Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Des séquences drôles (...) ou déchirantes (la chanson Vesoul de Jacques Brel) font de ce "Voyage en Chine" un long-métrage fragile, précieux et fort recommandable.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Isabelle Giordano
"Voyage en Chine" parle le langage universel des films initiatiques. Ce film, sur la perte et le deuil qui permettent une renaissance, sonne juste et évite la mièvrerie. (...) Yolande Moreau y est exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Express
par Sandra Benedetti
Yolande Moreau (...), une grande du cinéma, pas moins, pour un film aussi précieux qu'un Ming.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Alexandra Schwartzbrod
Ce pourrait être tragique, c’est léger et drôle, d’une grande délicatesse et presque réconfortant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Ne manquez pas ce beau film de Zoltan Mayer avec une épatante Yolande Moreau (...) Aussi délicat qu'une peinture de Guan Tong, ce premier film décrit, sans pathos ni lieux communs, le paysage intérieur d'une femme entre deux âges immergée sans repères dans l'empire du Milieu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ambitieux et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Danièle Attali
Presque tout ici repose sur les épaules de Yolande Moreau, épouse mal dans sa peau, qui s’évade et redonne étrangement un sens à sa vie. Digne, émouvante, sobre, elle distille l’émotion, écrit ses sentiments et est accompagnée par une mise en scène à l’harmonie lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Voilà un film tendre, dense, archétype du voyage initiatique où le passé remonte à fleur de soi. Il faut s'y laisser prendre, sans souci de précipitation, avancer au rythme des rencontres jusqu'à la séquence, formidablement poétique, des obsèques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Pierre Fornerod
Cette histoire toute simple fait le plein de vibrations à partir de trois fois rien.
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ce que Zoltan Mayer en montre est loin du pittoresque, mais traque le détail et l'intimité d'une région. À sa suite, Yolande Moreau déploie une présence bouleversante, trimballant son mélange d'innocence et de douleur, sa détermination de blessée et sa patience de mère, cette façon d'être à la fois bancale et forte.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Photographe estimé, Zlotan Mayer réalise un premier film fragile et doux, incertain et vacillant, à l’image de Liliane qui ne sait vers quoi elle va et trouve son chemin quand la mort la ramène à la vie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif
par Vincent Thabourey
Il s'en est fallu de peu pour que ce voyage au long cours ne ressemble pas à un bréviaire des moeurs et coutumes de la province du Sichuan à destination des voyageurs occidentaux. (...) La sobriété de la mise en scène permettra d'éviter cet écueil.
Première
par Damien Leblanc
L’esthétique, riche en jeux sur les hors-champ, crée certes une atmosphère originale et bienveillante. Mais à l’image de la séquence où le "Vesoul" de Jacques Brel résonne bruyamment dans les airs, cette rencontre entre cultures opposées s’avère étrangement anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Tristesses impalpables, silences douloureux : la lumière de Zoltan Mayer, photographe célèbre devenu réalisateur, est belle, sa mise en scène, discrète. Et Yolande Moreau, magnifique, une fois encore. (...) (Puis) tout devient prévisible, alors que le début misait sur l'inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jean-Claude Arrougé
On sort de ce "Voyage en Chine" le cœur léger et l’esprit zen. En somme, un film tout simple, qui n’est que douceur et tendresse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Time Out Paris
par Alexandre Prouvèze
Un film qui aurait gagné à une plus grande immersion documentaire, plutôt qu’à suivre un scénario trop verrouillé et linéaire.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
Critikat.com
par Clément Graminiès
On tient là la parfaite démonstration d’un scénario qui ne s’embarrasse pas d’obstacles insurmontables à la résolution de ses enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Régnier
La paix avec elle-même (celle de Yolande Moreau) passera par l'ouverture à l'autre, idée qui pourrait être belle si l'auteur se laissait aller à la liberté qu'il revendique pour son personnage.
20 Minutes
Des séquences drôles (...) ou déchirantes (la chanson Vesoul de Jacques Brel) font de ce "Voyage en Chine" un long-métrage fragile, précieux et fort recommandable.
Femme Actuelle
"Voyage en Chine" parle le langage universel des films initiatiques. Ce film, sur la perte et le deuil qui permettent une renaissance, sonne juste et évite la mièvrerie. (...) Yolande Moreau y est exceptionnelle.
L'Express
Yolande Moreau (...), une grande du cinéma, pas moins, pour un film aussi précieux qu'un Ming.
Libération
Ce pourrait être tragique, c’est léger et drôle, d’une grande délicatesse et presque réconfortant.
Paris Match
Ne manquez pas ce beau film de Zoltan Mayer avec une épatante Yolande Moreau (...) Aussi délicat qu'une peinture de Guan Tong, ce premier film décrit, sans pathos ni lieux communs, le paysage intérieur d'une femme entre deux âges immergée sans repères dans l'empire du Milieu.
La Voix du Nord
Ambitieux et lumineux.
Le Journal du Dimanche
Presque tout ici repose sur les épaules de Yolande Moreau, épouse mal dans sa peau, qui s’évade et redonne étrangement un sens à sa vie. Digne, émouvante, sobre, elle distille l’émotion, écrit ses sentiments et est accompagnée par une mise en scène à l’harmonie lumineuse.
Le Parisien
Voilà un film tendre, dense, archétype du voyage initiatique où le passé remonte à fleur de soi. Il faut s'y laisser prendre, sans souci de précipitation, avancer au rythme des rencontres jusqu'à la séquence, formidablement poétique, des obsèques.
Ouest France
Cette histoire toute simple fait le plein de vibrations à partir de trois fois rien.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
Ce que Zoltan Mayer en montre est loin du pittoresque, mais traque le détail et l'intimité d'une région. À sa suite, Yolande Moreau déploie une présence bouleversante, trimballant son mélange d'innocence et de douleur, sa détermination de blessée et sa patience de mère, cette façon d'être à la fois bancale et forte.
La Croix
Photographe estimé, Zlotan Mayer réalise un premier film fragile et doux, incertain et vacillant, à l’image de Liliane qui ne sait vers quoi elle va et trouve son chemin quand la mort la ramène à la vie.
Positif
Il s'en est fallu de peu pour que ce voyage au long cours ne ressemble pas à un bréviaire des moeurs et coutumes de la province du Sichuan à destination des voyageurs occidentaux. (...) La sobriété de la mise en scène permettra d'éviter cet écueil.
Première
L’esthétique, riche en jeux sur les hors-champ, crée certes une atmosphère originale et bienveillante. Mais à l’image de la séquence où le "Vesoul" de Jacques Brel résonne bruyamment dans les airs, cette rencontre entre cultures opposées s’avère étrangement anecdotique.
Télérama
Tristesses impalpables, silences douloureux : la lumière de Zoltan Mayer, photographe célèbre devenu réalisateur, est belle, sa mise en scène, discrète. Et Yolande Moreau, magnifique, une fois encore. (...) (Puis) tout devient prévisible, alors que le début misait sur l'inattendu.
aVoir-aLire.com
On sort de ce "Voyage en Chine" le cœur léger et l’esprit zen. En somme, un film tout simple, qui n’est que douceur et tendresse.
Time Out Paris
Un film qui aurait gagné à une plus grande immersion documentaire, plutôt qu’à suivre un scénario trop verrouillé et linéaire.
Critikat.com
On tient là la parfaite démonstration d’un scénario qui ne s’embarrasse pas d’obstacles insurmontables à la résolution de ses enjeux.
Le Monde
La paix avec elle-même (celle de Yolande Moreau) passera par l'ouverture à l'autre, idée qui pourrait être belle si l'auteur se laissait aller à la liberté qu'il revendique pour son personnage.