Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Excessif
par Romain Le Vern
Une insondable noirceur et un sentiment de solitude urbain parcourent le récit sans que l'on sache réellement pourquoi et s'amplifient après le visionnage du film, invitant le spectateur à voir au-delà des apparences.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Lent, presque dépourvu de dialogue, avec une réalisation fluide, Air Doll distille une grâce étrange, tantôt enfantine, tantôt désenchantée, toujours envoûtante, entre bonheur et tristesse d'avoir une âme, de découvrir l'amour mais aussi la perte.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par La rédaction
Pas de trivialité, mais un message humaniste délivré par un cinéaste qui ne rechigne pas aux longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Oui, il y a une belle abnégation dans le travail de Kore-Eda (...) qui compte sur le cinéma et lui seul pour donner un sens inexprimable par les mots à une aventure et à un personnage hors du commun. (...) Le récit est ainsi émaillé de scènes d'une douceur extrême, qui nous laisse chaque fois pantelant. La photo chaleureuse et les discrets travellings (...) ajoutent à l'équilibre délicat de l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Elle
par Philippe Trétiack
Parabole sur la vacuité des existences, cette dérive forcément éthérée fascine, puis lasse et finalement nous crève. Dommage car le thème est d'une beauté magique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Dominique Widemann
Entre bulles de couleurs éphémères comme joies enfantines et surgissements de réalités moroses, un fil de grâce tire ce film sans convaincre tout à fait.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le nouveau film d'Hirokazu Kore-Eda est une manière de conte de fée moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Bruno Icher
Souvent, le caractère lunaire de la jolie poupée, étonnée et émerveillée de tout, éclipse la mécanique implacable du film. Parfois trop. Mais le réalisateur sait aussi réveiller le spectateur en balançant à l'improviste un choc érotique surgi de nulle part (...) Hormis cette poésie légèrement forcée, à la mièvrerie certes ironique mais pesante à la longue, Kore-Eda voit juste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Rurik Sallé
Mais malgré un potentiel puissant, le long-métrage choisit souvent la carte d'un pseudo onirisme lent, minimisant le scénario pour préférer une décevante poésie mollassonne en suspension. Reste une mélancolie ambiante troublante, et quelques scènes aux idées magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Positif
par Adrien Gombeaud
Cette fable coquine offre en outre quelques séquences érotiques drôles et émouvantes (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Alex Masson
(...)Air Doll est une relecture façon manga de Pinocchio. Nozomi, la poupée, partage avec la marionnette le même regard ingénu sur le monde, qui fait tout le charme mais aussi parfois l'inconvénient du film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Le syndrome du film sacrifié sur l'autel d'une durée excessive a encore frappé. Ainsi cette fable socio-poétique (...) ne manque pas de charme ni de belles idées (...) Malheureusement, à force d'affectation poétique et de redondances, la grâce, la légèreté que Kore-Eda ("Nobody Knows", "Still Walking") tente d'insuffler à son film finissent par devenir pesantes. Lourdes comme l'air.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
(...) cette fable se distingue des autres films de Kore-Eda (...). Autour de l'air et du souffle, le réalisateur tisse de jolies métaphores sur la légèreté ou la pesanteur de l'existence, le sentiment de plénitude ou de vacuité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Mathieu Macheret
Kore-Eda entend traiter du triste état des rapports humains dans nos mégalopoles modernes : misère sexuelle, solitude, néant intérieur, repli sur soi et asservissements quotidiens. Le problème tient à ce que, choisissant le merveilleux au détriment du fantastique, il laisse cohabiter deux façons antinomiques d'appréhender son sujet : le premier degré et la métaphore.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On apprécie la métaphore originale pour traiter du sens de la vie (...) de même que le ton onirique et délicatement décalé de la fable. Malheureusement, le propos se délite, se répète et la poupée gonflable devient gonflante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Marie Sauvion
Une poignée de belles idées (...) ne suffit pas à compenser l'agaçante naïveté du propos et le relatif inintérêt d'une histoire étirée sur plus de deux heures.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Alain Spira
Parfois sordide, mais jamais graveleux, ce film répétitif manque de souffle et, surtout, passe au large des ses prétentions poétiques et existentielles.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Kore-Eda, en bon fétichiste, a filmé les scènes qui lui plaisaient ; le reste du temps, il avait la tête ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Le résultat est désastreux, décrédibilisant pour longtemps un cinéaste dont la rigueur un peu contrite a souvent tenté de se faire passer pour une ascèse bressonnienne.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Excessif
Une insondable noirceur et un sentiment de solitude urbain parcourent le récit sans que l'on sache réellement pourquoi et s'amplifient après le visionnage du film, invitant le spectateur à voir au-delà des apparences.
La Croix
Lent, presque dépourvu de dialogue, avec une réalisation fluide, Air Doll distille une grâce étrange, tantôt enfantine, tantôt désenchantée, toujours envoûtante, entre bonheur et tristesse d'avoir une âme, de découvrir l'amour mais aussi la perte.
Le Figaroscope
Pas de trivialité, mais un message humaniste délivré par un cinéaste qui ne rechigne pas aux longueurs.
Les Inrockuptibles
Oui, il y a une belle abnégation dans le travail de Kore-Eda (...) qui compte sur le cinéma et lui seul pour donner un sens inexprimable par les mots à une aventure et à un personnage hors du commun. (...) Le récit est ainsi émaillé de scènes d'une douceur extrême, qui nous laisse chaque fois pantelant. La photo chaleureuse et les discrets travellings (...) ajoutent à l'équilibre délicat de l'ensemble.
Elle
Parabole sur la vacuité des existences, cette dérive forcément éthérée fascine, puis lasse et finalement nous crève. Dommage car le thème est d'une beauté magique.
L'Humanité
Entre bulles de couleurs éphémères comme joies enfantines et surgissements de réalités moroses, un fil de grâce tire ce film sans convaincre tout à fait.
Le Monde
Le nouveau film d'Hirokazu Kore-Eda est une manière de conte de fée moderne.
Libération
Souvent, le caractère lunaire de la jolie poupée, étonnée et émerveillée de tout, éclipse la mécanique implacable du film. Parfois trop. Mais le réalisateur sait aussi réveiller le spectateur en balançant à l'improviste un choc érotique surgi de nulle part (...) Hormis cette poésie légèrement forcée, à la mièvrerie certes ironique mais pesante à la longue, Kore-Eda voit juste.
Mad Movies
Mais malgré un potentiel puissant, le long-métrage choisit souvent la carte d'un pseudo onirisme lent, minimisant le scénario pour préférer une décevante poésie mollassonne en suspension. Reste une mélancolie ambiante troublante, et quelques scènes aux idées magnifiques.
Positif
Cette fable coquine offre en outre quelques séquences érotiques drôles et émouvantes (...).
Première
(...)Air Doll est une relecture façon manga de Pinocchio. Nozomi, la poupée, partage avec la marionnette le même regard ingénu sur le monde, qui fait tout le charme mais aussi parfois l'inconvénient du film.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le syndrome du film sacrifié sur l'autel d'une durée excessive a encore frappé. Ainsi cette fable socio-poétique (...) ne manque pas de charme ni de belles idées (...) Malheureusement, à force d'affectation poétique et de redondances, la grâce, la légèreté que Kore-Eda ("Nobody Knows", "Still Walking") tente d'insuffler à son film finissent par devenir pesantes. Lourdes comme l'air.
Télérama
(...) cette fable se distingue des autres films de Kore-Eda (...). Autour de l'air et du souffle, le réalisateur tisse de jolies métaphores sur la légèreté ou la pesanteur de l'existence, le sentiment de plénitude ou de vacuité.
Critikat.com
Kore-Eda entend traiter du triste état des rapports humains dans nos mégalopoles modernes : misère sexuelle, solitude, néant intérieur, repli sur soi et asservissements quotidiens. Le problème tient à ce que, choisissant le merveilleux au détriment du fantastique, il laisse cohabiter deux façons antinomiques d'appréhender son sujet : le premier degré et la métaphore.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
On apprécie la métaphore originale pour traiter du sens de la vie (...) de même que le ton onirique et délicatement décalé de la fable. Malheureusement, le propos se délite, se répète et la poupée gonflable devient gonflante.
Le Parisien
Une poignée de belles idées (...) ne suffit pas à compenser l'agaçante naïveté du propos et le relatif inintérêt d'une histoire étirée sur plus de deux heures.
Paris Match
Parfois sordide, mais jamais graveleux, ce film répétitif manque de souffle et, surtout, passe au large des ses prétentions poétiques et existentielles.
Cahiers du Cinéma
Kore-Eda, en bon fétichiste, a filmé les scènes qui lui plaisaient ; le reste du temps, il avait la tête ailleurs.
Chronic'art.com
Le résultat est désastreux, décrédibilisant pour longtemps un cinéaste dont la rigueur un peu contrite a souvent tenté de se faire passer pour une ascèse bressonnienne.