Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Dvdrama
par David A.
Tu n'aimeras point sonne comme un commandement irrévocable, celui de la beauté du cinéma. Troublant, subtil, précis, un film qui aborde un thème tabou de façon convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
Elle
par Florence Ben Sadoun
(...) ce premier film israélien touche et déroute. (...) le spectateur n'est jamais voyeur, même quand Tabakman crée un climat où la surveillance permanente devient étouffante.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
Sur ce sujet périlleux, le film fait preuve de grandes qualités, à l'écriture comme à la réalisation. (...) une mise en scène impeccable, qui joue admirablement du chromatisme comme elle refuse le contrechamp dans une distance toujours juste par rapport à l'action.
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Haim Tabakman, cinéaste israélien de 34 ans, filme au plus près ses personnages (...) Tu n'aimeras point est une sorte de Brokeback Moutain du côté des juifs ultraorthodoxes. Une vraie réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le scénario est gonflé mais assurément plausible, habile, porté par un récit limpide et épuré. Le premier long métrage de Haim Tabakman, cinéaste israélien, déroule un genre de drame sans doute plus tabou qu'extraordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) une oeuvre sensible et subtile, qui ne simplifie rien, et qui parvient à nous attacher, comme si de rien n'était, à son récit et à ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Christophe Ayad
L'intérêt du film est à l'intersection de cet impératif catégorique de la passion amoureuse et d'un monde régi par un nombre incalculable de règles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
C'est l'histoire de l'empêchement d'aimer (...) et c'est simple et beau (...)
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La rédaction
Un thème, un plaidoyer pour la liberté sexuelle, qui n'est pas nouveau. Mais il trouve ici un cadre particulièrement fort et émouvant.
Paris Match
par Alain Spira
Insolite, dérangeant et plutôt exotique, Eyes Wide Open , c'est le titre original, nous ouvre les yeux sur ce que l'on connaît déjà des méfaits du fascisme religieux. (...) il est bon que le cinéma nous serve de garde-fou...de Dieu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par La rédaction
Un thème poignant, servi par un scénario évitant tout psychologisme, et magnifié par une mise en scène envoûtante comme un rituel religieux et sensuelle comme un acte d`amour (...).
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) le soin apporté à la description des rites, la rigueur (...) évitent tout sentimentalisme (...) Tout la douceur, puis la détresse du monde se lisent dans le regard de Zohar Strauss (...) Tu n'aimeras point ne se laisse pas facilement aimer, mais sa beauté s'impose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Julien Welter
(...) quelques semaines après l'attentat meurtrier survenu contre un lieu de rendez-vous gay à Tel-Aviv, Tu n'aimeras point est à prendre comme un acte politique fort.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le réalisateur Haïm Tabakman montre avec sensibilité et intelligence l'impensable : l'irruption de l'homosexualité dans une communauté où elle n'est même pas envisagée comme une possibilité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Isabelle Danel
Sur un sujet plus que délicat, Haim Tabakam signe un premier film sensible et juste. Malgré un morceau d'opéra envahissant (...) la mise en scène, au plus près des personnages parvient à les ancrer dans un quotidien saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Axelle Ropert
Tabakam (...) découvre avec une ingénuité agaçante un sujet pourtant rebattu et s'en tient à des généralités inoffensives au lieu d'explorer les détails inattendus de cette situation et sa profondeur théologique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Une mise en scène où le cadre fait loi en imposant à ses personnages leurs comportements physiques et moraux.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Dvdrama
Tu n'aimeras point sonne comme un commandement irrévocable, celui de la beauté du cinéma. Troublant, subtil, précis, un film qui aborde un thème tabou de façon convaincante.
Elle
(...) ce premier film israélien touche et déroute. (...) le spectateur n'est jamais voyeur, même quand Tabakman crée un climat où la surveillance permanente devient étouffante.
L'Humanité
Sur ce sujet périlleux, le film fait preuve de grandes qualités, à l'écriture comme à la réalisation. (...) une mise en scène impeccable, qui joue admirablement du chromatisme comme elle refuse le contrechamp dans une distance toujours juste par rapport à l'action.
Le Figaroscope
Haim Tabakman, cinéaste israélien de 34 ans, filme au plus près ses personnages (...) Tu n'aimeras point est une sorte de Brokeback Moutain du côté des juifs ultraorthodoxes. Une vraie réussite.
Le Journal du Dimanche
Le scénario est gonflé mais assurément plausible, habile, porté par un récit limpide et épuré. Le premier long métrage de Haim Tabakman, cinéaste israélien, déroule un genre de drame sans doute plus tabou qu'extraordinaire.
Le Monde
(...) une oeuvre sensible et subtile, qui ne simplifie rien, et qui parvient à nous attacher, comme si de rien n'était, à son récit et à ses personnages.
Libération
L'intérêt du film est à l'intersection de cet impératif catégorique de la passion amoureuse et d'un monde régi par un nombre incalculable de règles.
Marianne
C'est l'histoire de l'empêchement d'aimer (...) et c'est simple et beau (...)
Ouest France
Un thème, un plaidoyer pour la liberté sexuelle, qui n'est pas nouveau. Mais il trouve ici un cadre particulièrement fort et émouvant.
Paris Match
Insolite, dérangeant et plutôt exotique, Eyes Wide Open , c'est le titre original, nous ouvre les yeux sur ce que l'on connaît déjà des méfaits du fascisme religieux. (...) il est bon que le cinéma nous serve de garde-fou...de Dieu.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Un thème poignant, servi par un scénario évitant tout psychologisme, et magnifié par une mise en scène envoûtante comme un rituel religieux et sensuelle comme un acte d`amour (...).
Télérama
(...) le soin apporté à la description des rites, la rigueur (...) évitent tout sentimentalisme (...) Tout la douceur, puis la détresse du monde se lisent dans le regard de Zohar Strauss (...) Tu n'aimeras point ne se laisse pas facilement aimer, mais sa beauté s'impose.
L'Express
(...) quelques semaines après l'attentat meurtrier survenu contre un lieu de rendez-vous gay à Tel-Aviv, Tu n'aimeras point est à prendre comme un acte politique fort.
La Croix
Le réalisateur Haïm Tabakman montre avec sensibilité et intelligence l'impensable : l'irruption de l'homosexualité dans une communauté où elle n'est même pas envisagée comme une possibilité.
Première
Sur un sujet plus que délicat, Haim Tabakam signe un premier film sensible et juste. Malgré un morceau d'opéra envahissant (...) la mise en scène, au plus près des personnages parvient à les ancrer dans un quotidien saisissant.
Les Inrockuptibles
Tabakam (...) découvre avec une ingénuité agaçante un sujet pourtant rebattu et s'en tient à des généralités inoffensives au lieu d'explorer les détails inattendus de cette situation et sa profondeur théologique.
Cahiers du Cinéma
Une mise en scène où le cadre fait loi en imposant à ses personnages leurs comportements physiques et moraux.