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Votre avis sur Thanksgiving : la semaine de l'horreur ?
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Thanksgiving (Action de grâce) est une fête américaine fin novembre pour faire ses emplettes avant noël et se réunir autour d’une belle dinde rotie. Le film n’ignore rien de cette tradition, sauf qu’ici on est en plein slasher (ou psychokiller-movie) genre assez codifié avec série de meurtres et tueur masqué. On pense à Scream plus qu’à Halloween ou Vendredi 13 puisqu’on se demande vraiment qui est l’assassin, comme dans la saga de Wes Craven (et dans tout bon whodunit). Si on est très attentif, on peut même se douter de qui il s’agit. Thanksgiving signe donc le retour réussi d’Eli Roth à son mauvais genre de prédilection (après s’être un peu égaré avec La Prophétie de l’horloge) qui est aussi un teen movie mené tambour battant avec scènes choc inspirées et gore (à défaut d’être toujours réalistes), et un casting raffraichissant, dû entre autres à la ravissante Nell Verlaqueen. Le clou du spectacle reste sa séquence d’ouverture — dite du Black Friday — véritable jeu de massacre où la foule prend d’assaut un centre commercial pour se saisir d’un gauffrier offert ! Les dommages collatéraux auront, on s’en doute, de graves conséquences sur les plus impliqués. Bref un très bon film de fêtes de fin d’année.
Un bon slasher décomplexé, dans l'esprit de Scream, Halloween et Souviens toi l'été dernier, des meurtres innovants, une critique de la société. Le concept de choisir Thanksgiving est surprenant et bien utilisé.
spoiler:
seul la motivation du tueur me laisse un peu sur ma faim
. Je recommande !
. Je recommande !
J'ai tenu une heure.... Il m'a fallu un courage immense pour m'infliger cette daube indigeste et stopper net . Merci les bonnes critiques d'Allo Ciné ! Ce métrage est aussi nul qu'une série B sortie des années 80/90. Il n'y a rien à sauver. Le scénario est tellement risible qu'il ne fait même pas sourire, l'acting je ne vais pas trop en parler j'ai perdu assez de temps avec ce "film" consternant mais tous ces rôles d'ados débiles aux dialogues irréfléchis et même disons le inexistants , on en a mangé des km durant des années. La mise en scène est ridicule sans parler de la musique violoncelle stridente d'un autre temps... Aucun intérêt, aucune sensation, aucune peur et aucun rire... J'ai lu certaines critiques que le film dénonçait le consumérisme mais que nenni ! Même la dinde servie dans le film n'a pas de sauce et semble donc insipide et sans saveur. A fuir et choisissez une autre table pour un Thanksgiving plus réussi. 1/5
Sympa mais sans plus... Un sous Scream mais avec une dimension comico grotesque assumée... Un slasher basique qui ne réinvente pas les codes du genre... La partie gore est sympa et fun mais la partie enquête est quasi inexistante... Dommage... La fin est ridicule mais le film est divertissant...
Avec Eli Roth c'est souvent a double tranchant, oscillant entre le bon et le mauvais. Son Thanksgiving aurait plutôt tendance à pencher vers le très moyen, il a beau s'être fait un spécialiste dans le genre horreur, son talent seul ne suffit pas à sauver le film de ses nombreuses tares, déjà parce-que le reste ne suit pas, le scénario pour commencer, bien trop prévisible, le montage parfois anarchique, la photographie peu soigné et surtout le casting proche de l'amateurisme par moment, seul patrick Dempsey s'en sortant a peu près. En résulte un film certe avec quelques moments sympathique, l'émeute du black friday, bien que flirtant avec le ridicule sur la durée alors que celle-ci était la pour dénoncé, certaines mises a morts stylisé mais rappellant certaines de la saga destinations finale. Ca ne réinvente pas le slasher, ce contentant d'emprunter ses codes sans vraiment tenter d'y apporter une touche personnelle. Tirer a la base d'une fausse bande annonce il aurait peut-être mieux value en rester là.
C'est dingue. On arrive plus à faire des Slasher aussi efficace (et bien construit qu'il y a 20 ans). Avec des perso attachants et pas trop bêtes. De Scream à The Faculty (le best pour moi). On avait des personnages malins auxquels on tenait et s'inquiéter. Là, ta juste envie d'attendre qu'il les embroche tous. Le style s'est perdu pour nous livrer que des choses bêtes à souhait.
Et les dialogue .... Aussi creux qu'un arbre. Même le côté fun ou gore n'y est pas (enfin par parcimonie). Gros gâchis tant le potentiel était bien là (et pour certain meurtre). Mais Eli Roth préfère donner une espèce de nanar au 1er degré.
Le dernier bon slasher que j'ai vu est celui de John Hyams "Sick" écrit par Kevin Williamson (non, je ne parlerai pas des derniers Scream bien louper, a part le casting). Dommage, j'adore ce genre. Mais je crois que pour voir des films de qualité faut se revoir des films qui datent. Ce n'est pas un mal hein, mais un constat bien triste (avec le recul).
Et les dialogue .... Aussi creux qu'un arbre. Même le côté fun ou gore n'y est pas (enfin par parcimonie). Gros gâchis tant le potentiel était bien là (et pour certain meurtre). Mais Eli Roth préfère donner une espèce de nanar au 1er degré.
Le dernier bon slasher que j'ai vu est celui de John Hyams "Sick" écrit par Kevin Williamson (non, je ne parlerai pas des derniers Scream bien louper, a part le casting). Dommage, j'adore ce genre. Mais je crois que pour voir des films de qualité faut se revoir des films qui datent. Ce n'est pas un mal hein, mais un constat bien triste (avec le recul).
Très bon film d'horreur à l'humour noir, qui prend en autodérision la fête américaine la plus populaire Thanksgiving et les soldes montre le Black friday.
Un casting vraiment bon.
Un casting vraiment bon.
Fêtons le cinéma
Après une ouverture brillante oscillant entre la satire de la consommation de masse et l’épouvante, qui n’est pas sans rappeler celle de Krampus (Michael Dougherty, 2015), Thanksgiving retrouve les sentiers balisés du slasher au terme duquel le bourreau masqué révèle un visage inattendu ; dès lors, le reste du long métrage consiste à semer le doute dans l’esprit du spectateur en creusant de fausses pistes jalonnées d’exécutions plutôt inventives – nous sommes bien chez Eli Roth ! –, quoique trop expédiées par la mise en scène. La construction mécanique du scénario, simple alternance de meurtres et d’enquêtes, lasse rapidement. Une impression de déjà-vu plane sur l’ensemble, anomalie tout droit issue des années 90, néanmoins appréciable dans le paysage horrifique contemporain.
Vendu comme un hommage à « Scream » et « Souviens toi l’été dernier », le nouveau Eli Roth ne m’a pas convaincu.
En 2023, on regrette de devoir supporter des adolescents scotchés à leurs téléphones, balançant des répliques ridicules « Il m’a ghosté », « le tueur a posté une photo sur les réseaux »… Insupportable. Les grandes années du cinéma nous manquent !
Trop de gore pour pas assez de fun, dommage. Pour un grand retour du Slasher d’antan, il faudra encore attendre.
En 2023, on regrette de devoir supporter des adolescents scotchés à leurs téléphones, balançant des répliques ridicules « Il m’a ghosté », « le tueur a posté une photo sur les réseaux »… Insupportable. Les grandes années du cinéma nous manquent !
Trop de gore pour pas assez de fun, dommage. Pour un grand retour du Slasher d’antan, il faudra encore attendre.
Thanksgiving est surtout un énorme film comique : j'ai ri du début à la fin, certaines scènes suscitant le rire le plus inextinguible. Le film réussit la prouesse de faire en sorte qu'aucun des personnages ne suscite la sympathie, tous étant totalement dépourvus d'intérêt et de qualités personnelles. Bref, un navet hilarant ! Ce n'est déjà pas si mal.
Slasher dans l'esprit de ceux des années 1990, tel que scream ou tant d'autres. Scénario prévisible mais tout de même efficace. On ne peine pas à savoir qui est le tueur dès le début mais ça reste assez bien amené. Quelques scènes un peu bêtes : la
spoiler:
poubelle qui coupe en deux la première victime du tueur est exagérée, le tueur aurait pu tuer le couple d'ami après avoir utilisé les avoir neutralisé
. Bref spoiler: un tueur qui prend un peu trop son temps alors qu'il pourrait atteindre ses objectifs plus rapidement
. Et la ou je me pose le plus de questions c'est spoiler: lors de la parade, il y a le tueur dans la foule qui endore tout le monde dont le policier qui est le tueur, donc y'a-t-il un autre tueur avec le policier ?
Ai-je raté quelque chose ? Ou est-ce une erreur ?
Sinon c'est pas mal divertissant.
. Bref spoiler: un tueur qui prend un peu trop son temps alors qu'il pourrait atteindre ses objectifs plus rapidement
. Et la ou je me pose le plus de questions c'est spoiler: lors de la parade, il y a le tueur dans la foule qui endore tout le monde dont le policier qui est le tueur, donc y'a-t-il un autre tueur avec le policier ?
Ai-je raté quelque chose ? Ou est-ce une erreur ?
Sinon c'est pas mal divertissant.
Oeil HORUS
Une nouvelle saga vient de naitre et ce genre Slasher est prometteur. Le costume du cinglé vengeur est des plus réussit. On sent le détail pour impressionner le public. Est on impressionné? d'une certaine manière OUI. On veut nous faire croire que ce film sera de la pure humour déjanté version Scream.. Mais.. quand on passe au diné du midi.. après avoir goutté au déjeuné je peux dire que sa ne plaisante pas... On nous montre ici une ambiance sans scrupule.. On nous montre toujours un premier plan bien distinct.. Le groupe... qui ne se doute pas une seconde qu'il vont pas apprécié l'invitation a dinner le soir.. chez un hôte plutôt bon cuisinier qui a envie de testé de nouvelles recette.. J'ai préféré la seconde partie qui est de meilleur qualité que la première avec une ambiance Scary-House avec des plans serré proche des murs, une photographie des plus sournoises mais proche des coins de l'oeil pour ne pas donner du temps au spectateur de soufflé vite fait;.. sa fonctionne car certaines scenes trop gore donnent mal au ventre.. avec une fin prévisible mais propre.. pour nous faire comprendre que cette saga ne fait que commencer.
Audrey L
En fait, même pas besoin de tueur, les gens sont tellement bêtes et méchants qu'ils font ça très bien tout seuls... Oui, on ne se remet pas de cette ouverture de Black Friday qui dérape, où le mourant agrippe son produit plutôt que de chercher de l'aide (les priorités version "société de conso"), où les gens sont prêts à
spoiler: scalper peu à peu
une pauvre femme au sol avec un chariot pour aller chercher un gaufrier au bout de l'allée, ou arrachent des mains d'un homme se vidant de son sang le four tant convoité... On connaît tous les vidéos d'ouvertures folles qui font glousser les médias américains et même français (où tout le monde se marche sur la tronche pour un pot de Nutella), et le constat est d'une tristesse absolue : Eli Roth a tapé juste, il pousse simplement les curseurs à fond d'une déshumanité qui existe déjà. Tout ça pour dire que le petit malin du cinéma d'horreur gore, alias Eli Roth (Cabin Fever, Hostel I et II, Green Inferno) remet le couvert pour un dîner de Thanksgiving toujours plus crade (éviscérations, explosions de têtes, déchiquetages en tous genres, "tire-bouchonnage", et même cuisson) et toujours plus grotesque (dans le bon sens, c'est tellement excessif volontairement qu'on en rigole avec le réal). On grille très vite l'identité de la personne derrière le masque (carrure, démarche, et puis surtout spoiler: le seul acteur connu étant Patrick Dempsey qu'on ne fait pas venir pour un rôle de figurant...
), on note même une certaine incompréhension pour notre part lors du final (on voit spoiler: une main qui prend un marteau, mais Dempsey ne l'a pas, ce qui fait écho à toutes les attaques où Dempsey était là trop tôt pour s'être changé, et on ne sait jamais - en revanche - si Ryan n'était pas dans le coup... Alors, étaient-ils deux ? La fin est un peu brouillonne
). On notera évidemment une référence à Halloween (la façon de filmer le tueur "il est là / ah ben non il y est plus", le final avec spoiler: les pompiers qui rappelle ce très mauvais twist de Halloween 8 pour justifier la revenue du méchant... Ce plan un peu long sur le pompier masqué, avec le "rien n'a survécu" sans preuves de corps, et on sait déjà que la porte est grande ouverte pour un opus suivant, surtout avec cette scène post-générique qui suggère une transmission du Mal comme dans Halloween 5
). Mention à la bande de jeunes acteurs qui se ressemblent tous, on a été largués entre les deux garçons bruns à cheveux mi-longs ondulés, et les deux filles brunes (on n'a pas compris laquelle spoiler: était dans le frigo
, du coup), mention au caméo absent de Eli Roth qu'on espérait secrètement, mention à la scène du dîner qui est dérangeante (donc réussie), et évidemment mention à l'intelligence des attaques qui s'appuient sur des éléments du décor (on en arrive à chercher ce qui va servir à l'aspect crade, comme un Destination Finale). Eli Roth s'éclate, ça se sent, quitte à nous paumer souvent dans la logique de son action (pourquoi spoiler: Dempsey
n'a pas les yeux rouges après avoir pris du spray dans les trous du masque juste avant ?), mais il nous a surpris par le côté gore assumé, et surtout dans une scène d'ouverture qui nous dit le pire : même pas besoin de tueur "John Carver", les consommateurs sont des "Gens Crevards" encore plus méchants.
spoiler: scalper peu à peu
une pauvre femme au sol avec un chariot pour aller chercher un gaufrier au bout de l'allée, ou arrachent des mains d'un homme se vidant de son sang le four tant convoité... On connaît tous les vidéos d'ouvertures folles qui font glousser les médias américains et même français (où tout le monde se marche sur la tronche pour un pot de Nutella), et le constat est d'une tristesse absolue : Eli Roth a tapé juste, il pousse simplement les curseurs à fond d'une déshumanité qui existe déjà. Tout ça pour dire que le petit malin du cinéma d'horreur gore, alias Eli Roth (Cabin Fever, Hostel I et II, Green Inferno) remet le couvert pour un dîner de Thanksgiving toujours plus crade (éviscérations, explosions de têtes, déchiquetages en tous genres, "tire-bouchonnage", et même cuisson) et toujours plus grotesque (dans le bon sens, c'est tellement excessif volontairement qu'on en rigole avec le réal). On grille très vite l'identité de la personne derrière le masque (carrure, démarche, et puis surtout spoiler: le seul acteur connu étant Patrick Dempsey qu'on ne fait pas venir pour un rôle de figurant...
), on note même une certaine incompréhension pour notre part lors du final (on voit spoiler: une main qui prend un marteau, mais Dempsey ne l'a pas, ce qui fait écho à toutes les attaques où Dempsey était là trop tôt pour s'être changé, et on ne sait jamais - en revanche - si Ryan n'était pas dans le coup... Alors, étaient-ils deux ? La fin est un peu brouillonne
). On notera évidemment une référence à Halloween (la façon de filmer le tueur "il est là / ah ben non il y est plus", le final avec spoiler: les pompiers qui rappelle ce très mauvais twist de Halloween 8 pour justifier la revenue du méchant... Ce plan un peu long sur le pompier masqué, avec le "rien n'a survécu" sans preuves de corps, et on sait déjà que la porte est grande ouverte pour un opus suivant, surtout avec cette scène post-générique qui suggère une transmission du Mal comme dans Halloween 5
). Mention à la bande de jeunes acteurs qui se ressemblent tous, on a été largués entre les deux garçons bruns à cheveux mi-longs ondulés, et les deux filles brunes (on n'a pas compris laquelle spoiler: était dans le frigo
, du coup), mention au caméo absent de Eli Roth qu'on espérait secrètement, mention à la scène du dîner qui est dérangeante (donc réussie), et évidemment mention à l'intelligence des attaques qui s'appuient sur des éléments du décor (on en arrive à chercher ce qui va servir à l'aspect crade, comme un Destination Finale). Eli Roth s'éclate, ça se sent, quitte à nous paumer souvent dans la logique de son action (pourquoi spoiler: Dempsey
n'a pas les yeux rouges après avoir pris du spray dans les trous du masque juste avant ?), mais il nous a surpris par le côté gore assumé, et surtout dans une scène d'ouverture qui nous dit le pire : même pas besoin de tueur "John Carver", les consommateurs sont des "Gens Crevards" encore plus méchants.
Comme je le redoutais, Thanksgiving n'est pas aussi fun que la fausse bande-annonce dont il est la dispensable version longue. L'ouverture est pourtant prometteuse mais dès que les meurtres commencent, le film devient un slasher programmatique à peine plus intéressant que les derniers Scream.
Très agréablement étonné, le film reprend les codes du slasher classique tout en y ajoutant un peu de fraîcheur. On a vu mieux niveau scénario mais ça n'est pas vraiment ce qu'on cherche quand on va voir ce film qui reste un pur plaisir pour les fans comme moi de slasher classique
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