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Votre avis sur Thanksgiving : la semaine de l'horreur ?
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Que le visionnage fut laborieux. Je ne critique jamais un film si je ne l'ai pas vu en entier et j'ai du lutter pour le terminer...
Il est difficile de croire que c'est le même réalisateur que pour Hostel.
Le film est lent , long et bourré d'incohérences ( spoiler: Le tueur qui a une petite stature (Bobby) tout le film et qui à la fin se révèle être le sheriff ...)) Sans parler de d'Amanda qui attend un bébé à.... 61 ans...
En revanche les scènes gores sont plutôt bien réalisées et originales... Le seul point positif à mes yeux.
2/5
Il est difficile de croire que c'est le même réalisateur que pour Hostel.
Le film est lent , long et bourré d'incohérences ( spoiler: Le tueur qui a une petite stature (Bobby) tout le film et qui à la fin se révèle être le sheriff ...)) Sans parler de d'Amanda qui attend un bébé à.... 61 ans...
En revanche les scènes gores sont plutôt bien réalisées et originales... Le seul point positif à mes yeux.
2/5
Ce film est juste un scoobydoo un plus plus charnu et sanglant mais le scénario reste très médiocre et vide.
Vraiment je ne comprends sa note moyenne de presque 3 étoiles . Ce film est vraiment un navet du genre .
A aucun moment on ne s'attache au personnage qui n'ont aucune saveur .
Le tueur est vraiment bidon sa saigne et c'est gore mais vraiment dans l'excès que sa en perd toute crédibilité.
Bref a fuire .
A aucun moment on ne s'attache au personnage qui n'ont aucune saveur .
Le tueur est vraiment bidon sa saigne et c'est gore mais vraiment dans l'excès que sa en perd toute crédibilité.
Bref a fuire .
De Eli Roth (2023).
Sans révolutionner totalement le genre, c'est incontestable, ce film d'horreur fonctionne très bien du début à la fin.
Eli Roth , spécialiste de l'horreur nous offre un film horrifique qui fonctionne bien et reste prenant jusqu'à son dénouement.. Avec juste ce qu'il faut pour des crimes horrifiques sans aller toutefois une surenchère excessive. Bon scénario et même une petite critique du consumérisme exacerbé à l'origine d'ailleurs du scénario. Bien mené, sans temps mort . L'autre force diu film réside dans le fait que le scénario nous offre des surprises comme notamment celui d'avoir un peu de mal à identifier le tueur.
A gager qu'il y aura certainement une suite !
Avec Patrick Dempsey, Addison Rae, Milo Manheim.
Sans révolutionner totalement le genre, c'est incontestable, ce film d'horreur fonctionne très bien du début à la fin.
Eli Roth , spécialiste de l'horreur nous offre un film horrifique qui fonctionne bien et reste prenant jusqu'à son dénouement.. Avec juste ce qu'il faut pour des crimes horrifiques sans aller toutefois une surenchère excessive. Bon scénario et même une petite critique du consumérisme exacerbé à l'origine d'ailleurs du scénario. Bien mené, sans temps mort . L'autre force diu film réside dans le fait que le scénario nous offre des surprises comme notamment celui d'avoir un peu de mal à identifier le tueur.
A gager qu'il y aura certainement une suite !
Avec Patrick Dempsey, Addison Rae, Milo Manheim.
Film reprenant les codes du slasher sans prendre de risque, intrigue longue et plot twist bien que surprenant et bien amené. Malheureusement, le film ressemble a un mauvais Scream comme on en voit depuis ces dernières années
Un slasher classique dans le déroulé (comme un scream) avec du goret et quelques scènes bien pensées comme
spoiler:
la belle mere en dinde rotie
mais tous les défauts d'un slaher (quand le tueur est par terre, les persos ne pensent jamais à le frapper ou l'achever, réagissent de manière idote dans certaines situations).
L'identité est bien pensée mais bon, ça reste un slasher d'adolescents un peu plus goret que la moyenne mais avec trop de défauts. Ça se laisse regarder un soir si on a rien à se mettre sous la dent.
mais tous les défauts d'un slaher (quand le tueur est par terre, les persos ne pensent jamais à le frapper ou l'achever, réagissent de manière idote dans certaines situations).
L'identité est bien pensée mais bon, ça reste un slasher d'adolescents un peu plus goret que la moyenne mais avec trop de défauts. Ça se laisse regarder un soir si on a rien à se mettre sous la dent.
defleppard
Thanksgiving. Ce qui a du coûter le plus cher dans ce film, le cachet de Patrick Demsey. Un film d 'horreur à l' ancienne. Deux étoiles et demie.
spoiler:
C'est l'histoire d'un groupe de personnes qui se font tuer un par un tueur mystérieux suite à une tragédie qui s'est passée un soir du Black Friday dans un magasin et qui a fait des morts.
Histoire/scénario : Le film est un slasher tout ce qu'il y a de plus classique avec le scénario de scream donc rien de révolutionnaire.
Acteurs : Un ou deux me disent quelque chose, mais aucun n'est vraiment connu mais ils sont quand même plutôt convaincants.
Effets spéciaux : Les morts sont assez sympas avec des effets pas trop mal foutus et bien gores, en plus c'est plutôt bien foutu, de ce côté-là un bon point.
Bande son : Rien à signaler et la VF est honnête et compréhensible.
Un slasher parmi tant d'autres qui ne se défend pas trop mal, mais qui n'est pas original.
Acteurs : Un ou deux me disent quelque chose, mais aucun n'est vraiment connu mais ils sont quand même plutôt convaincants.
Effets spéciaux : Les morts sont assez sympas avec des effets pas trop mal foutus et bien gores, en plus c'est plutôt bien foutu, de ce côté-là un bon point.
Bande son : Rien à signaler et la VF est honnête et compréhensible.
Un slasher parmi tant d'autres qui ne se défend pas trop mal, mais qui n'est pas original.
"Ce repas est tellement copieux qu'Eli Roth !"
Depuis qu’il fut atteint en 2002, d’une “Fièvre Noire” (“Cabin Fever”), qui lui ouvrit les portes d’Hollywood, Eli Roth acteur/réalisateur de 51 ans - en grand passionné de cinéma d’horreur - est devenu au fil des années, un metteur en scène généreux en scénarios et en saillies gores. Les amateurs de “torture porn” instigué par “Saw”, se souviennent avec bonheur du diptyque “Hostel” et “Hostel 2” en 2006 et en 2007. La tribu cannibale de “Green Inferno” en 2013 aura quant à elle, su ravir les fans de Ruggero Deodato ou Umberto Lenzi. Avec “Knock Knock” en 2015, c’est le sous-genre du “Home invasion” sulfureux qui s’invite dans sa filmographie. Seuls “Death Wish”, relecture 2.0 du vigilante “Un Justicier dans la Ville” de 1974 avec Charles Bronson et “La Prophétie de l’horloge” adaptation ciné d’un bouquin pour ados, en 2018, viendront entachés un C.V. plutôt sympathique (avis perso). Fin 2023, voici qu’arrive sa nouvelle dinguerie intitulée “Thanksgiving : La semaine de l’horreur”. D’abord sous forme de fausse bande-annonce Grindhouse en entracte du “Boulevard de la Mort” de Quentin Tarantino et de “Planète Terreur” de Robert Rodriguez en 2007, “Thanksgiving…” se mue en un long-métrage pour notre plus grand plaisir. À l’instar du croustillant générique de “Krampus” de Michael Dougherty qui flinguait l’image d’Épinal de Noël, Eli Roth - va en prologue de son nouvel effort - dégommer - lors d’un assaut furieux d’un magasin discount - la fête commerciale du Black Friday. Chaque quatrième jeudi de novembre depuis 1621, l’Amérique fête le Mayflower lors d’un repas appelé aussi “Action de grâce”. Autour d’une copieuse dinde, les foyers étasuniens remercient les Amérindiens Wampanoags d’avoir nourri les premiers colons européens du Massachusetts. Comme le mercantilisme exacerbé dégueulasse tout, quelques heures, voir ici, en même temps que le repas de Thanksgiving bat son plein, certains magasins ouvrent leurs mâchoires acérés pour offrir à d’avides consommateurs, des soldes monstres. Et de monstres, il en sera question, lorsqu’une bousculade dans une grande surface laissera trois personnes sur le carreau et plusieurs blessés. En quelques instants, Eli Roth pose les bases d’un slasher sadique et jubilatoire né sous le signe de la vengeance. Rien de bien nouveau sur la forme, me direz-vous, car il est vrai que la vengeance reste l'essence même du slasher. Pour autant, si “Thanksgiving…” ne réinvente pas le genre, en revanche, Eli Roth - à la manière d’un maître de maison qui voudrait que ses convives soient repus - a mis les petits plats gores dans les grands pour nous donner des hauts le cœur. Le festin morbide est plus que copieux !
Depuis qu’il fut atteint en 2002, d’une “Fièvre Noire” (“Cabin Fever”), qui lui ouvrit les portes d’Hollywood, Eli Roth acteur/réalisateur de 51 ans - en grand passionné de cinéma d’horreur - est devenu au fil des années, un metteur en scène généreux en scénarios et en saillies gores. Les amateurs de “torture porn” instigué par “Saw”, se souviennent avec bonheur du diptyque “Hostel” et “Hostel 2” en 2006 et en 2007. La tribu cannibale de “Green Inferno” en 2013 aura quant à elle, su ravir les fans de Ruggero Deodato ou Umberto Lenzi. Avec “Knock Knock” en 2015, c’est le sous-genre du “Home invasion” sulfureux qui s’invite dans sa filmographie. Seuls “Death Wish”, relecture 2.0 du vigilante “Un Justicier dans la Ville” de 1974 avec Charles Bronson et “La Prophétie de l’horloge” adaptation ciné d’un bouquin pour ados, en 2018, viendront entachés un C.V. plutôt sympathique (avis perso). Fin 2023, voici qu’arrive sa nouvelle dinguerie intitulée “Thanksgiving : La semaine de l’horreur”. D’abord sous forme de fausse bande-annonce Grindhouse en entracte du “Boulevard de la Mort” de Quentin Tarantino et de “Planète Terreur” de Robert Rodriguez en 2007, “Thanksgiving…” se mue en un long-métrage pour notre plus grand plaisir. À l’instar du croustillant générique de “Krampus” de Michael Dougherty qui flinguait l’image d’Épinal de Noël, Eli Roth - va en prologue de son nouvel effort - dégommer - lors d’un assaut furieux d’un magasin discount - la fête commerciale du Black Friday. Chaque quatrième jeudi de novembre depuis 1621, l’Amérique fête le Mayflower lors d’un repas appelé aussi “Action de grâce”. Autour d’une copieuse dinde, les foyers étasuniens remercient les Amérindiens Wampanoags d’avoir nourri les premiers colons européens du Massachusetts. Comme le mercantilisme exacerbé dégueulasse tout, quelques heures, voir ici, en même temps que le repas de Thanksgiving bat son plein, certains magasins ouvrent leurs mâchoires acérés pour offrir à d’avides consommateurs, des soldes monstres. Et de monstres, il en sera question, lorsqu’une bousculade dans une grande surface laissera trois personnes sur le carreau et plusieurs blessés. En quelques instants, Eli Roth pose les bases d’un slasher sadique et jubilatoire né sous le signe de la vengeance. Rien de bien nouveau sur la forme, me direz-vous, car il est vrai que la vengeance reste l'essence même du slasher. Pour autant, si “Thanksgiving…” ne réinvente pas le genre, en revanche, Eli Roth - à la manière d’un maître de maison qui voudrait que ses convives soient repus - a mis les petits plats gores dans les grands pour nous donner des hauts le cœur. Le festin morbide est plus que copieux !
Ce film ressemble clairement à Scream, hormis le côté fête "Thanksgiving" donc on devine rapidement le déroulé de l'histoire. J'ai trouvé l'ensemble assez crédible et flippant. C'est gore, violent, ça marche. De base on va voir le film pour le côté dérangeant et cette ambiance là s'est ressentie à plusieurs reprises !
Petit slasher pas terrible, mais qui se regarde quand même si on réfléchit bien. Dès le début, on arrive à savoir qui sont les meurtriers. Quelques petites scènes très sanglante mais sans plus
Un slasher avec des meurtres assez gore mais un scénario assez pauvre, en tout cas qui ne tient pas suffisamment en haleine j'ai trouvé.Après ça reste regardable mais c'est aussi tôt vu aussi tôt oublié.2,5/5
Oui, on retrouve ici le gore cher à Elie Roth. Ne boudons pas notre plaisir, c'est clairement un atout par rapport aux nombreux slashers typés "Blumhouse" qui peuvent être sympas mais aseptisés car clairement destinés à un public de teenagers. Ici, c'est stylisé, les meurtres sont surprenants et font part d'originalité.
Cependant, on a quand même droite à des éléments involontairement risibles spoiler: (La belle mère préparée pour le four puis servie à table)
et un beau paquet d'incohérences spoiler: (pourquoi certains sont tués, d'autres non? pourquoi certains sont mis en scènes tandis que d'autres sont "stockés")
et notamment une énorme spoiler: (Comment Patrick Dempsey peut poursuivre l'héroïne, pour finalement que l'héroïne le trouve inconscient car assommé par l'ancien petit copain kidnappé dans le coffre?). J'ai trouvé ça tellement gros que je m'attendais à un deuxième tueur...même pas. et l'identité du tueur est cramé 5 bonnes minutes avant la révélation (qui a un minimum d'expérience du slasher aura deviné). et que du dire du mobile...
En résumé, c'est un slasher correct, assez gore, mais qui ne brille par la subtilité de son scénario
Cependant, on a quand même droite à des éléments involontairement risibles spoiler: (La belle mère préparée pour le four puis servie à table)
et un beau paquet d'incohérences spoiler: (pourquoi certains sont tués, d'autres non? pourquoi certains sont mis en scènes tandis que d'autres sont "stockés")
et notamment une énorme spoiler: (Comment Patrick Dempsey peut poursuivre l'héroïne, pour finalement que l'héroïne le trouve inconscient car assommé par l'ancien petit copain kidnappé dans le coffre?). J'ai trouvé ça tellement gros que je m'attendais à un deuxième tueur...même pas. et l'identité du tueur est cramé 5 bonnes minutes avant la révélation (qui a un minimum d'expérience du slasher aura deviné). et que du dire du mobile...
En résumé, c'est un slasher correct, assez gore, mais qui ne brille par la subtilité de son scénario
selenie
La première partie est hallucinante, 10mn où ce qui fait le plus peur n'est pas un croque-mitaine mais une foule de citoyens décérébrés dans un événement qui devient aussi effrayant qu'hallucinant. Une ouverture dingue qui frôle le surréalisme mais qui frappe par son message clair et des effets visuels violents hyperréalistes. Ensuite, soudain et assez brusquement on part dans un teen movie à la façon de la saga "Scream" (1996 -2023), un canevas éculé qu'on connaît tous bien. Le scénario est donc un peu faineant, comme l'est un peu la mise en scène dans un récit où seules les scènes de meurtres sortent du lot de façon assez aléatoires. Du premier meurtre un peu too much dont l'issue aurait sa place dans "Scary Movie" (2000) au passage hyper efficace et gore du défilé, les morts sont souvent originaux mais on oscille trop entre le meurtre nanardesque ou parodique et le meurtre gore digne d'un thriller pur. On sent l'hésitation entre deux sous-genres qui rend le film un chouïa bancal. Eli Roth signe un slasher hyper classique dont la meilleur scène reste celle qui ouvre le film, sans compter tout de même 2-3 séquences sanglantes du meilleur effet.
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
c'est la première fois que je vois un film qui s'auto-spoile dès le premier plan.
La critique de notre société consumériste et accro aux réseaux sociaux ne suffit pas à sauver ce slasher filmé sans intention, à la limite du téléfilm, avec des personnages d'ados pas du tout attachants et surtout des meurtres qui ne vous arrachent pas un frisson.
La critique de notre société consumériste et accro aux réseaux sociaux ne suffit pas à sauver ce slasher filmé sans intention, à la limite du téléfilm, avec des personnages d'ados pas du tout attachants et surtout des meurtres qui ne vous arrachent pas un frisson.
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