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Apre, aigre mélo sans samba, A deriva est l'émouvant portrait d'une âme à la mer, soufflant un vent mélancolique sur les affres de l'adolescence et colorant de solaire nostalgie ce territoire défait des jeunesses de soi jamais retrouvées (...)
Hector Dhalia filme cette chronique d'un été brésilien avec beaucoup de naturel et de sensibilité. (...) ce qui emporte l'adhésion, ce sont les magnifiques paysages solaires du Brésil, ainsi que le flux et reflux de cette mer irisée, chatoyante. (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
(...) un film d'une grande sensualité. (...) Partant d'une histoire somme toute assez banale (...) il parvient à nous toucher grâce à une mise en scène délicieusement rétro qui sublime les comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Chronique familiale somme toute assez banale et convenue qui se raconte alternativement selon le point de vue des différents protagonistes. (...) Une production qui doit sans doute à la présence de Vincent Cassel au générique son bon de sortie sur les écrans hexagonaux.
Dhalia filme son histoire avec nonchalance (cocktails, fêtes, plages édéniques, peaux mordues par le soleil) et ne tire guère parti de la piste incestueuse qu'il semble d'abord suggérer.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Sur des thèmes pourtant rebattus (...) Heitor Dhalia ne dérive ni vers le mélo ni vers l'eau de rose. Il filme de temps à autre en images un peu trop léchées, mais traite des rapports familiaux avec une justesse plus crue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Apre, aigre mélo sans samba, A deriva est l'émouvant portrait d'une âme à la mer, soufflant un vent mélancolique sur les affres de l'adolescence et colorant de solaire nostalgie ce territoire défait des jeunesses de soi jamais retrouvées (...)
Dvdrama
A Deriva capte avec une délicatesse infinie les tourments du coeur. Cette dérive des sentiments ne vous laissera pas insensible.
L'Express
(...) on se laisse balader et émouvoir par un auteur à suivre de près.
Le Figaroscope
Hector Dhalia filme cette chronique d'un été brésilien avec beaucoup de naturel et de sensibilité. (...) ce qui emporte l'adhésion, ce sont les magnifiques paysages solaires du Brésil, ainsi que le flux et reflux de cette mer irisée, chatoyante. (...)
Metro
(...) un film d'une grande sensualité. (...) Partant d'une histoire somme toute assez banale (...) il parvient à nous toucher grâce à une mise en scène délicieusement rétro qui sublime les comédiens.
Le Journal du Dimanche
Après neuf mois passés sur Mesrine, [Vincent Cassel] n'a pas hésité à se lancer dans un film à petit budget.
Ouest France
Chronique familiale somme toute assez banale et convenue qui se raconte alternativement selon le point de vue des différents protagonistes. (...) Une production qui doit sans doute à la présence de Vincent Cassel au générique son bon de sortie sur les écrans hexagonaux.
Première
A deriva est une chronique intimiste assez sensible et juste. (...) la mise en scène, voluptueuse, magnifie ce récit initiatique.
TéléCinéObs
Dhalia filme son histoire avec nonchalance (cocktails, fêtes, plages édéniques, peaux mordues par le soleil) et ne tire guère parti de la piste incestueuse qu'il semble d'abord suggérer.
Télérama
Sur des thèmes pourtant rebattus (...) Heitor Dhalia ne dérive ni vers le mélo ni vers l'eau de rose. Il filme de temps à autre en images un peu trop léchées, mais traite des rapports familiaux avec une justesse plus crue.
Le Monde
(...) le film cède à un esthétisme facile, sans parvenir à donner une profondeur aux personnages, ni une nécessité à ce récit truffé de clichés (...)
Studio Ciné Live
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