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Le cinéphile
691 abonnés
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3,0
Publiée le 29 novembre 2023
Franchement c’est plutôt cool Thanksgiving. Eli Roth signe une aventure gore, assez drôle, relativement irrévérencieuse, qui s’inscrit totalement dans la lignée de la saga Scream. Les amateurs du genre seront conquis, les autres resterons sur le côté.
La Turquie n'est pas le seul à être farcie dans cette fête sanglante!
Qui aurait cru qu'un film d'horreur sur Thanksgiving pourrait être plus mémorable que ta grand-mère oubliant la dinde au four? Certainement pas moi, jusqu'à ce que je me retrouve devant "Thanksgiving: La Semaine de l'Horreur." Au début, j'étais aussi enthousiaste que si on me servait de la purée en boîte pour le repas de Thanksgiving. Mais bon sang, Eli Roth a réussi à me faire manger mes mots, et ce n'était pas le seul à être dévoré!
On pensait que les dindes tueuses de "Thankskilling" étaient la référence ultime en matière de films Thanksgiving déjantés. Eh bien, préparez-vous à avoir votre esprit cinéphile farci avec un slasher qui détrône ces dindes en plastique comme un héros de Marvel botte les fesses d'un méchant en carton. "Thanksgiving: La Semaine de l'Horreur" est à la trilogie "Thankskilling" ce que Thanos est à une galette de dinde surgelée - un niveau au-dessus, et avec beaucoup plus de violence!
Eli Roth a mis ses griffes dans cette histoire de Thanksgiving, et le résultat est aussi sanglant qu'une bataille de sabres lasers dans l'univers de Star Wars. Les meurtres sont exécutés avec une précision chirurgicale, laissant le spectateur à la fois choqué et impressionné, comme si on lui avait servi un plat digne d'un maître sushi dans un fast-food.
Les personnages de ce film ne sont pas là juste pour être égorgés comme des dindes à la ferme. Non, ils sont plus complexes que le scénario de "Inception." Bien sûr, on n'est pas dans du Shakespeare, mais comparé à d'autres films d'horreur où les protagonistes sont aussi profonds qu'une flaque d'eau, on peut dire que ces personnages tiennent la route. Addison Rae et Patrick Dempsey font une paire plus explosive que Mario et une carapace verte dans Mario Kart - ça décoiffe!
Le film traîne un peu vers la fin, comme si on avait donné à Freddy Krueger une sieste de deux heures avant qu'il ne commence à découper les rêves. Cependant, ça n'enlève pas le plaisir sadique que vous aurez eu à regarder ce massacre de Thanksgiving. C'est comme une soirée Monopoly qui n'en finit pas - à un moment donné, vous êtes prêt à tout pour que ça se termine.
En fin de compte, "Thanksgiving: La Semaine de l'Horreur" est comme la tarte à la citrouille de ma grand-mère - une fois que vous y avez goûté, vous ne pouvez plus vous arrêter, même si vous savez que ça va vous hanter plus tard. Alors, si vous avez déjà épuisé votre liste de films cultes de Thanksgiving, ajoutez celui-ci. C'est comme si le Joker avait décidé de préparer votre dîner de Thanksgiving - c'est fou, dérangeant, mais vous ne pouvez pas vous empêcher d'applaudir à la fin. Bon appétit, cinéphiles de l'horreur!
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Ayant eu la chance de le voir en avant première et connaissant les films réalisé par Eli Roth, notamment la série Hostel, Thanksgiving : La semaine de l'horreur ne déroge pas à la règle nous offrant un spectacle bien gore et oppressant. Le scénario n'est pas extraordinaire mais il est bien rythmé par les meurtres originaux montants en puissance au cours du film. spoiler: Mention spéciale à la scène de dinde humaine et des ses préparatifs ainsi que le "familial" bien glauque. . Un bon film que l'on appréciera re-regarder durant la période de Thanksgiving !
Thanksgiving est un pur slasher décomplexé dans l'esprit grindhouse avec des effets gores si excessifs qu'ils en deviennent hilarants. La première séquence se deroulant durant le black friday est assez hallucinante. Réjouissant massacre sous fond de critique de ma société de consommation, elle laisse présager un film assez délirant plus humoristique que réellement effrayante. Eli Roth réussit son coup en misant sur une ambiance 90's qui rappelle scream et autres teen movies horrifique de l'époque mais aussi en convoquant dans la dernière partie de son film massacre à la tronçonneuse de Hooper. Certains meurtres sont particulièrement réussis et apportent tout son sel au film qui souffre néanmoins de problèmes d'écriture. Les personnages principaux manquent de charisme et les motivations du tueur sonnent faux. Mais Eli Roth se fiche de son script, il cherche à amuser le spectateur et se montre d'une grande virtuosité quand il s'agit de filmer les tentatives de fuite de ses héros. Thanksgiving est un film amusant qui renoue avec l'esprit d'une époque. Audacieux d'un point de vie stylistique, il n'en demeure pas moins assez convenu dans son déroulement. Un bon slasher et le retour d'un cinéaste virtuose capable de nous passionner malgré un scénario prétexte assez creux.
Vu en avant première, excellent retour du réalisateur de Hostel, Scream à côté est dépassé, on sursaute , on est dans le pure slasher avec un bon casting, percutant à souhait
Cette année, la Semaine de l'Horreur Thanksgiving a tenté de transformer nos festivités en une expérience terrifiante et mémorable. Malheureusement, le résultat final laisse un goût plutôt amer, avec des moments effrayants trop rares et une exécution inégale.
Le point fort de la semaine était sans aucun doute la décoration. Les organisateurs ont fait un excellent travail pour créer une atmosphère sinistre avec des citrouilles éclairées, des toiles d'araignée et des décors macabres. Cependant, l'aspect visuel ne pouvait compenser les lacunes dans d'autres domaines.
Le menu spécial "horreur gastronomique" était une idée novatrice, mais la réalisation ne tenait pas ses promesses. Les plats étaient parfois plus étranges que terrifiants, et les saveurs souvent discordantes ont laissé de nombreux convives perplexes. Les portions étaient également décevantes, ce qui a contribué à une expérience culinaire en demi-teinte.
Les activités planifiées, censées donner des frissons, n'ont pas réussi à susciter l'effroi attendu. Les films d'horreur projetés manquaient de suspense, et les acteurs invités semblaient plus mal à l'aise que terrifiants. Les attractions prévues pour les plus jeunes étaient, au mieux, mal coordonnées, laissant les enfants plus confus que captivés.
En fin de compte, la Semaine de l'Horreur Thanksgiving a échoué à offrir une expérience cohérente et engageante. Les attentes étaient élevées, mais la réalité a été décevante. Espérons que les organisateurs apprendront de cette année et amélioreront leur jeu pour les festivités à venir. Pour cette année, cependant, la note de 2.5 sur 5 reflète une expérience qui aurait pu être beaucoup plus mémorable.