scène dans le van lors du transport vers la maison est absolument inutile.
    Après une heure de film, et l'arrivée (enfin !!!) dans la maison, on se dit qu'il va y avoir un peu plus de contenu, que le film va être plus prenant mais non ! pas du tout. Le rythme est le même, tout se déroule soit trop lentement avec de longues scènes inutiles soit trop rapidement.
    Alors bien sur, pendant ce moment là, même si la tension n'est pas palpable, on peut admirer le jeu de Coco Martin, on peut observer ses doutes.
    C'est bien la seule chose que l'on retient. Parce que franchement, la mise en scène n'a rien d'extraordinaire. Et la caméra au poing est très désagréable surtout dans toutes les scènes qui se passent dans le van c'est à dire pendant les 3/4 du film.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2015
    On n'en sort pas indemne!
    séquence urbaine où on est saoulé de bruits, d'enseignes, d'embouteillages et la violence est à chaque carrefour; le voyage est long mais l'angoisse est là et nous a déjà saisi et monte... séquence au domicile du sergent (?) en tout cas, ils sont de la police...et là on entre dans l'"inhumain" et
    "peyping" là-dedans est-il victime ou complice ? là est la question ?.
    Brillante Mendoza est un virtuose.
    jo4
    jo4

    32 abonnés 347 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 novembre 2009
    Kinatay nous fait attendre. Une attente qui dure et qui dure jusqu’au moment M qui nous expliquera cette longue attente. Avec ses plans longs et lents il nous fait penser à « Ordinary People », filmé dans le feu de l’action à un « Cloverfield », son côté un peu malsain à un « The Chaser », mais au final il n’est rien de tout cela. Le film se présente comme une montée de stress et d’angoisse, il nous laisse dans un épais brouillard, l’inquiétude s’installe et nous ronge les nerfs. Le tout mélangé à, non pas, des musiques, mais des sons d’ambiances pertinents, de quoi mettre mal à l’aise.
    La scène dans la voiture est une scène clé de cette attente que Brillante Mendoza a voulu créer. Fidèle à ses idées, Mendoza nous offre un œuvre bien singulière avec une ambiance réalisé dans la simplicité et le naturel (peut être un peu trop), mais le scénario manque de saveur. Il aboutit sur une idée et des sentiments, mais ne perce pas assez cette souffrance que le héros dégage. Même si ont peut sentir un dérangement et un mal-être soudain chez ce personnage, rien ne se créer réellement envers le spectateur.
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 novembre 2009
    Un spectateur se demande pourquoi le jeune policier (il s'appelle Peping) n'est pas parti pendant le massacre. Très simple : il avait peur pour sa propre peau ! Partir, c'était laisser entendre qu'il allait dénoncer les tueurs. Il ne pouvait pas courir ce risque. En même temps, et selon un tout autre point de vue qui est celui du réalisateur, le garder sur place 1. était nécessaire, sinon, il n'y aurait pas de film (!), et 2. fournissait l'alibi moral au film, qui était de montrer l'horreur en train de gagner sa conscience d'homme, complice malgré lui. Pour ce qui est de la laideur de l'image tremblotante, cela vient de la matérialité du tournage : faute d'éclairage, on tournait avec une caméra numérique (pas avec de la pellicule, donc), et ces caméras sont toujours portées, de sorte que, non fixées sur un support, elles ne peuvent pas rester stables.
    loeil38
    loeil38

    19 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 décembre 2010
    super mou ennuyeux il faut attendre 45 minute avent que le film rentre dans le vif du sujet et méme après sa vaut rien film a éviter
    Julien D
    Julien D

    1 197 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 septembre 2012
    Toute l'horreur de ce film est liée à sa mise en scène qui étouffe littéralement le spectateur dans un univers urbain très sombre et, dans un deuxième temps, dans le cauchemar vécu par son personnage. La vision du travail de boucherie réalisé par les gangsters a fait fuir une dizaine de spectateurs, cela prouve mieux que le réalisateur a réussi son défi de rendre horrifique un scénario de polar très classique, au grand dam des esprits sensibles...
    Thierry M
    Thierry M

    160 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 novembre 2009
    archis,mauvais, la plupart du temps ca se passe dans une voiture ou dans la nuit. navet de l'année.
    La_Mort_Dans_L_Oeil
    La_Mort_Dans_L_Oeil

    28 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juillet 2010
    Fait partie de ces films d'une rare âpreté, une mise en scène ("mise à l'air" ?) dont la chair (humaine) est ouverte, ce qui perturbe et dérange le confort du spectateur, agit directement sur son système nerveux ; dans un noir d'encre le sang bouillonne et bourdonne à nos oreilles ; expérience multisensorielle qui tache, inquiétante, poisseuse, abrasive, laisse extrêmement mal à l'aise. Aucune échappatoire. Bienvenue dans un monde qui a largué les amarres et dérive seul, dans l'univers, livré et exposé à "la méchanceté de l'Être", où chacun sait que "Dieu est mort". Tu peux crier, personne ne t'entendra ni ne viendra à ton secours. Et pourtant ça commence en plein jour. Malgré la rue jonchée de déchets, la pauvreté grouillante, c'est un jour heureux : le mariage devant le juge de deux jeunes étudiants désargentés. Un SMS, et la nuit tombe. Agitation différente, d'autres commerces, institutions, d'autres transactions, d'autres règles, contrats, cérémonies... Et là, sans comprendre comment on est arrivé là, on va descendre en enfer, traversée sans fin, expédition lente, en prise directe, au plus près, comme un boucher qui découpe sa viande au plus près de l'os. On prend directement le poul de l'horreur, voyage au coeur de la sauvagerie. Ce dont Nietzsche nous a prévenu il y a plus d'un siècle sous le nom de "Nihilisme Européen" est à présent planétaire, mondial. Et comme Peping à l'arrière du van, on se demande interminablement et horrifié jusqu'où on peut encore aller, si l'on est pas le dernier Être Humain, si son voisin l'air de rien, et le reste du monde ne sont pas tous devenus définitivement fous et inconscients... Lire les critiques épouvantées du spectateur occidental qui a été violenté, déçu, étant venu se divertir bêtement, confortablement, avec un film exotique de plus, prémaché, simpliste, après ou avant un fast food du samedi soir dans le quartier des Halles actuel, est une des sensations supplémentaires qu'apporte ce film majeur
    virgileblacksmann
    virgileblacksmann

    21 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 novembre 2009
    Epouvantable !!! Ce n'est pas tant l'horreur glauque qui choque, mais le sentiment d'avoir, à la fin du film, assisté à un massacre dans des conditions d'inconfort et d'ennui insuportables. "the chaser", dans un autre genre, déroulait le supplice d'une femme avec autrement plus de classe, si j'ose dire. Je comprends que les critiques professionnels s'extasient devant ce désastreux film: quand c'est tourné dans le noir, quand les scènes s'étirent interminablement, ça vous donne un côté tendance de trouver ça formidable. j'étais tellement scandalisé à la sortie que j'ai parlé aux spectateurs autour de moi: ils étaient tous du même avis. ce film est nul, glauque, ennuyeux: une salle obscure regardant un écran noir, si ça vous tente... restent les scènes du début, tournées en plein jour, avant la plongée en enfer, qui suscitent l'intérêt.
    diehard5
    diehard5

    41 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 novembre 2009
    Un film qui ne bouscule pas la routine et le conformisme du film "d'auteur" de série. Le tout dans un langage cinématographique nul. Son prix à Cannes témoigne que, derrière une apparence de plus en plus austère, Isabelle Huppert demeure une sacrée farceuse.
    Tanezir
    Tanezir

    33 abonnés 583 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 février 2010
    Mon premier Mendoza, réalisateur dont j'avais entendu parlé mais que je n'avais pas encore visionnéet que j'ai pris plaisir à découvrir. Dans Kinatay, il joue à merveille avec le malsain. L'histoire est bien construite et le point de vue adopté, un point de vue banal, celui de monsieur tout le monde, était une bonne idée. De longs plans, peut-être un peu trop longs au goût de certains mais qui on renforcé cette idée de malaise. Une réussite, malgré les quelques tremblements de caméra au début. J'ignore si c'était voulu mais ça m'a un peu gêné même si par la suite tout va bien.
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